Le kyste (aussi appelé
Le traitement d'un kyste pilonidal implique l'incision et le drainage de la zone concernée. Des antibiotiques par voie orale ne sont généralement pas nécessaires car il s'agit d'une infection localisée.
Le kyste pilonidal est une pathologie bénigne et fréquente. Bien que le taux de récidive soit faible suite à une opération chirurgicale, soit 5 % des cas, une surveillance régulière permet d'y remédier. Si toutefois des signes d'infection se manifestent, il convient de contacter rapidement un médecin.
Le kyste sacro-coccygien ou kyste pilonidal (ou encore maladie pilonidale) correspond à une infection aiguë ou chronique qui survient le plus souvent dans la région sacro-coccygienne (au sommet du pli des fesses). C'est une maladie acquise (qui apparaît au cours de la vie) qui atteint 1% des hommes et 0.1% des femmes.
Dans l'immense majorité des cas, le kyste n'est pas dangereux et son préjudice est purement esthétique. Cependant, il est normal de s'inquiéter lorsqu'une bosse ou un renflement apparaît de manière inexpliquée sur la peau, dans les seins ou ailleurs sur le corps.
Le traitement le plus conventionnel et le plus souvent utilisé est la résection chirurgicale qui permet d'enlever le kyste dans son intégralité. L'opération se fait sous anesthésie générale, en ambulatoire.
Plusieurs facteurs peuvent être à l'origine de la formation d'un kyste. Anomalie héréditaire (exemple : polykystose rénale), infection, tumeur, inflammation chronique ou encore usure du tissu corporel sont à titre d'exemple des causes probables récurrentes.
Par ailleurs, le fait de présenter un kyste sur un organe augmente le risque de développer un cancer au niveau de ce même organe. En effet, quoique bénins, les kystes peuvent être le siège de départ de certaines tumeurs malignes, notamment les kystes du pancréas ou de l'ovaire, bien que cela reste rare.
Un kyste infecté peut se rompre spontanément pour laisser s'écouler le sébum qu'il contient. En cas d'infection, un traitement antibiotique (par voie orale ou locale) doit être mis en place avant un retrait chirurgical du kyste.
Le kyste (aussi appelé sinus) pilonidal (en rapport avec des poils) est une cavité qui se forme sous la peau. Elle est secondaire à l'accumulation de poils ayant pénétré dans le derme le plus souvent par une petite fossette présente chez certains individus au niveau du sillon interfessier.
Des petites bosses lisses de la couleur de la peau ou « jaunes-blancs » apparaissant sur le visage, sur le cou, sur le tronc, sur le dos, sur les membres et parfois dans la région génitale. Elles peuvent atteindre la taille d'une balle de golf. Les kystes de la peau sont habituellement sans douleur.
Faut-il percer un bouton kyste ? Il est plus que tentant de percer un bouton kyste lorsqu'il fait son apparition, mais c'est en général déconseillé ! En effet, en perçant votre kyste sébacé, vous risquez surtout de l'infecter, de l'étendre davantage et d'en garder des cicatrices.
Le kyste pilonidal peut passer inaperçu pendant des années, sans faire souffrir le patient puis peut s'infecter du jour au lendemain et former un abcès. Bien souvent, un traitement chirurgical complet est nécessaire afin d'éliminer définitivement le kyste.
Le kyste ne possède pas de paroi propre et dès lors qu'il se met en activité, il va s'infecter. Ce kyste sous-cutané peut aboutir à un abcès aigu et le pus produit va faire qu'il sera très douloureux. Ce dernier finit par s'écouler par de petits orifices visibles et fait disparaître la douleur.
Le kyste épidermique ou épidermoïde
"Formés à partir des cellules épidermiques, ce sont les kystes cutanés les plus fréquents", décrit le dermatologue. Ils sont situés dans le derme, sous l'épiderme, sont bénins mais doivent néanmoins subir un examen par un dermatologue.
Vider les kystes sébacés est une pratique assez courante qui expose malheureusement le patient à la récidive du kyste car sa coque n'est pas retirée. C'est pourquoi, cet acte doit être chirurgical. Le chirurgien plasticien est formé pour réaliser ce geste très fréquent.
Les kystes peuvent éclater si la cavité est perforée. Dans ce cas, le liquide va se vider. « Sur la peau, on essuie, mais dans le cas d'un kyste ovarien, le liquide va se répandre dans la cavité abdominale et ça peut causer des douleurs importantes. Ça peut même entraîner une hémorragie interne », conclut-il.
L'argile verte est un remède naturel souvent plébiscité. Elle est particulièrement utile dans la prise en charge du kyste synovial. En effet, cette terre riche en silicates possède des propriétés absorbantes et elle permet de drainer les liquides et certaines toxines hors du corps.
Parfois on parle de kyste qui signifie que cela occupe de la place. L'adénome désigne un type particulier de tumeurs. Il existe des tumeurs avec des kystes, d'autres sans kyste. En revanche il est rare d'avoir des kystes sans tumeur.
A la radio, on ne peut pas diagnostiquer le type de kyste : on voit seulement une tache noire appendue à la racine d'une dent. « Toutefois, si la masse est de petite taille, il s'agit plutôt d'un granulome », précise le chirurgien-dentiste. L'abcès dentaire, lui, est une infection locale remplie de pus.
Quand opère-t-on un kyste sacro-coccygien ? Les kystes sacro-coccygiens ne sont opérés que lorsqu'ils sont symptomatiques, c'est-à-dire responsables de symptômes. Ces symptômes peuvent être un abcès, une douleur ou une gêne, un écoulement, des démangeaisons…
Malheureusement, il n'existe pas de traitement naturel ou de traitement sans opération pour le kyste pilonidal. Il est nécessaire de passer par un traitement médicamenteux pour calmer l'éventuelle douleur insupportable.