Une conjonction de coordination est un mot invariable qui appartient à la liste : « mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car ». Elle permet de relier (= coordonner) des mots ou des groupes de mots de même classe grammaticale et de même fonction. Exemple : Éloïse possède un chien noir et blanc.
Les conjonctions sont des mots invariables qui servent à joindre deux mots, deux groupes de mots, deux propositions ou deux phrases. On distingue deux types de conjonctions selon la fonction des éléments qu'elles relient. relient des éléments de même fonction : Ton père et ta mère sont là.
Cela signifie qu'elle ne reprend aucun élément de la phrase (contrairement au pronom relatif). Par exemple, dans la phrase « J'aimerais vraiment que tu viennes », « que » est bien une conjonction de subordination, car « que » ne reprend aucun élément de la phrase en question.
Conjonctions de coordination Mais, ou, et, or, ni, car Remarque : le mot donc n'est pas une conjonction de coordination, mais fonctionne comme un adverbe (Où en suis-je donc ? ; Et donc, que s'est-il passé ensuite ? : ces positions de l'adverbe donc sont impossibles pour les conjonctions de coordination.
Exemple : Christine est en vacances mais son mari est resté à la maison. Il y a un moyen mnémotechnique pour retenir les conjonctions de coordination plus facilement : la phrase Mais où est donc Ornicar ? pour mais, ou, et, donc, or, ni, car.
Identification des conjonctions de coordination
Elles sont sept et leur liste peut être retenue selon un ordre qui aide à les mémoriser : mais , ou , et , donc , or , ni , car . ( mais où est donc Ornicar ? ) .
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination. Invariables, elles font partie des coordonnants et ont pour fonction d'unir deux éléments de même fonction syntaxique (c'est-à-dire ayant le même rôle dans la phrase).
Les conjonctions de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car) relient deux mots ou deux propositions de même nature ; Les conjonctions de subordination (que, parce que, quand, si...) relient une proposition subordonnée à la proposition principale dont elle dépend.
« Mais où est donc Ornicar ? », ou « Mais où est donc Carnior ? » est une phrase mnémotechnique permettant aux locuteurs francophones de retenir les conjonctions de coordination du français : mais, ou, et, donc, or, ni, car.
La conjonction de coordination car sert à introduire une explication, une justification de l'assertion qui précède. Elle unit des phrases et parfois des mots seuls. Le coordonnant composé Par exemple : à savoir, c'est-à-dire.
La principale différence entre la conjonction de subordination que et le pronom relatif que est qu'une conjonction de subordination n'a aucune fonction syntaxique et ne reprend rien dans la phrase, alors qu'un pronom relatif reprend un autre mot que l'on appelle antécédent et occupe une fonction syntaxique.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
au cas où, au moment où, à chaque fois que, à condition que, afin que, ainsi que, à la différence que, à mesure que, alors que, à présent que, après que, attendu que, aussitôt que, avant que, bien que, d'aussi loin que, d'autant (plus) que, de crainte que, de même que, de peur que, depuis que, depuis le temps que, dès ...
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Les conjonctions de coordination, dites aussi « copulatives », servent à exprimer un lien logique entre les mots, groupes de mots ou deux propositions qu'elles relient. La phrase Mais où est Ornicar ? contient, à l'oral, toutes ces conjonctions (mais, ou, et, or, ni, car) et permet donc de les mémoriser facilement.
La conjonction de subordination est un mot invariable qui sert à introduire une proposition subordonnée. Ses parents sont très fiers qu'il ait réussi le concours (La conjonction qu' introduit la proposition il ait réussi). Les conjonctions à proprement parler sont : que, comme, lorsque, puisque, quand, quoique et si.
Deux propositions indépendantes reliées par une conjonction de coordination (et, ou, ni, mais, car, or, donc, ou encore par puis, ensuite, cependant, pourtant, toutefois, néanmoins, aussi) sont appelées « coordonnées ». Par exemple : Truc tend la main et Bidule la lui serre.
La conjonction de coordination mais reflète une opposition entre des éléments ou exprime une restriction. Pour bien marquer cette tension entre les termes, la conjonction mais est généralement précédée d'une virgule. Exemples : Elle est revenue de son entrevue calmée, mais attend la réponse avec impatience.
La conjonction puisque, et un possessif ambigu.
Voici une sélection des principales prépositions classées par ordre alphabétique : à, après, avant, avec, chez, dans, de, depuis, derrière, dès, dessus, devant, en, entre, envers, hors, jusque, malgré, outre, par, parmi, pour, sans, sauf, selon, sous, sur, vers.
Les conjonctions de coordination ne doivent pas s'employer en début de phrase ; si cette règle peut souffrir quelques exceptions, essentiellement pour des raisons stylistiques, s'agissant de mais, donc ou et, il n'en va pas de même pour car.
or. Sert à marquer la transition d'une idée à une autre, la présence d'un nouvel élément d'un récit, d'un nouvel argument dans un raisonnement ; sert à introduire la mineure d'un syllogisme.
Conjonctions « car »
La conjonction car permet d'indiquer une idée de cause entre les deux éléments (jamais davantage) de même nature et même fonction, qu'elle coordonne. En conséquence, les conjonctions « donc » et « car » ne sont jamais répétées, et se placent simplement devant le second élément.