Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
La proposition subordonnée relative adjective est introduite par un pronom relatif : qui, que, quoi, dont, où. Elle est l'équivalent d'un adjectif qualificatif épithète. Elle est le plus souvent complément de l'antécédent. Passait dans son esprit pour le plus beau du monde.
Pour vérifier qu'une proposition subordonnée est relative, on peut donc la remplacer par un adjectif. Exemples : La voiture [qui est rouge] roule à grande vitesse. → La voiture rouge roule à grande vitesse.
Une proposition subordonnée relative est toujours introduite par un pronom relatif : -qui –que –quoi –dont -où -lequel et ses composés ( laquelle, desquels ...) La proposition subordonnée relative a toujours la même fonction : elle est toujours complément de l'antécédent du pronom relatif (c.
Proposition subordonnée relative : Elle complète toujours un groupe nominal ou un pronom. Elle est introduite par un pronom relatif. Elle a pour fonction : complément de l'antécédent. Proposition subordonnée conjonctive : Elle complète toujours un verbe.
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
Il existe différents types de propositions subordonnées : les subordonnées relatives, les subordonnées complétives et les subordonnées circonstancielles.
Lorsque « que » est un pronom relatif, on peut le remplacer par un nom. Il se rattache à un nom et introduit une proposition subordonnée relative, qui fait partie du GN et est complément de l'antécédent. Lorsque « que » est une conjonction de subordination, on ne peut pas le remplacer.
La nature d'une proposition subordonnée
Pour donner la nature d'une proposition subordonnée, on analyse la classe grammaticale du mot introducteur ou, s'il n'y en a pas, le mode du verbe noyau. La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, quand, comme, si, etc.)
Dans une proposition subordonnée relative, « que » est un pronom relatif et peut être remplacé par un nom. Il fait partie du groupe nominal. Dans une proposition subordonnée conjonctive, « que » est une conjonction de subordination et ne peut pas être remplacé. Il fait partie du groupe verbal.
En français, il y a deux types d'adjectifs qualificatifs : les adjectifs épithètes et les adjectifs attributs. Comment les reconnaître ? L'adjectif épithète se rapporte directement à un nom, il est placé la plupart du temps après le nom qu'il qualifie (parfois avant celui-ci) et n'en est pas séparé par un autre mot.
Le groupe adjectival est un groupe dont le noyau est un adjectif. La plupart du temps, un groupe adjectival est formé d'un adjectif et d'un ou plusieurs compléments. Employé seul, en fonction de pronom, l'adjectif numéral peut avoir un complément (Le second de ses fils vit en Espagne.
Règle générale : les propositions subordonnées sont introduites par un mot de liaison : pronom relatif, conjonction de subordination ou un mot interrogatif. Il pense étudier demain. Les cours l'ennuyant, il préfère rester à la maison. Exceptions : les propositions infinitives et participes dérogent à cette règle.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif : qui : La fenêtre qui donne sur la rue est ouverte. que : Le volet que tu as repeint est sec. dont : L'homme dont je t'ai parlé arrive.
On peut remplacer une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de temps par un groupe nominal complément circonstanciel de temps.
La proposition principale se trouve généralement avant la subordonnée : Je vous recontacterai (principale) dès que la décision sera prise (subordonnée). Mais elle peut se placer après la subordonnée : Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale).
En syntaxe traditionnelle, la proposition subordonnée, appelée aussi dépendante, est une proposition sans autonomie grammaticale, ayant un sens insuffisant, qui remplit dans une phrase complexe une fonction analogue à celle d'un terme à fonction syntaxique dans une phrase simple.
Le pronom relatif que a la fonction de complément direct du verbe as préfé- rés, comme le groupe de mots qu'il remplace, des films, dans la phrase modèle qui correspond à la relative : Tu as préféré des films cette année.
« Que » remplace « les livres » (masculin pluriel). Il occupe la fonction de COD dans la relative et il est placé avant le verbe conjugué avec l'auxiliaire avoir : le participe passé doit s'accorder au masculin pluriel. - quand l'antécédent est un pronom personnel.
Un pronom relatif est un mot subordonnant. Il introduit une subordonnée relative et sert de lien entre cette proposition et le nom (ou pronom) qu'elle complète : l'antécédent. En tant que pronom, il représente l'antécédent dans la subordonnée relative.
c) Modes : Ces propositions subordonnées peuvent être à différents modes : - à l'indicatif quand l'action qu'elle exprime est considérée comme certaine. - au subjonctif quand la subordonnée est sujet, ou qu'elle exprime le doute ou la réussite. - au conditionnel lorsque l'action qu'elle évoque est irréelle.
A, après, avant, avex, chez, concernant, contre, dans, de depuis, derrière, dès, devant, durant, en, entre, envers, hormis hors, jusque, malgré, moyennant, nonobstant, outre, par, parmi pendant, pour, près, sans, sauf, selon, sous, suivant, sur, touchant, vers, via.
La proposition subordonnée
Une proposition qui a une fonction par rapport à un mot d'une autre proposition est appelée proposition subordonnée. « qui l'a profondément marqué » est une proposition qui dépend du nom vie : c'est donc une proposition subordonnée.