Le sourire de Glasgow (aussi appelé sourire de Chelsea, sourire de Cheshire ou parfois sourire de l'ange) est une cicatrice causée par l'élargissement au couteau de la bouche de la victime jusqu'aux oreilles, ce qui laisse une cicatrice en forme de sourire.
Ce sourire de l'ange a été utilisé au cinéma, comme par exemple dans Batman, où le terrible Joker a été victime cette atrocité et tente parfois de la reproduire.
L'Ange au Sourire reconstitué sur la façade (vue avant nettoyage). L'Ange au Sourire, dénommé aussi Sourire de Reims, est une statue sculptée vers 1240. Cette statue se trouve à gauche du portail nord de la façade occidentale de la cathédrale de Reims.
Les vitraux actuels, créés par Jacques Simon en 1937, respectent très largement l'iconographie établie par Dérodé.
« Le rire du Joker, excessif et qui s'étire démesurément dans le temps, n'est pas une invention des créateurs du personnage machiavélique. Il porte un nom : le syndrome pseudo-bulbaire. Et certaines personnes vivent au quotidien avec ce trouble. »
Le rire prodromique, késako ? Décrit pour la première fois dans la Revue Neurologique en 1903 par Charles Féré (1852-1907), un neurologue français ayant exercé à l'hôpital Bicêtre, ce trouble désigne un rire pathologique, irrésistible et sans objet, annonçant la survenue d'un accident vasculaire cérébral.
Dans le Batman de Tim Burton, le Joker a la peau blanche et les cheveux verts à la suite de son bain chimique. Cependant, il utilise du fond de teint couleur chair pour ses apparitions en public.
Celui-ci affirme alors que sa mère serait atteinte de démence et qu'elle l'aurait adopté lorsqu'elle travaillait pour lui. Exaspéré par l'insistance d'Arthur, Wayne le frappe et lui ordonne de rester loin de sa famille.
Initialement introduit comme un psychopathe, maître du crime dans la ville de Gotham, il est surtout présenté comme un personnage torturé et instable. Contrairement à tous les autres méchants, il n'a rien d'extraordinaire, c'est un homme du monde qui n'agit que par démence.
Lors de la chute d'une personne, on rit car nous sommes soulagés de ne pas être à la place de la personne qui est tombée et qui a provoqué le rire.
Pour certains ce sont des "expressions dimorphes" de l'émotion. Nous pleurerions quand nous ririons autant parce que le corps essaie de s'autoréguler en réponse à des émotions fortes. Certains indices suggèrent également que la même partie du cerveau contrôle à la fois les pleurs et le rire.
rieuse. Personne qui rit ou qui aime rire.
Installez-vous assis au bord d'une chaise, les pieds posés à plat. Inspirez profondément, puis soufflez lentement et profondément. Les yeux fermés, visualisez un souvenir qui vous rend particulièrement heureux. Inspirez calmement et profondément en vous remémorant ce moment.
Le rire pathologique s'observe notamment en cas de sclérose en plaques, de paralysie pseudobulbaire (par atteinte du bulbe rachidien qui relie le cerveau et la moelle épinière), de tumeur, de sclérose latérale amyotrophique (ou maladie de Charcot, affection dégénérative de la moelle épinière).
Un terme qui apparaît dans l'œuvre de François Rabelais: «agélaste». Comprenez: un individu «réfractaire à l'humour».
Définition de pleureur
nom vieilli (Personne) qui pleure facilement. Enfant pleureur. Par extension Air, ton pleureur. ➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
Comme lu précédemment, le rire est un anti-stress naturel. Donc le rire nerveux est le résultat d'un stress, d'une fatigue ou d'un malaise que notre corps cherche à exprimer et évacuer. Il permet ainsi d'éliminer ses pensées négatives et ses sources de tension.
En analysant de plus près ces comportements, les scientifiques ont découvert que les chatouilles stimulaient également la partie du cerveau qui gérait la peur. Le rire serait donc un moyen de défense, entre plaisir et douleur.
Citant les travaux de Sophie Scott, neuroscientifique à l'Institut des neurosciences cognitives de l'University College London, Dave Ellemberg note que le fou rire, qui se déclenche souvent lorsqu'une personne est fatiguée, s'expliquerait par une diminution de l'inhibition corticale.
Il était aussi sous anxiolytiques. Son autopsie a révélé que sa mort a été causée par un mélange mortel d'analgésiques, d'anxiolytiques et de somnifères, des médicaments qui lui ont été prescrits par ordonnance.
De son vrai nom Harleen Quinzel tire son alias Harley Quinn. Sa relation amoureuse avec le Joker est marquée par l'excès. Maltraitée psychologiquement et physiquement par celui qu'elle appelle son « biquet », son « canard » ou son « poussin » selon le cas, elle revient néanmoins toujours vers lui.
Joe Chill est le meurtrier de Thomas Wayne et de Martha Wayne. Il voulait l'argent et le collier de ses victimes. Après le double-meurtre Chill fuit en entendant Bruce crier à l'aide. Batman enquête sur un homme appelé Joe Chill et il découvre que cet homme est le meurtrier de ses parents.