Un geste de réconfort est contre-productif s'il n'est pas sincère. Personnellement, je suis arrivée à la conclusion que le plus simple est de demander à la personne qui pleure ce dont elle a besoin. Je pars du principe qu'elle est suffisamment adulte pour répondre à la question : « qu'est-ce qui te ferait du bien ? ».
On peut également se détendre les sourcils, car lorsque l'on est triste, ceux-ci ont tendance à se resserrer. Se pincer la peau entre le pouce et l'index stoppe également immédiatement les larmes. Si vous voulez cacher votre tristesse face à quelqu'un, pensez à pincer votre main dans votre dos, c'est plus discret.
Le premier réflexe pourrait être d'apprendre des techniques relationnelles et de communication de façon à se mettre à distance pour mieux gérer la situation. Mais le soignant ne peut éviter son propre malaise, ses propres angoisses et doit de ce fait comprendre ses réactions.
Un geste de réconfort est contre-productif s'il n'est pas sincère. Personnellement, je suis arrivée à la conclusion que le plus simple est de demander à la personne qui pleure ce dont elle a besoin. Je pars du principe qu'elle est suffisamment adulte pour répondre à la question : « qu'est-ce qui te ferait du bien ? ».
Définition de pleureur
nom vieilli (Personne) qui pleure facilement. Enfant pleureur. Par extension Air, ton pleureur. ➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
Mettre en place des distractions. Pincez-vous. Certaines personnes arrivent à s'arrêter de pleurer en se pinçant au niveau du nez, du bras, des joues, de la paume des mains, etc. Il est possible que la sensation de douleur temporaire distraie votre esprit des émotions et des pensées qui vous ont donné envie de pleurer.
“Il y a sans doute encore dans notre inconscient collectif l'idée reçue selon laquelle pleurer est une faiblesse, analyse Stéphane Migneault, psychologue. Quand on pleure malgré soi en public, on montre quelque chose de très intime : sa peine, son désarroi, sa sensibilité, sa souffrance, sa vulnérabilité.
Sachez qu'en réalité, pleurer n'est pas une faiblesse, mais un signe d'intelligence émotionnelle (et cela vaut AUSSI pour les hommes). D'après le psychologue Daniel Goleman, l'intelligence émotionnelle se définit par la capacité à identifier, à comprendre et à gérer ses propres émotions.
Si la personne sourit immédiatement ou cesse de pleurer, c'est qu'elle simule. Si la personne continue de pleurer, c'est qu'elle est sincère et est vraiment triste.
Lorsque l'on a fait face à des jours très stressants et fatigants, comme en période d'examens pour les étudiants, ou encore des journées tendues au travail, avec la famille, les enfants ou autre, il se peut que le corps s'exprime en déchargeant toutes les tensions accumulées par des pleurs qui libèrent.
Parmi ces médicaments, soulignons la fluoxétine (Prozac), le citalopram (Celexa), la sertraline (Zoloft) et l'escitalopram (Cipralex). Les ISRS agissent sur certains produits chimiques naturels (les neurotransmetteurs) du cerveau qui sont utilisés pour communiquer entre les cellules cérébrales, et ils gèrent l'humeur.
Pleurer soulage la douleur et améliore l'humeur
Avec des larmes émotionnelles, le corps libère deux hormones puissantes responsables de notre bien-être : l'endorphine et l'ocytocine. Ces substances soulagent l'inconfort et créent une agréable sensation de tranquilité et de calme.
regretter, déplorer. laisser couler la sève. quémander, réclamer.
Ces maux de têtes qui peuvent se produire après une séance de pleurs ne sont pas aussi faciles à expliquer. Bylsma estime que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec la déshydratation, en raison de l'eau que l'on perd avec les larmes.
Des changements d'émotions (pleurs, rires, humeur, moral) sont souvent tout à fait normaux, selon les périodes de vie traversées. Cependant, ils peuvent devenir graves lorsqu'ils empêchent certaines activités quotidiennes ou amènent des idées noires, voire des idées de mort ou de suicide.
Une des premières façons de consoler est donc d'écouter. Mais d'écouter sans parler, en prenant le temps de se mettre à la place de l'autre et surtout en évitant les phrases inutiles comme "un de perdu, dix de retrouvés". Ecouter sans parler, c'est tout un art.
Lorsque pleurer devient fréquent, engendre une souffrance morale, ou des difficultés relationnelles, il est essentiel de consulter un professionnel afin de rechercher une maladie mentale. Les pleurs peuvent montrer la souffrance émotionnelle, et alerter sur un mal-être plus profond.
Le deuil compliqué est caractérisé par une perturbation du travail de deuil qui ne s'engage pas ou qui ne parvient pas à son terme. Le deuil pathologique est caractérisé par la survenue de troubles psychiatriques durant la période du deuil.