C'est dans l'hypothalamus, par exemple, que les sentiments de soif, de faim, et de satiété prennent naissance. Pour les désirs en général (conscients ou inconscients), c'est moins clair. Quant à l'inconscient, il existe bien un lieu où il s'exprime : le rêve.
L'inconscient y est représenté comme un lieu clos et mystérieux situé dans le poste de pilotage central de la tête d'un enfant. On peut difficilement faire plus irréaliste : l'inconscient est tout sauf un réduit où nous enfermerions nos pensées indésirables ou nos pulsions secrètes.
Juste en dessous, au niveau du tronc cérébral (en rouge sur le schéma de la vidéo) c'est ce qu'on appelle le cervelet, le cerveau reptilien, c'est le plus ancien dans l'évolution. C'est le siège du subconscient.
L'inconscient dans le discours analytique
Il suffit de lire Freud : ses trois grands ouvrages des années 1900 en détaillent les premiers signes, rêve, lapsus et acte manqué, sans oublier encore leurs affinités avec le mot d'esprit.
Les causes possibles de l'inconscience sont nombreuses. Dans certains cas, la vie est en danger : inflammation des enveloppes du cerveau (méningite), intoxication (au monoxyde de carbone), diabète, manque d'oxygène et saignement entre les enveloppes du cerveau (hématome sous-dural).
Freud innove en inventant un inconscient qui parle, se déchiffre et guérit, un inconscient peuplé de désirs sexuels, agressifs, mégalomanes, inavouables, de pulsions de vie et de mort, et qui possède des lois internes. Il nous propose en fait une vision révolutionnaire de l'âme humaine.
Notre inconscient travaille à notre insu pour nous aider à déchiffrer le monde. Il anticipe les résultats de nos actions et vérifie si le résultat est conforme aux prédictions. Il accélère ainsi notre perception et notre cognition !
La notion de « limite » trouve sa genèse dans l'inconscient à partir de l'expérience de la perte de jouissance de l'objet, cette perte instaure un bord entre le moi et le monde extérieur et elle crée un espace subjectif qui sera celui de la pensée et par conséquent du jugement et de la représentation.
L'inconscient désigne ce qui relève de processus réels dont nous n'avons pas le sentiment, dont nous ignorons qu'ils se déroulent en nous, au moment où ils se déroulent.
L'acceptation de soi et de phénomènes qu'on ne comprend pas est quelque chose d'important. Il fait apprendre à vivre avec soi ! Comme l'a dit Socrate : "Connais-toi toi-même" !!!
L'encéphale représente la partie majeure du cerveau humain et est associé à des fonctions supérieures comme le contrôle des comportements volontaires.
On présente souvent le cerveau gauche comme associé au raisonnement logique et rationnel, le cerveau droit étant plutôt intuitif et émotionnel. Il y aurait ainsi des personnalités plutôt « cerveau gauche » ou « cerveau droit », qui utiliseraient plus un côté du cerveau que l'autre.
Pour nettoyer son inconscient, il existe une méthode très simple, mais également très ancienne. Celle de Ho'oponopono. Cette méthode permet donc d'effacer des données du subconscient. Cela vous permet donc de suivre le chemin qui vous est destiné.
L'hypnose pour libérer la puissance du subconscient
Il s'agit de l'hypnose. L'hypnose est une méthode de plus en plus reconnue et pratiquée même par la médecine. La force de l'hypnose réside dans le fait qu'elle permet à l'individu d'aboutir à un changement de comportement en agissant directement sur le subconscient.
Le subconscient est un mot utilisé à la fois en psychologie et en philosophie. Il fait référence à un état psychique dont on n'a pas conscience mais qui influe sur le comportement. Etymologiquement, il signifie « sous la conscience ».
« La représentation inconsciente, après le refoulement, subsiste en tant que formation réelle dans le système inconscient », écrit Freud, et la réalité des représentations refoulées se juge à leur activité, en particulier à leur effet d'attraction et donc de déformation du cours des pensées.
L'inconscient fait peur car il remet en cause l'idée du bien et du mal. Car l'action en bien ou en mal implique la responsabilité. La théorie de l'inconscient serait donc dangereuse car en déchargeant les hommes de leur responsabilité, elle justifierait l'existence du mal et l'excuserait.
L'inconscient chez Freud devient un substantif. Il désigne une partie de nous-mêmes, ou plus exactement une zone de notre esprit où sont stockés une foule de souvenirs, de fantasmes, de désirs inavouables, que nous ne pouvons pas atteindre car une résistance en nous s'y oppose.
On le voit : la notion d'inconscient ne vient pas remettre en cause ma liberté, puisqu'il ne s'agit là que d'un mythe, sans aucune réalité, uniquement conçu pour dédouaner l'homme de ses responsabilités.
I Inconscient et liberté semblent incompatibles. 1) Inconscient et déterminisme psychique. La liberté implique qu'il existe des effets sans cause, à savoir les actes libres. Le principe de déterminisme, lui, stipule que tout effet a une cause.
L'inconscient est quelqu'un qui ne réfléchit pas, il « ne se pose pas de questions », il agit par impulsion sous les effets des passions ou des sentiments (Colère, rage, tristesse, amour, joie etc.) sans se poser de questions sur les conséquences de leur actions.
En philosophie, la notion d'inconscient est un concept dont l'usage semble remonter à l'Antiquité et qui peut être entendu en un sens ontologique, comme ce qui dans l'esprit est dépourvu de conscience, ou en un sens gnoséologique, comme ce qui reste inaccessible à la conscience réflexive ou à l'introspection.
La technique : posez l'un de vos coudes sur un accoudoir, ou autre support, de façon à ce que votre main soit libre de ses mouvements. Posez une question simple, dont la réponse est « oui » (Exemple : « Je m'appelle Untel ») Demandez à votre inconscient de vous répondre en faisant bouger l'un de vos doigts.