D. COMMENT DISTINGUER LA PSR ET LA PSC ? Il est difficile de distinguer la PSR et la PSC parce qu'elles sont parfois articulées par le même mot (que). Afin de distinguer les deux propositions subordonnées, il faut se demander si le mot « que » occupe une fonction syntaxique dans la proposition subordonnée.
La proposition subordonnée conjonctive (PSC) complète presque toujours un verbe : elle fait partie du groupe verbal. Elle commence par un mot subordonnant qui peut être une conjonction de subordination, une locution conjonctive de subordination ou un mot interrogatif.
Une proposition est dite conjonctive quand elle commence par une conjonction de subordination (en français : que, dès que, pendant que, quand, parce que, puisque, bien que, quoique, si, même si, etc).
Toutefois, elle peut aussi prendre la place de sujet. Il existe plusieurs sortes de subordonnées complétives : la complétive conjonctive, la complétive interrogative indirecte, la complétive exclamative indirecte et la proposition infinitive.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
chef. grade d'autorité (chef de gare, chef d'orchestre...)
- La proposition subordonnée dépend toujours d'une autre proposition dont elle complète le sens. - J'ai retrouvé les clés que tu avais égarées. - La proposition principale commande une proposition subordonnée qui complète le sens de cette principale. - Il va à la banque pour ouvrir un compte.
La principale différence entre la conjonction de subordination que et le pronom relatif que est qu'une conjonction de subordination n'a aucune fonction syntaxique et ne reprend rien dans la phrase, alors qu'un pronom relatif reprend un autre mot que l'on appelle antécédent et occupe une fonction syntaxique.
Il y a trois sortes de propositions : les propositions juxtaposées, les propositions coordonnées, les propositions subordonnées. Ce qui les caractérise est le mot qui les relie à une autre proposition : un signe de ponctuation particulier, une conjonction de coordination, une conjonction de subordination.
Il ne faut pas confondre la proposition subordonnée complétive introduite par la conjonction que et la proposition subordonnée relative introduite par le pronom relatif que. La proposition complétive conjonctive se rapporte à un verbe tandis que la proposition relative complète un nom.
Il existe 3 types de subordonnées complétives : les complétives conjonctives, les complétives infinitives, et les complétives interrogatives.
La subordonnée complétive est une phrase enchâssée qui est généralement introduite par la conjonction que. Elle est appelée complétive, car elle remplit très souvent la fonction de complément.
Une proposition subordonnée relative est toujours introduite par un pronom relatif : -qui –que –quoi –dont -où -lequel et ses composés ( laquelle, desquels ...) La proposition subordonnée relative a toujours la même fonction : elle est toujours complément de l'antécédent du pronom relatif (c.
"qui", "que", "dont" sont des pronoms relatifs. Un pronom relatif représente et remplace son antécédent placé généralement devant lui. Il prend le genre et le nombre de cet antécédent. Un pronom relatif introduit une proposition qui sert de complément à ce nom (ou pronom).
Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…
Si la proposition subordonnée se rapporte à un nom, ce sera une « relative ». Si elle se rapporte à un autre élément (à l'ensemble de la proposition ou à un verbe), ce sera une « conjonctive ».
Une proposition subordonnée relative complète généralement un nom ou un pronom ; une proposition subordonnée complétive complète généralement un verbe.
comme, parce que, sous prétexte que, en raison de, etc. ainsi que, autant que, bien plus que, comme, de même que, davantage que, etc. bien que, même si, quand bien même, quoique, etc. à condition que, à moins que, dans la mesure où, pourvu que, pour autant que, si, etc.
la proposition coordonnée ; la proposition subordonnée ; la proposition relative. On l'appelle également la principale.
Exemple : S'impatientant, le candidat perdit son sang-froid. Dans ce cas, il n'y a pas de proposition subordonnée participiale, puisque le participe partage son thème avec le verbe de la proposition principale. C'est le candidat qui s'impatiente et c'est lui aussi qui perd son sang-froid.
Personne soumise à l'autorité hiérarchique d'une autre. Synon. inférieur, sous-fifre (fam.), sous-ordre, subordonné.
Mettre quelqu'un dans une situation de dépendance hiérarchique par rapport à quelqu'un d'autre : L'organisation militaire subordonne le lieutenant au capitaine. 2. Considérer quelque chose comme moins important que quelque chose d'autre : Subordonner le dessin et la forme à la couleur.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps.
L'adverbe est un mot invariable qui précise ou change le sens d'un verbe, d'un adjectif, ou d'un autre adverbe. - Elle court rapidement. -> ("rapidement" précise le sens du verbe "courir"). - Il n'est pas très grand.