gonflement et engourdissement des pieds; brûlures et démangeaisons accompagnées de douleurs dans les doigts; transpiration excessive et froid ou chaleur et non justifiée par la température; douleur, qui peut être très intense et s'aggraver la nuit et peut durer longtemps et apparaître soudainement.
La neuropathie peut être causée par différents troubles comme le diabète, le cancer et certaines carences nutritionnelles. Elle peut également être provoquée par la prise de certains médicaments et l'exposition à des produits chimiques. Elle peut entraver les sens, les mouvements ou la fonction des organes internes.
Acupuncture. L'acupuncture peut aider à soulager la douleur de la neuropathie et n'a généralement pas d'effets secondaires. Gardez à l'esprit que vous ne pouvez pas obtenir un soulagement immédiat avec l'acupuncture et aura probablement besoin de plus d'une séance.
Maladie articulaire (arthrose ou arthrite du pied…) ; Une déformation ou une malformation (pied bot, pied plat, pied creux, hallux valgus, orteil en marteau ou en griffe…) ; Un névrome de Morton ; Un trouble veineux.
La douleur neuropathique (encore appelée douleur neurogène) est secondaire à une atteinte du système nerveux (central ou périphérique), c'est-à-dire touchant le cerveau, la moelle èpinière ou les nerfs. La douleur est mixte quand elle associe ces deux mécanismes (nociceptif et neuropathique)
Causes : quelle maladie donne des douleurs neuropathiques ? La cause la plus répandue est la sciatique qui comprime le nerf du même nom, situé à la base de la colonne vertébrale. Mais de nombreuses autres maladies peuvent générer ce type de douleur.
Dans les douleurs chroniques neuropathiques, bien souvent la cause initiale a disparu, pourtant la personne continue à souffrir. Ainsi la cicatrisation est terminée après l'opération, ou bien l'infection est guérie, ou encore le traitement anti-cancéreux est achevé.
L'infiltration d'un mélange de corticoïdes/d'anesthésiques dans la zone sensible du pied et le port de chaussures adaptées et parfois d'orthèses (dispositifs placés dans la chaussure) peuvent soulager les symptômes. Le repos et l'application de glace peuvent également être recommandés.
Le médecin fonde le diagnostic sur les résultats de l'électromyographie, des études de conduction nerveuse et des analyses de sang et d'urine. Si le traitement du trouble sous-jacent ne soulage pas les symptômes, la kinésithérapie, des médicaments et d'autres mesures peuvent être utiles.
C'est généralement le médecin de famille qui pose le diagnostic de suspicion de polyneuropathie. C'est là qu'a lieu le premier entretien et généralement aussi un premier examen physique. Le diagnostic définitif est généralement posé par un médecin neurologue, c'est-à-dire spécialisé dans les maladies nerveuses.
Lorsque le soignant suspecte une douleur neuropathique, le questionnaire DN4 est utile comme outil de diagnostic. A la fin du questionnaire, le soignant comptabilise les réponses, 1 pour chaque « oui » et 0 pour chaque « non ». La somme obtenue donne le score du patient, noté sur 10.
Les médecins demandent également si la personne a présenté un trouble qui peut provoquer un engourdissement, particulièrement le diabète, une maladie rénale chronique, des infections (comme une infection par le VIH ou la maladie de Lyme), un AVC ou de l'arthrite.
Dans les douleurs neuropathiques localisées, des traitements topiques, en général très bien tolérés, peuvent aussi être utilisés. Il s'agit soit d'un emplâtre médicamenteux d'anesthésique local (lidocaïne, VERSATIS) ou d'un patch cutané de capsaïcine, molécule du piment rouge (QUTENZA).
La vitamine B12 (méthylcobalamine) est utilisé pour régénérer les neurones et la gaine de myéline qui protège les nerfs. Elle est bénéfique dans le traitement et la prévention des troubles neurologiques et, des neuro-pathies périphériques.
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
Causes de la neuropathie périphérique
Les médicaments de chimiothérapie peuvent nuire à ces nerfs. Parmi les médicaments présentant le risque le plus élevé de cancer pédiatrique, on peut citer : Vincristine. Vinblastine.
L'hypoesthésie est la diminution du sens du toucher et de la sensibilité physique. Ce symptôme apparaît naturellement avec l'âge, ou en cas de maladies comme le diabète ou suivant un AVC.
Neuropathie: de la gêne à la douleur
Les atteintes des nerfs sensitifs provoquent des troubles variés. Ils comprennent des fourmillements aux doigts des mains ou des pieds, un engourdissement, une sensation de coups d'aiguilles, de décharges électriques.
Le syndrome de Guillain-Barré est une affection rare dans laquelle le système immunitaire du patient attaque les nerfs périphériques. Bien qu'elle puisse toucher les personnes de tout âge, cette maladie est plus fréquente à l'âge adulte et chez les sujets de sexe masculin.
Il y a cinq signes, ou symptômes, pouvant indiquer une inflammation aiguë : la rougeur, la sensation de chaleur, l'enflure, la douleur et la difficulté à bouger normalement la zone touchée du corps.
signes sur le visage (froncement des sourcils, mâchoires serrées, visage figé, grimaces, etc.) ; • signes au niveau du regard (regard inattentif, fixe, pleurs, yeux fermés, etc.) ; • signes auditifs (plaintes, gémissements, cris, etc.) ; • signes corporels ou comportementaux (agitation, agressivité, difficulté à rester ...
La douleur au repos signe l'inflammation. Le mal de pied peut se manifester de façon soudaine et aiguë (par exemple, en cas d'une déchirure ligamentaire), ou se développer de manière sourde et progressive. Parfois, le pied peut être enflé et chaud, ce qui indique le plus souvent une inflammation du pied.