À ce jour, il n'existe pas de moyen pour régénérer des ménisques abîmés, dans les cas les plus graves l'ablation est préconisée, ce qui scelle définitivement la fin de la carrière des sportifs qui se retrouvent sans ce précieux amortisseur entre le fémur et le tibia, selon le directeur de cette étude, le professeur ...
Pour reconstituer le cartilage ou encore les ménisques, les chercheurs proposent depuis quelque temps des injections d'hydrogels enrichis de cellules réparatrices ou de médicaments. Objectif : stimuler ainsi la régénération des tissus. Le problème est que ces hydrogels présentent les inconvénients de leurs avantages.
Il ne faut pas se mettre accroupi pendant au moins 3 mois. De même il faut éviter le mouvement de rotation autour du genou et ne pas reprendre les sports à pivot avant au moins 3 mois pour laisser le temps au ménisque de cicatriser (3 à 6 mois).
Huiles essentielles de genévrier, d'eucalyptus citriodora, de gaulthérie, de menthe poivrée, sur de l'huile de calophylle ou sur du gel de silicium organique – En massages plusieurs fois par jour. Des huiles riches en Omega 3 d'origine marine, non raffinées, de bonne qualité.
La chirurgie est toujours suivie d'une étape de réadaptation avec un kinésithérapeute pour que les cartilages, les tendons et les ligaments fonctionnent normalement. Toutefois, si la fissure se trouve dans une zone bien irriguée et si elle est récente, il est possible qu'elle se cicatrise toute seule.
La marche, bonne pour les genoux
La marche est bonne pour les genoux, car elle muscle les cuisses et les mollets. Cela sert à mieux répartir le poids du corps. Il est possible de faire de la marche à l'aide de bâtons, pour prendre appui et moins solliciter les articulations des genoux.
Dans un premier temps, afin de calmer les douleurs et de laisser la cicatrisation se faire, on immobilise le genou, surtout si une lésion des ligaments est associée. Il faut également mettre de la glace pour diminuer l'inflammation. Repos et béquilles pour éviter l'appui sont préconisés.
Un traitement médical par des antalgiques et du repos temporaire peut être réalisé en cas de lésion inférieure à 1cm, stable, au niveau du ménisque externe, sans risque d'aggravation de la lésion. Sinon, un traitement chirurgical sous arthroscopie est décidé. Ce geste sera réalisé en ambulatoire.
Il faut laisser à votre genou le temps de s'habituer. A l'issu d'un geste sur le ménisque interne, la récupération tourne autour de 6 semaines. Après lésion du ménisque externe, il faut compter 2 semaines de plus. A ce niveau, l'articulation du genou s'emboîte encore moins bien et l'adaptation est plus longue.
L'attelle de Genou Donjoy OA Fullforce permet de soulager les lésions méniscales, en offrant un maintien élevé et une mise en décharge du ménisque lésé.
Une lésion méniscale se révèle par des douleurs au niveau du genou, parfois accompagnées de gonflement, de craquement, voire d'un blocage de l'articulation. Le médecin établit le diagnostic en manipulant le genou et en demandant des examens d'imagerie.
Quel traitement possible avant la chirurgie du ménisque ? Afin d'éviter ou de retarder le recours à une intervention chirurgicale, il convient souvent de venir pratiquer des infiltrations de corticoïdes directement dans l'articulation pour soulager les douleurs et réduire l'inflammation.
Le Cassis augmente le tissu cartilagineux, la prêle participe à la synthèse de collagène de part sa silice, la partie aérienne de l'ortie est quant à elle, anti-arthrosique , diurétique, anti-inflammatoire et minéralo-modulatrice. La prêle et l'ortie protégeront les chondrocytes, cellules du cartilage.
Il existe actuellement deux façons de régénérer le cartilage lésé. La première consiste à implanter de manière chirurgicale dans les zones endommagées des cellules de cartilage préalablement prélevées sur le patient (implantation de chondrocytes autologues (ACI)).
Quand l'ablation du ménisque est-elle nécessaire ? Si vous sentez quelque chose d'anormal quand vous pliez le genou, avec des difficultés à retendre la jambe, cela signifie sûrement que la lésion est instable, avec un fragment de ménisque mobile qui entraîne des blocages ou des ressauts au niveau du genou.
Il est aussi possible de prendre des médicaments contre la douleur comme du paracétamol à la dose de 1 gramme, 4 fois par jour chez l'adulte, ou des anti-inflammatoires non-stéroïdiens à faible dose comme de l'ibuprofène ou de l'aspirine.
Le spécialiste lui conseille également d'éviter toute activité du genou douloureuse. Il peut par contre continuer à pratiquer le vélo, le vélo elliptique, la natation en battement de pieds si ces exercices ne sont pas douloureux, pour remuscler un peu les quadriceps.
La marche peut également se révéler bénéfique en cas d'arthrose des genoux, à condition de ne pas la pratiquer de manière trop rapide ni excessive : trente minutes par jour suffisent.
Commencez allongé sur le côté gauche avec les genoux légèrement fléchis. Levez le genou droit en maintenant la jambe gauche au sol et les pieds joints. Maintenez pendant 5 à 10 secondes. Relâchez puis recommencez 10 fois de chaque côté.
Les lésions des ménisques peuvent être d'origine traumatique, survenant dans ce cas plus souvent chez les personnes jeunes ou chez les sportifs, mais elles peuvent également être liées à l'usure et provoquer une dégénérescence. Le ménisque interne est le plus touché des deux.
Les causes de fissure méniscale
Une entorse du genou lors d'un accident de ski, par exemple. Mais elle peut aussi survenir plus sournoisement, à force de répéter toujours le même mouvement brusque (accroupissements répétés, etc.).
Ce blocage peut survenir à la suite d'un accident, en particulier sportif, avec torsion du genou ou se produire lors d'un relèvement après une position accroupie prolongée : la gêne est importante en raison de la douleur et de la position fléchie du genou rendant la marche difficile.
Pendant l'opération, le patient ne ressent aucune douleur puisqu'il est sous anesthésie. Quant aux suites opératoires, elles sont généralement peu douloureuses et n'entraînent généralement que peu de complication, le risque d'infection étant nettement minimisé par rapport à la chirurgie classique".