Restez calme. Quand ils se moquent de vous, soyez calme. Bien sûr, cela est plus facile à dire qu'à faire, surtout avec toute cette vague de gêne et de souffrance qui vous envahit. Cependant, garder votre sang-froid sur le moment est essentiel pour leur enlever le pouvoir qu'ils ont entre les mains.
Si quelqu'un se moque de vous en raison de quelque chose qu'il ne comprend pas, dites-vous bien que vos choix sont valides et que vous n'avez pas besoin de l'approbation des autres. Répétez-vous « J'étudie pour m'assurer un meilleur avenir » ou « Ce passetemps m'apporte de la joie et ne fait de mal à personne.
Attitude n°3 : Se tenir droit dans ses bottes
La fermeté est une autre arme puissante pour déstabiliser les moqueurs car le but ultime de ces derniers est de vous faire douter de vous, de vos capacités… En ayant une attitude ferme vous aurez le dessus sur tout ce que votre interlocuteur aura à vous dire.
Certaines personnes utilisent l'ironie et la moquerie pour se créer un cercle relationnel basé sur la crainte, se donnant une image de force. Souvent cette attitude de « persécuteur » devient pathologique se traduisant par de la manipulation relationnelle.
Blagueur, railleur, goguenard. Qui est moqueur, malicieux ou railleur. Un sourire narquois. Qui manifeste de la moquerie.
La moquerie est amplifiée par l'effet groupe. Elle a encore plus de poids et d'impact. Se moquer est une façon d'expérimenter son agressivité, sa cruauté. C'est aussi tourner en ridicule une qualité de l'autre que l'on convoite ou un élément qui nous inquiète.
Se moquer des autres peut produire un rejet chez l'agresseur, une diminution de l'apprentissage scolaire et une faible estime de soi. Cela augmente aussi l'agression et l'insécurité personnelle. C'est, en effet, la preuve que les règles régissant le comportement social sont ignorées.
1/ Les narines qui frémissent. C'est plus ou moins marqué chez les gens mais souvent, quand dit des trucs qu'on ne pense pas, on a les narines qui tremblent légèrement. Autre geste « nasal » : le « je me gratte le côté du nez » pendant que j'te cause (geste que font assez souvent les politiciens, d'ailleurs,…).
Tourner quelqu'un, quelque chose en ridicule, s'amuser d'eux : Se moquer d'un ami étourdi. 2. Ne faire nul cas de quelque chose, de quelqu'un, ne pas s'en soucier, y être indifférent : Se moquer du qu'en-dira-t-on. Je me moque de ce qu'il pense.
Action ou habitude de se moquer : Être en butte à la moquerie de ses camarades. 2. Action, parole par lesquelles on raille ; raillerie : Exciter les moqueries de son entourage.
Vous pouvez aussi répondre avec humour (selon l'interlocuteur que vous avez en face de vous, bien sûr) : “Qu'es-tu allée faire à Paris hier ?” “Écoute, si l'on te pose la question, tu pourras toujours dire que tu ne sais pas !” ? L'humour est souvent une bonne façon de détourner l'attention sans blesser personne, vous ...
C'est ce qu'avance la neuropsychologue Sylvie Chokron. Et ça nous fait du bien : rire libère des endorphines, nous aide à décompenser lors de moments difficiles…
Il est d'ailleurs rejoint dans ses propos par le psychologue Sarvesh Dosooye. Selon ce dernier, les moqueries sont souvent source de détente pour certains, qui ne pensent souvent pas aux conséquences de leurs propos. « Une personne peut aussi se moquer des autres afin de camoufler son propre sentiment d'insécurité.
Je-m'en-foutiste : Définition simple et facile du dictionnaire.
Un terme qui apparaît dans l'œuvre de François Rabelais: «agélaste». Comprenez: un individu «réfractaire à l'humour».
moqueur (adj.) 1. qui aime à se moquer, qui est enclin à la raillerie. Blagueur, railleur, goguenard.
Réponds-lui : « Je suis désolé que ça ne te plaise pas, mais c'est subjectif. J'essaie de faire de mon mieux et de m'améliorer, donc je t'écoute si tu as quelque chose de constructif à me dire. » Si quelqu'un te dit que tu es bizarre, réponds : « Oui, un peu, mais ça ne me pose pas de problème. Pourquoi, ça devrait ? »