Yvane Wiart estime que ce qui distingue un agresseur d'une victime est la notion de culpabilité : un agresseur ne se sent jamais coupable (c'est toujours la faute de l'autre) alors qu'une victime a tendance à se rendre coupable de tout, tout le temps.
Rejet et humiliation : faible estime de soi, colère/rage, culpabilité, manque de régulation affective… Ces personnes ont tendance à être violentes et à maltraiter sur le plan émotionnel. Attachement insécure: beaucoup de jalousie et d'envie de tout contrôler.
Le terme agresseur sexuel réfère à toute personne qui commet une agression sexuelle, qu'elle soit commise ou non sur un mineur, alors que le délinquant sexuel réfère à un individu ayant été reconnu coupable d'avoir commis une infraction criminelle de nature sexuelle.
Certains agresseurs vont jusqu'à accuser leurs victimes d'être elles-mêmes négligentes, voire carrément maltraitantes. Il s'agit d'un jeu psychologique, utilisant l'influence et la perte de repères pour parvenir à des fins de domination.
La séduction : le manipulateur commence toujours par séduire sa victime pour mieux la manipuler ensuite. Au départ, il fait tout pour plaire à sa proie pour que celle-ci baisse la garde et se sente en parfaite confiance. Plus on se sent à l'aise avec une personne, moins on s'en méfie.
L'harceleur a souvent tendance à laisser rapidement parler sa colère, et n'hésite pas à appliquer un rapport de force avec ses victimes. Également, la propagation de rumeurs, de moqueries ironiques, de punitions infantilisantes ou d'insultes désobligeantes peuvent être le signe d'un harcèlement moral.
L'agresseur sexuel peut être un conjoint, un ami, une connaissance, un professionnel, un collègue de travail, un employeur, un camarade d'études, un voisin, un membre de la famille, un client, un patient, un inconnu.
25 % des viols sont commis par un membre de la famille ; 57 % des viols sont commis sur des personnes mineures (filles et garçons) ; 67 % des viols ont lieu au domicile (de la victime ou de l'agresseur) ; 45 % des viols sont commis de jour.
Répondre à une attaque verbale
Donc, en cas d'attaque, il faut se demander ce qu'on a touché chez elle qui l'a fait nous insulter, et essayer de répondre là-dessus, la renvoyer à ses manques, à son intolérance…"
Pour vous défendre contre un agresseur, servez-vous de vos mains, votre front, vos genoux, vos coudes, pour le frapper aux yeux ou atteindre son nez, ce qui devrait vous permettre de vous enfuir. Vous pouvez aussi essayer de lui donner un coup de pied au tibia ou frapper sa rotule pour le neutraliser.
La meilleure façon de repousser un agresseur est de le frapper ou le griffer à certains endroits vulnérables, comme les yeux, le nez ou l'aine.
Le prédateur agit certes de manière brutale et sans égard envers sa victime ; cela joue un rôle incontestable sur la psychologie de celle-ci, la blessant.
Leur approche est un véritable moment d'observation, de silence, de concentration à la faisabilité et d'attaque. Pour les agresseurs, c'est exactement le même procédé. Sélection de la proie, lecture comportementale, recherche de la faisabilité, passage à l'acte et fuite.
Elle essaie de masquer ses blessures. Elle trouve des excuses à la dernière minute pour ne pas vous rencontrer ou elle essaie de vous éviter lorsqu'elle vous rencontre dans la rue. Elle semble triste, seule, repliée sur elle-même et craintive. Elle consomme des drogues ou de l'alcool pour faire face à la situation.
Il s'agit de l'une des situations suivantes : La victime a émis un refus clair et explicite et/ou s'est défendue, mais l'agresseur a exercé sur elle une contrainte physique (par exemple, agression sexuelle ou viol commis avec violence)
Attaque non provoquée, injustifiée et brutale contre quelqu'un, contre un pays : Une femme victime d'une agression. Guerre d'agression. 2. Attaque d'ordre psychologique ou physiologique due à l'environnement.
Le Code pénal ne comporte pas le vocable d'attouchement. la victime. d'outrage sexiste où aucun contact n'existe entre l'auteur et la victime. considérées comme sexuelles : la poitrine, les fesses, les parties génitales.
Les symptômes physiques fortement suspects
– La présence de sperme sur le corps de l'enfant ou sur ses vêtements. – Des lésions au niveau génital, périnéal et anal, des saignements vaginaux et rectaux ainsi que des douleurs pelviennes, génitales ou anales.
Les femmes plus souvent agressées par un proche, les hommes par un inconnu. Les femmes sont plus souvent victimes d'un proche, tandis que les hommes le sont plus souvent d'une personne inconnue (tableau 3).
Ainsi, le harceleur est parfois un responsable hiérarchique qui est dans une fonction qui le dépasse, qui est lui-même sous pression, dans un état de tension extrême et qui décharge son stress sur les autres, sans prendre véritablement conscience des dommages que cela peut occasionner chez autrui.
La pression psychologique est une sensation psychique, le produit de deux forces mentales qui tirent dans des directions opposées. Ces forces peuvent être de natures très différentes, comme des souhaits ou des obligations. On parle d'une situation qui cause de l'inconfort.
Quitter l'entreprise est, pour vous, une façon de vous libérer de l'emprise de votre chef narcissique. Gardez bien en tête que, même s'il vous promet que la situation va s'améliorer, elle ne s'améliorera pas. Les pervers narcissiques sont tournés vers leur propre personne et n'ont aucune empathie.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.