Comment régler les haubans ? Pour ajuster la longueur des haubans, donc leurs tensions, on utilisera les
Sur un mat à deux barres de flèche, on peut tendre le hauban haut à 15%, l'intermédiaire à 13%, le bas à 10%.
Pour mesurer la tension des haubans tu utilises un tensiomètre : 1° repère le diamètre de câble à mesurer : le diamètre des câbles est de 3 à 4mm Il y a 3 encoches sur le côtés, Trouve l'encoche correspondant au câble, et suis la flèche rouge. Elle renvoie a un diamètre (2,5 - 3 ou 4 mm).
Lorsque vous compressez le mât avec le pataras, la têtière de grand-voile se rapproche du point d'écoute. Cela ouvre la chute de la GV en créant du vrillage. Normalement, à chaque fois que vous tendrez le pataras, vous devrez border la grand-voile (et/ou le hale-bas) pour que le vrillage reste la même.
1°/ Si le mat est emplanté vérifier que la quête du mat soit en accord avec la position du sabot sur la quille. 1°/ vérifier la rectitude latérale du mat, le galhauban ne doit pas être mou sous le vent. 3°/ prendre un ris pour vérifier que le mat reste rectiligne latéralement sinon retendre les bas haubans.
Âge du gréement
Pour connaître l'âge d'un gréement, il faut demander les factures de remplacement des différentes pièces. En général, un gréement dormant (hauban, étai…) a une durée de vie de 5 à 10 ans. Avec des disparités suivant qu'il s'agisse de câble monotoron ou de rod.
cela dépends effectivement du voilier, cela s'échelonne de 1 à 1,8 tant en grandeur qu'en modélisme. pour un classe 1m, le greement A fait 1m70, le B 1,4m et le C 1,2m. un open 60 (18m) porte un mat de 25 à 30 m. un mini (6.5) porte 11 m de mat.
On appelle le gréement dormant toutes les parties du gréement qui ne sont pas censées bouger. Il est divisé en deux parties : longitudinal et latéral. Les espars comme le mât ou la bôme n'entrent pas dans le gréement dormant.
C'est principalement le chariot de grand voile qui règle l'incidence générale de la grand-voile, tandis que l'écoute règle le vrillage de la voile. Sur une même allure : Quand on choque l'écoute, on vrille la voile en ouvrant la chute et inversement. Quand on choque le chariot on diminue l'incidence et inversement.
Le voilier est “aspiré” par le vent au près. Le réglage de la GV se calque sur celui de la voile d'avant. Les deux doivent être “parallèles” (en 3D, le profil des deux voiles doit être similaire). Observer les penons, vous permettra d'avoir une meilleure appréhension de la situation.
Il suffit de les déconnecter au pied du mât. Les drisses doivent être lovées au pied de mat et bien attachées pour qu'elles ne trainent pas et ne gênent pas le démâtage. La bôme doit être enlevée. Reprenez une drisse sur l'étrave qui permettra de détendre tranquillement l'étai.
Les penons de génois
Le premier étage, celui du bas est placé de façon à être en vue du barreur (2 ou 3 mètres du point d'amure), le deuxième est à environ 2/3 de la hauteur du génois, il est visible principalement par le régleur de génois.
En avançant et reculant le roller, vous agissez sur la hauteur du point d'écoute du génois. En avançant le roller on va descendre le point d'écoute du génois, en reculant le roller on va laisser monter le point d'écoute. En baissant le point d'écoute, on va fermer la chute de la voile donc conserve la puissance.
Dans le vent léger, réglez d'abord le vrillage de grand-voile à l'aide de l'écoute. Pour les grand-voiles semi-lattées, bordez l'écoute de sorte que la latte supérieure soit plus ou moins parallèle à la bôme. 2. Ajustez ce réglage de manière à ce que le penon le plus haut soit à la limite du décrochement.
Les haubans : Ils ont une durée de vie estimée à quinze ans ou à une quinzaine de milliers de milles, mais sont assurés seulement dix ans. Cette estimation dépend néanmoins de l'utilisation que l'on en a. L'étai : a une durée de vie d'environ dix ans.
Les mâts en aluminium sont cyclindriques, ceux en fibre de verre sont de forme conique. Et enfin, les mâts en aluminium de grande hauteur (6 et 8 mètres) sont disponibles en 2 parties. Les mâts en fibre de verre sont proposés en 1 seule partie quelle que soit leur longueur.
Prise des mesures à partir du mat : Accrochez un décamètre à la drisse de Génois, hissez à fond et mesurez. Attention : pour une prise de cotes sur enrouleur, fixez votre décamètre sur l'emmerillon, hissez à fond et mesurez.
On borde une voile pour des raisons aérodynamiques, pour se rapprocher de l'axe du vent. Si ce réglage n'est pas effectué correctement, la voile gêne le bon passage du vent et perturbe la vitesse du bateau.
Les principales allures sont le près, le bon plein, le travers, le grand largue et le vent arrière. L'allure dépend de l'angle formé entre l'axe principale du navire (axe proue-poupe) et le vent. Lorsque le voilier est face au vent, il ne peut pas avancer ; on dit alors qu'il est vent debout.
De même l'usage des différentes voiles dépend pour beaucoup de leur coupe. Si le maître voilier a taillé une voile très plate, elle sera meilleure pour remonter au vent. A l'inverse un spi très creux ne peut pas serrer le vent.
Comment tenir la barre? Le barreur devra tenir la barre avec la main la plus en arrière sans la serrer ( sauf quand cela devient nécessaire lorsque le vent monte). Le but est d'anticiper les mouvements du bateau et de ressentir l'attitude du voilier (ardent, mou,…) et de ne jamais donner des grands coups.
Les mésaventures de Louis Burton et Sam Davies illustrent deux des trois causes principales d'un démâtage : l'endommagement d'une pièce périphérique, le passage d'un front ou le défaut de conception. Un mât tient grâce à des haubans, câbles autrefois métalliques ou en carbone et aujourd'hui exclusivement en textile.