La proposition principale se trouve généralement avant la subordonnée : Je vous recontacterai (principale) dès que la décision sera prise (subordonnée). Mais elle peut se placer après la subordonnée : Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale).
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
Une proposition est un groupe de mots ayant pour noyau un verbe dont le sujet est exprimé ou sous-entendu. Une phrase contient donc autant de propositions que de verbes dont le sujet est exprimé ou sous-entendu. Si une phrase ne contient qu'une seule proposition, il s'agit d'une phrase simple.
- délimite les propositions par des crochets [ … ] - donne en dessous de chaque proposition, sa nature : dis si c'est une proposition indépendante, principale ou subordonnée. - indique comment elles sont associées : dis si c'est par un lien de juxtaposition, de coordination ou de subordination.
Identifier la structure grammaticale
🔍 Une proposition subordonnée est souvent introduite par : Une conjonction de subordination (comme "que", "si", "quand", "parce que", etc.) Un pronom relatif (comme "qui", "que", "dont", etc.)
Exemple : Je vais au concert ce soir et je rentrerai tard. Le verbe conjugué est le noyau d'une phrase, il y a donc autant de propositions que de verbes conjugués. Exemple : Je vais au concert (1ère proposition) qui a lieu ce soir (2ème proposition) et je rentrerai tard (3ème proposition).
UNE PROPOSITION, C'EST UN GROUPE DE MOTS ORGANISÉS AUTOUR D'UN VERBE CONJUGUÉ. La servante de Monsieur était sourde ; elle ne risquait pas d'écouter les plans. Le Monsieur vivait seul car il ne s'était jamais marié.
La phrase contient une ou plusieurs propositions. On distingue trois sortes de propositions: La proposition indépendante comme son nom l'indique, ne dépend de rien, et rien ne dépend d'elle; elle se suffit à elle-même.
Sa fonction est le plus souvent complément de l'antécédent et elle sert généralement d'expansion du nom.
- Une proposition indépendante est une proposition qui se suffit à elle-même, qui ne dépend d'aucune autre et dont aucune autre ne dépend. Une phrase peut comporter plusieurs propositions indépendantes reliées par des conjonctions de coordination ou juxtaposées (séparées par une ponctuation forte (: ;)).
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Pour repérer le nombre de propositions dans une phrase, il faut donc repérer le nombre de verbes conjugués. Exemple : [Lou a commencé la danse] [quand elle avait six ans]. Cette phrase comporte deux propositions car elle a deux verbes conjugués. Quand le verbe est le même, il n'est pas toujours répété.
Deux propositions indépendantes peuvent être coordonnées, c'est à dire qu'elles sont reliées par une conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car). Exemple : Le gâteau de Fiona est délicieux et ses invités sont contents.
Une proposition subordonnée est une proposition qui dépend d'une proposition principale. Elle se rattache à la proposition principale pour apporter une précision en lien avec celle-ci.
Dans une proposition subordonnée relative, « que » est un pronom relatif et peut être remplacé par un nom. Il fait partie du groupe nominal. Dans une proposition subordonnée conjonctive, « que » est une conjonction de subordination et ne peut pas être remplacé. Il fait partie du groupe verbal.
Deux propositions indépendantes sont juxtaposées quand elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. Elles sont juste séparées par une virgule ou un point virgule.
- Lorsqu'il y en a plusieurs dans une phrase, elles sont juxtaposées si elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. - Elles sont coordonnées lorsqu'un mot de liaison les relie. Il s'agit la plupart du temps d'une conjonction de coordination : mais, ou, est, donc, or, ni, car.
La proposition subordonnée complétive conjonctive est introduite par la conjonction que. Elle complète un verbe ou une expression verbale, par exemple : un verbe de déclaration (dire, préciser…) un verbe de connaissance, de constatation ou d'opinion (savoir, croire, apprendre…)
La proposition subordonnée relative est, dans la plupart des cas, placée derrière le nom ou le pronom qu'elle complète – que ce soit en fin de phrase ou au milieu de celle-ci. La forme du pronom relatif dépend de sa fonction dans la phrase.
La proposition principale est toujours accompagnée d'au moins une proposition subordonnée (s'il n'y a qu'une seule proposition, elle est indépendante). Même si elle parait imprécise, la proposition principale a un sens quand on l'isole du reste de la phrase.
1. Action de proposer quelque chose ; ce que l'on propose : Faire une proposition avantageuse. 2. Unité syntaxique élémentaire construite autour d'un verbe, et dont la réunion par coordination ou subordination constitue la phrase effectivement réalisée.
Re: Les propositions coordonnées et subordonnées.
Ces phrases sont toutes les deux des phrases complexes qui expriment la cause mais de deux façons différentes, l'une par la coordination, l'autre par la subordination (il s'agit d'une subordonnée conjonctive circonstancielle de cause).