Obsédées par le gâchis, la réussite, l'excellence, toujours à tout vérifier, contrôler et avoir raison contre tous… les personnalités obsessionnelles compulsives, encore appelées « POC », sont difficiles à vivre. Au point qu'elles finissent généralement par consulter un psy de force, à la demande de leurs proches.
Le contrôle compulsif est la dérive d'un individu qui l'amène à vouloir tout contrôler, tout diriger ou tout superviser sans forcément en avoir conscience. Dirigé au départ vers soi, en contrôlant ses sentiments, ses émotions et même ses pensées, le contrôleur compulsif étend son champ d'action aux autres.
Les contrôlants recherchent avant tout la sécurité. Ce sont des personnalités anxieuses, ils ont besoin que l'on pense comme elles, que l'on fasse comme elles le décident. Auquel cas cela les angoisses terriblement. Les personnes contrôlantes n'aiment pas les imprévus, et ne laissent rien au hasard.
Respectez la personne autoritaire qui vous fait confiance ou cédez-lui un peu de responsabilités, saisissez cette occasion et félicitez-la. Votre ennemi juré affamé de contrôle va se sentir suffisamment bien pour vouloir répéter ce comportement, quand vous remarquez et reconnaissez ouvertement une bonne chose.
Perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l'emporte-pièce, obsession de sa propre image et abus de pouvoir... Ce seraient quelque uns des symptômes d'une maladie mentale liée à l'exercice du pouvoir, le syndrome d'hubris.
Les personnes psychorigides sont également peu chaleureuses, voire froides, même avec des personnes qu'elles apprécient. Elles ont aussi généralement un côté obsessionnel et perfectionniste à l'extrême, qui les pousse à vouloir tout gérer, tout contrôler (tout doit être organisé, planifié.
Refusez avec respect autant que possible.
Vous pouvez dire « dans ce cas, je ne suis pas d'accord avec vous » ou « non, je ne pense pas que ce soit la meilleure manière de le faire. » Si vous dites « Non » avec confiance et respect, la personne peut être prise au dépourvu et respecter votre opinion.
Une des manières de gérer quelqu'un qui croit toujours avoir raison est de commencer par être d'accord avec lui ou au moins d'admettre que vous comprenez ce qu'il dit. Ensuite, vous pouvez présenter votre contreargument. Par exemple, vous pourriez lui dire : « je comprends ce que tu dis.
1. Il est rapide dans ses déclarations. Un homme qui veut vous contrôler vous déclare rapidement sa flamme, ce qui peut être très flatteur au début, mais c'est un signe commun du besoin de contrôle. En effet, il vous montre qu'il est tombé amoureux de vous tout de suite, par des gestes et des paroles flatteuses.
La domination peut être comprise comme une déviation du besoin d'affirmation de soi et de reconnaissance. Cette déviation peut avoir une origine psychologique comme par exemple le mécanisme de compensation.
Accrochez cette déclaration quelque part où vous pouvez la voir. « M'aimer et avoir de l'estime pour moi-même signifie lâcher prise. » Remplacez vos pensées émotionnelles par des faits. Lorsque vous pensez, « je ne me sentirai jamais à nouveau aimé ! » ne résistez pas à ce sentiment.
L'hypnothérapie, une arme pour vaincre ses peurs
Apprendre à le contrôler pour qu'il transforme vos forces en faiblesses, est indispensable si vous êtes sujet aux phobies. Ainsi donc, les séances d'hypnothérapie sont faites pour vous permettre d'augmenter votre sentiment de sécurité au quotidien.
Accepter la situation, c'est d'abord conscientiser et accueillir qu'on est dans la résistance. Ensuite, on avance vers l'acceptation par l'accueil des émotions souffrante déclenchée par cette réalité.
Le critiqueur. Le critiqueur ne rate aucune occasion de vous juger ouvertement, de vous rabaisser ou de relever vos plus infimes imperfections.
Laissez ici les émotions « au placard » et jouez la « factuel ». – Mettez votre interlocuteur face à ses contradictions. – A l'attaque frontale, répondez par une question. Exemple, il vous dit : « On ne peut décidément rien vous confier ! ».
Le manque de respect dans le couple naît du désir de l'un d'avoir le plein contrôle sur l'autre, en tout temps et en toute situation. En effet, pour s'imposer, il utilise la pression psychologique (violence verbale, chantage affectif…) ou physique (violence).
Le manque d'écoute active figue parmi les signes que votre homme ne vous respecte pas. L'écoute est largement sous-estimée, vous avez l'impression qu'il ne s'intéresse qu'à moitié à ce que vous avez à dire. Parfois, vous avez la sensation de parler à un mur lorsque vous parlez à votre partenaire.