Une des solutions est d'avoir un régime alimentaire adapté, c'est-à-dire riche en protéines, en potassium, en vitamines et en calcium, mais pauvre en graisses, en sucres, et surtout en sel, pour éviter la prise de poids et l'hypertension artérielle.
Éliminer la cortisone du corps en limitant le sel
D'où le fait que beaucoup de médecins conseillent une alimentation limitée en apports iodés. Attention, toutefois, limiter ne signifie pas supprimer en totalité. Nul besoin de se lancer dans un régime sans sel.
Si cela peut te rassurer ca a dégonflé entièrement au bout de 1 mois après l'arrêt complet du traitement.
– 5 portions de fruits et légumes quotidiennement. – Des légumes secs et des pommes de terre particulièrement riches en potassium. Ils pourront constituer une base dans votre alimentation. Réduisez l'apport en corps gras : graisses saturées comme le beurre par exemple.
L'action anti-inflammatoire de la cortisone se diffuse pendant une quinzaine de jours.
Il s'agit plus fréquemment d'une lipodystrophie (redistribution des graisses), plutôt que d'une réelle prise de poids. Seuls 10% des patients traités au long cours par cortisone verront leur poids franchement augmenter sous corticoïdes (augmentation de plus de 10% de leur poids « de forme »).
Toute personne ayant un jour pris de la cortisone (cortisol de synthèse anti-inflammatoire) a constaté que cette molécule fait gonfler. C'est la même chose avec le cortisol naturel. Le gros défaut du cortisol qui nous intéresse ici, c'est qu'il favorise la rétention hydro-sodée et la fabrication de graisse abdominale.
Ces anomalies sont dues à une redistribution des cellules graisseuses dans l'organisme (appelée lipodystrophie) et pas à une rétention d'eau. Fréquence : on estime qu'après deux à trois mois de traitement, 60% des patients vont présenter une modification significative de leur aspect physique.
Une prescription courte de corticoïdes ne pose pas de problème de prise de poids.
Syndrome de sevrage aux stéroïdes Léthargie, dépression, anorexie, nausées, myalgies et arthralgies.
En effet, il n'existe pas de remède associé qui puisse vous permettre de dépérir du visage pendant un traitement à la cortisone. Toutefois, un régime très pauvre en matière grasse, en sel, en sucre serait idéal pour éviter le gonflement du visage.
Au niveau de l'alimentation, je vous suggère de réduire vos apports en sodium (viandes transformées/charcuteries, aliments en conserves/jus de légumes, fromages, sauces, condiments, repas surgelés et pré-préparés) et en sucres concentrés (sucre, cassonade, miel, produits d'érable, confitures, tartinade de chocolat et ...
Les effets secondaires sont bien connus, mais leurs conséquences varient selon la dose et la durée de traitement. D'abord, la cortisone modifie le métabolisme du sel et du sucre dans l'organisme, ce qui entraîne un accroissement de la sensation de faim.
Dans le traitement de certaines intoxications médicamenteuses, l'acidité de l'urine est modifiée en administrant des substances antiacides (telles que le bicarbonate de sodium) ou des substances acidifiantes (telles que le chlorure d'ammonium), afin d'accélérer le processus d'excrétion du médicament.
Il faut essayer d'achever ses douches par un jet d'eau froide en insistant sur le visage. Le matin, pour décongestionner les paupières, vous avez le choix entre poser une poche de gel de type Nexcare, passée préalablement au frigo, ou bien un patch d'arnica ou de camomille également froid.
Après un traitement de longue durée par la prednisone, l'abandon soudain du médicament peut entraîner des symptômes de sevrage cortisonique, entre autres des nausées, de la fatigue, une perte d'appétit, une fièvre, des douleurs musculaires ou articulaires, et un malaise généralisé.
"Il y a effectivement la rétention d'eau et la rétention de sel. C'est la raison pour laquelle on demande de manger sans sel… Il y a aussi le fait d'une certaine insulino-résistance, c'est-à-dire que vous avez une augmentation d'une hormone qui fait grossir et qui est sensible au sucre.
Les corticoïdes
Cette classe favorise les œdèmes (rétention d'eau et de sodium) et conduit à une redistribution des graisses. La prise de poids peut être de quelques kilos et concerne plus de la moitié des patients qui suivent une corticothérapie sur plusieurs mois.
Comment et pourquoi l'excès de cortisol fait-il grossir ? Afin de pouvoir bouger et s'activer, le corps a besoin d'énergie. Cette énergie est trouvée en puisant dans les réserves de sucre dans le corps ou en brûlant les réserves de graisse. L'hormone responsable du partage de cette énergie n'est autre que le cortisol.
Un arrêt trop rapide est suivi de rechute voire d'une aggravation (rebond) avec souvent apparition d'une résistance aux corticoïdes. Il faudra donc arrêter le traitement progressivement sur plusieurs semaines (par exemple tous les jours puis un jour sur deux puis deux fois par semaine).
Les effets indésirables les plus fréquents de ce traitement sont l'apparition de bleus, l'élévation de la tension artérielle, la rétention d'eau et de sel pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des troubles de l'humeur et/ou du sommeil, une prise de poids, un gonflement et une rougeur du visage, une poussée ...
Lorsque la cortisone est prise par inhalateur, il est important de maintenir une excellente hygiène buccale pour éviter les infections à champignons. Rincer la bouche avec de l'eau après l'emploi de l'inhalateur diminue le risque d'infection.
Vous le retrouvez dans divers médicaments comme Carbolevure, Charbon de Belloc, Carbosylane, et chez Arkopharma. Une autre solution contre les ballonnements et l'aérophagie est la siméticone. Cet actif est une silicone qui permet d'éclater les bulles de gaz dans l'intestin.
Non, ce n'est pas un effet direct du médicament.
Aérophagie autre cause des ballonnements
Avoir un coup de fourchette trop rapide ou boire sans prendre son temps, s'empresser d'avaler des aliments, parler en mangeant ou consommer des boissons à bulles sont autant de conduites à risque qui augmentant la quantité d'air avalée au cours des repas.