Carcinome basocellulaire ou basaliome
Le changement cutané ressemble généralement à un bouton de couleur chair, une papule ou un nodule brillant. Il peut également prendre la forme d'une plaie semblable à un eczéma qui ne guérit pas, ou qui guérit puis réapparaît.
Enfin, n'hésitez pas à consulter un médecin lorsque certains petits boutons sont accompagnés d'autres plaintes comme de la fièvre, par exemple, ou lorsqu'un bouton revient trop souvent ou s'il est très douloureux.
Si une tache pigmentaire est retrouvée sur la peau, certaines caractéristiques doivent faire suspecter un mélanome. Il s'agit de taches dont la forme est irrégulière, asymétrique, dont les bords ne sont pas correctement délimités, dont la couleur n'est pas uniforme et dont la forme, la couleur et l'épaisseur évoluent.
C'est la forme la plus fréquente de cancers de la peau. Les carcinomes basocellulaires n'évoluent que localement et ne forment jamais de métastases, c'est-à-dire qu'ils ne s'étendent pas à d'autres organes. Ils se situent généralement sur le visage, au niveau du cou ou encore sur le haut du tronc.
Une plaie ne cicatrise pas: comment y remédier? La mesure principale contre une mauvaise cicatrisation est la prévention. Pour assurer une bonne cicatrisation, il convient de nettoyer et de désinfecter correctement la plaie et de la traiter ensuite avec une crème cicatrisante.
Les nodules sont présents dans les formes les plus graves d'acné. Ce sont de gros boutons enflammés arrondis, palpables dans ou sous la peau. Ils peuvent évoluer vers un abcès, sa rupture et la formation de marques résiduelles.
Pas de doute quand le bouton est très gros, dur, douloureux, et rouge sur le pourtour avec une pointe de blanc au centre. Le furoncle est une infection à staphylocoque profonde du follicule d'un poil et s'il est devenu plus rare, il nécessite une surveillance rapprochée.
Ils peut se développer sur des zones préalablement sans taches, mais dans environ 30 % des cas il se développe sur une zone où il y a des nævi (grains de beauté). Les symptômes comme des démangeaisons ou un saignement de la lésion peuvent être des signes de mélanome malin.
Principalement diagnostiqué après 50 ans (l'âge moyen au diagnostic est de 56 ans chez la femme et 58 ans chez l'homme), il peut apparaître sur n'importe quelle zone du corps, mais est plus fréquent sur les zones exposées au soleil, à partir de la peau « normale » ou d'un grain de beauté.
Un petit bouton qui persiste, une rougeur qui ne passe pas ou encore une croûte qui ne cicatrise jamais, ce sont peut-être les premiers signes d'un carcinome de la peau. Il s'agit d'un cancer, le plus fréquent des cancers cutanés. Mais plus ils sont détectés tôt, plus le traitement sera simple.
Causes: Il est la plupart du temps le fruit d'un abus de soleil ou d'un cosmétique inadapté, voire mal démaquillé. Traitement(s): Un bon gommage mécanique, enzymatique ou salicylique est salvateur. Cela dit, si le bouton en volume refuse de sortir, on n'insiste pas (ça pourrait irriter la peau).
En cas d'urticaire cholinergique, l'éruption cutanée liée au stress apparaît sur le dos et le thorax sous forme de petites papules rouges. Elle dure 15 à 60 minutes et s'accompagne parfois de mal de tête ou de symptômes digestifs.
Quels types de boutons ? En réaction au stress, la production de sébum peut être modifiée : Si elle augmente : les pores de la peau se bouchent, et des boutons d'acné apparaissent, ce sont des boutons de stress. Si elle diminue : la peau devient sèche, des rougeurs et des tiraillements apparaissent.
Pourquoi et comment se forment les boutons ? Les boutons apparaissent le plus souvent à l'adolescence, mais il est possible d'en avoir à 20, 30 ou 40 ans. Quel que soit l'âge, les causes sont les mêmes : ils se forment principalement à la suite d'une augmentation de la production de sébum (ou hyperséborrhée).
Les deux principales sont : des éruptions maculo-papuleuses, c'est-à-dire des boutons ou des plaques rouges répartis sur l'ensemble du corps, avec une prédominance sur le haut du corps ; des urticaires qui se présentent comme des des piqûres d'orties et forment de petites papules disséminés sur le corps.
La douleur est fréquente dans les cancers mais peu rapportée dans les carcinomes cutanés. Toutefois la douleur et le prurit peuvent être présents dans les carcinomes basocellulaires (CBC) et épidermoïdes (CE).
Le carcinome basocellulaire (ou épithélioma basocellulaire) est le cancer de la peau le plus fréquent. Il est généralement identifié très précocement et son développement est lent. Le traitement principal, la chirurgie, est très efficace.
Le traitement du carcinome basocellulaire est presque toujours efficace, et ce cancer est rarement mortel.
Le kyste sébacé se présente sous la forme d'une petite boule dont la taille varie de quelques millimètres à quelques centimètres. Il prend l'aspect d'une boule dure cutanée qui peut être de couleur chair, blanche ou bien jaune. Le plus souvent, les kystes sébacés ne sont pas gênants et n'engendrent pas de douleur.
Le carcinome épidermoïde débute sous la forme d'une zone rouge à la surface squameuse et croûteuse. En se développant, la tumeur peut prendre du relief et durcir, avec, parfois, une surface semblable à celle d'une verrue. Enfin, la tumeur cancéreuse évolue en ulcération et se développe dans les tissus sous-jacents.
Une régression spontanée sur 60 000 à 100 000 cancers
La régression spontanée d'une tumeur maligne peut s'observer en cas de cancer localisé mais également dans les formes métastatiques.
Le mélanome est l'une des formes les plus graves de cancer de la peau (cutanés). Même s'il ne représente que 10 % des cancers cutanés, le mélanome est à l'origine de la grande majorité des décès dus à ce type de cancer.