Vous pouvez l'apaiser en lui parlant, ou même mettre la main sur la caisse. Mais laissez-lui l'espace et le temps pour se calmer. Pendant que vous réconfortez votre chiot, ne cédez pas à l'envie de le prendre et de le caresser ou de jouer avec lui.
- Ne répondez pas à ses sollicitations lorsqu'il pleure, gémit ou aboie. - Lors des retrouvailles, ne vous précipitez pas sur lui pour le câliner. Ignorez-le quelques minutes. C'est à vous qu'il revient d'initier le contact.
Sortez votre chiot à l'extérieur calmement, sans trop lui accorder d'attention. Attendez qu'il fasse ses besoins et récompensez-le. Au fil des semaines, repoussez de plus en plus votre heure de réveil initiale afin que votre chiot apprenne à faire une nuit complète sans faire ses besoins.
Avant de placer votre chiot dans le lieu où il va dormir, assurez-vous qu'il a eu la possibilité d'aller dehors et de faire ses besoins le plus tard possible avant d'aller vous coucher ou de quitter la maison. Essayez de ne pas en faire trop avant de laisser votre chiot tout seul.
Enseigner la solitude à votre chiot
Entrez-y pour qu'il vous suive, sans lui parler. Feignez d'être occupé et une fois qu'il est dans la pièce, repartez tranquillement et fermez la porte. Si au bout de quelques secondes il n'a commis aucune bêtise et n'a pas aboyé, félicitez-le. Le lendemain, renouvelez l'expérience.
Heures fixes : Il est important de sortir votre chiot souvent et selon un horaire strict. Il est conseillé de le sortir immédiatement après son réveil, après un exercice, 15 à 20 minutes après un repas et avant la nuit.
Au plus tard, votre chiot devrait dormir environ 8 heures de suite la nuit vers l'âge de 6 mois. Si ce n'est pas le cas, demandez à votre équipe vétérinaire de vous aider.
La première nuit, placez-le à côté de votre lit. Puis, installez-le par exemple dans un coin à proximité de la porte de la chambre, la nuit suivante dans le couloir, jusqu'à ce qu'il trouve définitivement sa place dans la pièce initialement réservée à son couchage.
Il peut exister de nombreuses raisons à cela : le chiot se sent seul, s'ennuie, est malheureux ou est simplement une pile électrique, et cela peut le garder éveillé la nuit.
Pour parvenir à calmer son chien, rien de mieux que de lui apprendre par le biais du jeu ! Voici un jeu, que l'on appelle le jeu du ON/OFF, qui va vous permettre « d'allumer » votre chien puis de l'éteindre sur indication. Cela pourra alors vous être utile lorsque votre toutou est dans un état d'excitation excessif.
Un chiot à 2 mois ne pèse souvent pas très lourd et par conséquent, le laisser tirer sur la laisse en balade ne dérange pas forcément. Pourtant très rapidement petit chien deviendra grand et ce même comportement deviendra gênant. Donc apprenez à votre chiot que c'est avec une laisse détendue qu'il peut avancer.
La cause principale des pleurs de votre chiot est l'anxiété : en effet, le chiot anxieux pleure car il est séparé de vous, ses propriétaires. Les pleurs sont alors considérés comme une sorte d'aboiement.
La meilleure chose à faire est d'essayer de faire de la cage un endroit positif et sûr pour lui et de ne pas l'utiliser comme punition. Lorsque vous essayez d'habituer votre chien à la cage, placez la cage dans un endroit de la maison où votre chiot pourra la renifler et y entrer et en sortir s'il le souhaite.
L'idéal est un endroit confortable et sécurisant pour votre chien, où il pourra prendre du repos mais aussi se réfugier en cas de peur ou de volonté de s'isoler. Évitez donc les lieux de passage, car il serait sans cesse dérangé. Une pièce comme la cuisine, où l'on peut fermer la porte, est une bonne solution.
Apprentissage de la propreté
Une méthode qui a fait ses preuves pour la propreté est de mettre le chiot en cage pour la nuit. Mais attention, avec une cage trop grande le chiot pourrait se sentir seul et abandonné.
La règle de 3 pour l'adaptation des chiens de refuge à leur nouvelle maison : 3 jours, 3 semaines, 3 mois.
Dès le premier jour où votre nouveau chiot arrive à la maison, qu'il ait huit semaines ou quatre mois, c'est à vous de le préparer à des nuits réussies. Les erreurs commises au début peuvent avoir des répercussions pendant des semaines.
Injonctions : apprendre l'ordre au chiot
Quel que soit le temps, votre chiot doit être sorti après son réveil et après avoir mangé ou bu. Une fois dehors, donnez-lui un ordre simple et toujours le même : il saura alors qu'il peut se soulager. Félicitez-le lorsqu'il le fait, mais ignorez-le lorsqu'il ne le fait pas.
Si vous voulez prolonger votre nuit, placer le chiot dans un enclos plus grand pour qu'il puisse faire ses besoins sans vous réveiller. Si cela ne fonctionne pas, voyez si votre chiot vous laissera dormir un peu plus longtemps après la pause pipi si vous le laissez faire des câlins.
Au bout de 7 semaines, ils devraient être complètement sevrés et être capables de manger et de boire tous seuls dans leur propre gamelle.
Il est logique qu'un nouveau chiot doive s'habituer à sa nouvelle maison car il a quitté son environnement familier. Laissez à votre chien le temps de se familiariser avec votre maison. Mettez-le dans son panier, donnez-lui une peluche ou un jouet et laissez-le explorer tranquillement son nouvel environnement.
Donc, mettre son chien en cage lors de vos absences peut avoir un réel intérêt car cela permet de réduire son espace et donc de le sécuriser. De plus, l'habituer positivement à cet espace est indispensable afin que cela soit un plaisir pour lui d'y aller.
Une cage est utile lorsque vous devez transporter votre chien, lors d'un vol ou d'un déménagement par exemple. Il est important de laisser votre chien s'habituer à une cage suffisamment à l'avance. Une cage est aussi utile lorsqu'il est plus prudent que votre chien ne se promène pas dans la maison.
Ne tolérez pas la moindre provocation
Un « non » ferme est indispensable. Votre chiot n'a, par exemple, absolument pas le droit de grogner à votre encontre, quoi qu'il se passe. Si votre chien grogne après vous, votre relation est mal engagée, car il va bientôt passer à l'étape suivante : vous mordre.
Il y a un conseil qui est vrai et justifié: « Si vous vous retrouvez face à un animal inconnu et potentiellement dangereux tel un ours, coyote ou même un chien errant, ne le regardez pas dans les yeux parce qu'il pourrait se sentir menacé et attaquer ».