Johnston affirme que les Peulhs ont typiquement [traduction] « un teint cuivré, des cheveux peu crépus, un nez étroit, des lèvres minces et un corps mince mais musclé ». d'une certaine façon, un bon observateur peut « reconnaître » un Peul par ses traits phénotypiques.
Les Fulbé (Peuls) sont des populations nomades et sédentaires réparties sur de très vastes terri¬ toires en Afrique de l'Ouest, du Sénégal au Tchad. Leur nombre est estimé, selon les auteurs, entre 12 et 16 millions d'individus.
Bonjour : il y a de nombreux bonjour en Pulaar, mais c'est mieux et plus simple de dire Asalamu Alayhum, la majorité des Peuls étant de fervents Musulmans.
À l'exception des groupes demeurés nomades, qui se donnent d'ailleurs aujourd'hui tous comme musulmans, l'islam a profondément marqué les Peuls, même si, dans les faits, leur religion admet parfois des pratiques d'une orthodoxie discutable, phénomène qui se retrouve au demeurant dans les autres communautés musulmanes ...
Le peul est parlé par un très grand nombre de locuteurs en Afrique de l'Ouest et au Sahel (notamment Sénégal, Mali, Mauritanie, Gambie, Guinée, Niger, Burkina Faso, Tchad, Nigeria, Ghana, Sierra Leone et jusqu'au Soudan), et en Afrique centrale (Cameroun et République centrafricaine), mais sa répartition est disparate ...
Iodi : joli, beau ; éné iodi, c'est joli.
Ils sont d'ailleurs à l'origine de l'expansion de l'islam en Afrique de l'ouest. Bien que cela tende à changer, les peuls originels sont connus pour avoir des cheveux lisses et longs, comme si ils avaient été défrisés. Ce peuple accorde également une grande importance à la beauté.
Ce n'est pas un mythe : les Peuls se marient au sein du même clan, de la même caste et de la même lignée (le mariage entre cousins est encore très répandu). À l'origine, il s'agissait de consacrer l'homogénéité du sang et du rang, mais aussi d'éviter la dispersion du troupeau ou des biens.
Il ne s'agit pas d'un rapport ordinaire, mais sacré à telle enseigne que le mariage était prohibé entre ces deux groupes d'hommes. Les rares mariages entre peuls et forgerons rencontrent encore beaucoup de résistances et doivent composer avec la malédiction des parents très attachés aux valeurs culturelles.
Les hommes peuls nomades portent une tunique, le bolare, de couleur brune qui arrive à mi-mollet, un bâton, un chapeau de paille conique, un tablier de cuir, des boucles d'oreille. Ils ont la tête enturbannée, comparable au taguelmoust des Touaregs, et portent un pantalon bouffant.
Deyydiu : tais toi.
Les traductions de Dieu en peul, entre autres, sont : Alla (nous avons trouvé des traductions de 1).
Dans ce cas, dites-lui: « MbooDo yiDma », qui est la traduction de « Je t'aime » en peul (ou pulaar).
DIALLO : Nom peul qui, au Fouta-Toro (région peule du Nord du Sénégal) est porté par les castes suivantes : peuls d'origine, torobé (classe islamisée d'origines variées), guerriers et leurs femmes potières, captifs. C'est aussi un prénom.
Diallo est l'un des patronymes des Peuls, une des ethnies les plus répandues en Afrique. On dit que les quatre patronymes originels des Peuls sont : Diallo, Ba (parfois écrit Bah en Guinée), Barry, Sow (Soh). Ces noms sont identifiés aux éléments de la nature, aux quatre points cardinaux et à la robe des vaches.
Femmes peules (Paoua).
On dit que les quatre patronymes originels des Peuls sont : Diallo, Ba (parfois écrit Bah en Guinée), Barry, Sow (Soh). Ces noms sont identifiés aux éléments de la nature, aux quatre points cardinaux et à la robe des vaches.
Les nobles (horon)
Ces trois groupes sont appelées horon ou horo en mandingue par opposition aux gens de castes, les nyamakalan. les massalen (nobles). Ils sont au sommet de la hiérarchie.
Situé au nord-est du Gabou, le Boundou est une conquête des Peuls sur le Wouli et le Bambouk ; longtemps zone de passage, pays de transition entre la Sénégambie et les royaumes sarakollés, le Bambouk malinké.
Le pulaar est une variété du peul, parlée par les Peuls, principalement au Sénégal, mais aussi en Guinée, en Guinée-Bissau, en Gambie, au Mali et en Mauritanie.
L'origine du noyau humain autour duquel s'est formée l'« ethnie » peule est vraisemblablement à chercher chez les « pasteurs à bovidés » du Sahara préhistorique, dont l'aspect et le genre de vie, tels qu'ils apparaissent dans les peintures rupestres du Tassili, évoquent étonnamment ceux des Peuls nomades d'aujourd'hui.
Le mariage en milieu peul suit tout un processuel qui va du le murmure à l'oreille (nioumbourdi) à la fixation d'une date pour les festivités du mariage, en passant par les fiançailles (diamal), la fixation de la dot (tengué), l'Annonce du mariage et le mariage à la mosquée (koumal).
L'alimentation des femmes peules se fonde sur une consommation de céréales, principalement le riz et le mil, accompagnées d'une sauce de légumes [3][3]La consommation de légumes et de fruits dépend également des…, de poissons ou de viandes.
Elle est probablement due à une asymétrie mécanique imposée au follicule pileux, au moment de l'embryogenèse. Cette asymétrie provient de la matrice, zone à la base de la racine du cheveu, où sont situées ses cellules de production.