Quand un enfant (ou un adulte) a vu un film qui fait peur, il faut essayer de le distraire en faisant quelque chose qui lui fait du bien, ce qui permettra à son cerveau d'assimiler ce qu'il a vu et de déconstruire la menace.
Posez-lui des questions pour l'amener à parler de ce qui lui fait peur. Restez à l'écoute de votre enfant. Faites-lui sentir que vous le prenez au sérieux et que vous ne le jugez pas. Invitez votre enfant à s'exprimer par le jeu.
Regarde quelque chose de drôle.
Après un film effrayant, visionne une comédie ou regarde un épisode d'une émission drôle que tu aimes. En te concentrant sur autre chose que le film d'horreur, tu parviendras à dissiper ta peur. Le rire t'aidera également à changer d'humeur et à te sentir mieux X Source de recherche .
Chacun doit faire attention à la solitude des autres pour que les enfants tristes se sentent moins seuls. Les plus chanceux, ceux qui ne savent pas ce que c'est d'être seul, doivent mieux comprendre les autres ou se sentir assez forts pour entendre les appels au secours.
De 0 à 8 mois : l'enfant ressent une angoisse de séparation (peur des étrangers ou peur de l'abandon) et a peur des chutes et des bruits. De 8 mois à 1 an : l'enfant ressent une peur des bruits (aspirateur ou téléphone). De 1 à 2 ans : l'enfant ressent une peur des monstres et du noir.
En regardant les résultats de l'étude, on s'aperçoit que la société est vraiment devenue anxiogène pour les enfants. La première peur qui ressort est celle du terrorisme, des attentats, de la guerre pour 56 % d'entre eux.
Parler avec son enfant et lui lire des histoires favorise le développement de son raisonnement, tout comme le laisser explorer son environnement et lui donner du matériel varié pour jouer. De bonnes capacités de raisonnement aideront l'enfant à mieux comprendre les situations qui se présentent à lui.
Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu'il est impossible de tout prévoir ni d'avoir la main sur tout.
Notre système nerveux sympathique, à cause de la peur et de l'excitation que procure le visionnage, va augmenter le niveau de cortisol et d'adrénaline dans tout le corps. Ces hormones vont aussi aider à préparer le corps à réagir en toutes circonstances.
De la peur au rire, il n'y a qu'un pas
Parmi les films d'horreur sortis ces dernières années, bon nombre d'entre eux ont reçu des avis mitigés de la part du public. C'est notamment le cas de La Nonne 2 (2023), de Smile (2022) ou encore de M3gan (2022).
Les histoires contiennent, mettent en scène et rendent compréhensible ce qui est latent. Elles permettent de penser la peur et de la surmonter. Elles sont bénéfiques et aident l'enfant à prendre confiance en lui. Car les histoires qui font peur montrent qu'il existe des solutions.
La peur fait partie du bon développement de l'enfant. Pour grandir, l'enfant doit vaincre ses peurs. Un enfant qui a peur, c'est un enfant qui fait des progrès. Les parents peuvent encourager l'enfant à parler de ses peurs et à les mettre en scène.
Face à une expérience inconnue ou incomprise, un tout-petit peut se sentir menacé. Au fur et à mesure que l'enfant grandit, il va percevoir différemment ces angoisses. Ainsi, la peur des bruits ou visages inconnus laissent peu à peu place à celle liée au monde imaginaire, comme les sorcières et les monstres.
Établissez un contact physique et oculaire : Si l'enfant vous désobéit, approchez-vous de lui, sans vouloir le menacer de votre présence physique. Il est important de se mettre à sa hauteur et d'établir un contact oculaire. Vous pouvez aussi établir un contact physique comme lui tenir les mains si nécessaire.
La peur peut naître d'une expérience désagréable. Le rappel de son souvenir permet de reconnaître un péril. La peur exerce alors une fonction physiologique bien conservée au cours de l'évolution, elle nous alarme lorsqu'il y a un danger et nous prépare soit à fuir ce danger, soit à l'affronter.
Les techniques telles que la respiration profonde, la méditation ou le yoga peuvent l'aider à se calmer lorsque l'anxiété monte. Vous pouvez trouver des vidéos ou des livres adaptés aux enfants qui expliquent ces techniques de manière ludique.
En formulant vos peurs, cela vous aide à prendre du recul. Notez bien si un risque réel existe ou non, dans chaque situation décrite. Cela vous permet de prendre de la distance avec des pensées irrationnelles. Après l'acceptation, la deuxième étape pour apprivoiser ses peurs consiste à en explorer l'origine.
Selon une enquête de l'association Anxiety UK, c'est la phobie sociale qui arrive en tête du classement. Également appelé «anxiété sociale», ce trouble se caractérise par une peur intense d'être confronté à des situations d'interactions sociales.
La nomophobie
Prudence, vous êtes sans doute nomophobe. La nomophobie est la crainte de perdre son téléphone portable. Ne plus être constamment connecté aux autres serait une peur que nous sommes de plus en plus nombreux à avoir et qui pourrait bien encore prendre de l'ampleur...
Le premier type de peur concerne la crainte de l'abandon et fait son apparition vers 8-12 mois. En effet, à cet âge, alors que bébé se laissait aller de bras en bras en souriant, il panique soudainement à l'idée de quitter ceux de sa mère.