Les facteurs de risque sont des attributs qui contribuent au développement ou à l'aggravation de conditions indésirables. Ils comprennent par exemple les comportements oppositionnels, le conflit familial et l'isolement social.
Catégories de risques auxquels l'entreprise fait face
Risque opérationnel : défauts techniques, accidents, erreurs humaines, perte d'employés clés. Risque du marché : changements dans la concurrence, dans le nombre de produits vendus par client, perte de parts de marché. Changements dans les facteurs macroéconomiques.
– Les facteurs environnementaux liés aux à des pressions mécaniques produites par le contact du corps avec des objets extérieurs, les chocs, les vibrations, la qualité de l'éclairage ou encore le froid. – Les facteurs organisationnels liés aux conditions de travail, à son organisation ou à son environnement.
Les risques sont classés en fonction de leur gravité, de leur probabilité d'occurrence et du nombre potentiel de salariés affectés. L'EvRP vise aussi la mise en place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.
Le risque peut être latent (il n'est pas encore manifeste), apparent (il se manifeste) ou disparu (il ne peut plus se manifester).
Les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. Les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, ruptures de barrage…
Les TMS sont des maladies qui touchent les articulations, les muscles et les tendons. Tendinopathie, syndrome du canal carpien au poignet, épicondylite au coude, hygroma du genou en sont quelques exemples.
Les TMS, troubles musculo-squelettiques en quelques mots. Les troubles musculo-squelettiques (TMS) regroupent un ensemble d'affections de l'appareil locomoteur (muscles, tendons, nerfs, articulations) se traduisant par des douleurs et une gêne fonctionnelle.
Les TMS sont des maladies qui touchent les articulations, les muscles et les tendons. Tendinopathie, syndrome du canal carpien au poignet, épicondylite au coude, hygroma du genou en sont quelques exemples. Ils s'expriment par de la douleur mais aussi par de la raideur, de la maladresse ou une perte de force.
Les différents types de risques auxquels chacun de nous peut être exposé sont regroupés en 5 grandes familles : naturels, technologiques, transports collectifs, vie quotidienne et liés aux conflits.
Les risques professionnels les plus courants sont les risques physiques liés à l'utilisation d'outils et d'équipements, les risques chimiques liés à l'utilisation de produits dangereux, les risques psychosociaux liés à des conditions de travail difficiles et au stress et les risques liés à la santé et à la sécurité du ...
les facteurs internes (ou endogènes) renvoient à des caractéristiques inhérentes à l'individu, comme par exemple les changements hormonaux observés à l'adolescence.
Les facteurs internes de risque sont ceux liés aux décisions de l'organisation, et qui sont donc générés par l'organisation elle-même. Les décisions des dirigeants sont prises dans de nombreux domaines : management, commercial, financier, social.
Les troubles musculo-squelettiques représentent de loin la première cause de maladies professionnelles indemnisées. Leur survenue est liée à des facteurs physiques et/ou psychiques et/ou organisationnels.
Le mal de dos, douleur souvent intense au niveau des vertèbres lombaires, est un TMS particulièrement fréquent. 87 % des maladies professionnelles reconnues sont des TMS. 20 % des accidents du travail sont liés au mal de dos.
Ils proviennent d'un cumul de dommages associés aux contraintes professionnelles physiques, par exemple, la manutention de charges, d'autres efforts physiques, des gestes répétitifs et/ou de précision, des postures contraignantes ou statiques, des vibrations.
Les premiers symptômes des troubles musculo-squelettiques
Le stade initial se caractérise par des douleurs et une gêne fonctionnelle (perte de mobilité ou de force) qui apparaissent pendant l'activité exercée. Elles disparaissent le soir, au repos, et ne réduisent pas la capacité de travail.
la diversification des tâches, la formulation d'objectifs clairs, l'amélioration de la formation... ; l'adaptation des outils ; l'adaptation des équipements pour réduire les vibrations, par exemple, sans oublier les équipements de protection individuelle ; éventuellement, un suivi médical renforcé.
Le risque anthropique se caractérise par un accident lié à une activité humaine (exemples : site industriel, canalisations de transport de matières dangereuses…) et pouvant entraîner des conséquences graves pour le personnel, les populations, les biens, l'environnement ou le milieu naturel.
La notion de risque naturel recouvre l'ensemble des menaces que certains phénomènes et aléas naturels font peser sur des populations, des ouvrages et des équipements. Plus ou moins violents, ces évènements naturels sont toujours susceptibles d'être dangereux aux plans humain, économique ou environnemental.
La gestion des risques est le processus qui permet d'identifier et d'évaluer les risques en vue d'élaborer un plan visant à minimiser et à maîtriser ces risques et leurs conséquences potentielles pour une entreprise. Les risques représentent une probabilité de perte ou de dommage.