Le désherbage thermique, l'arrachage manuel et le balayage peuvent aussi remplacer efficacement le désherbage chimique. Il peut également être évité grâce à l'engazonnement, au fleurissement, à la plantation de plantes couvre-sol, ainsi qu'au paillage des espaces non piétinés et circulés.
Pour limiter leur utilisation, plusieurs alternatives existent, comme le choix des semences, le recours à des produits de biocontrôle ou encore le développement de l'agriculture digitale, qui permet d'agir avec précision sur l'ensemble des paramètres des cultures, dont leur traitement.
Le désherbage thermique, l'arrachage manuel et le balayage peuvent aussi remplacer efficacement le désherbage chimique. Il peut également être évité grâce à l'engazonnement, au fleurissement, à la plantation de plantes couvre-sol, ainsi qu'au paillage des espaces non piétinés et circulés.
Mélangez un bulbe d'ail réduit en purée, un petit oignon haché, une cuillère à café de piment en poudre à 250 ml d'eau. Laissez infuser une heure, filtrez, et ajouter une cuillère à soupe de savon liquide… Et voilà, il ne vous reste plus qu'à vaporiser votre tout-en-un sur les deux faces des feuilles de vos plantes.
Les modes de destruction mécanique des adventices sont divers : arrachage, sectionnement des racines, enfouissement des parties végétatives, etc. Le désherbage mécanique peut aussi concerner l'ensemble de la surface ou être limité aux rangs ou inter-rangs (cultures annuelles en lignes, cultures pérennes).
Les seuls produits dorénavant utilisables par les jardiniers amateurs sont : Les produits de biocontrôle. Les produits utilisés en agriculture biologique et portant la mention EAJ (Emploi Autorisé au Jardin) Les produits à faible risque.
Si le plant n'est pas complètement atteint, vous pouvez néanmoins traiter naturellement votre potager en appliquant en spray du bicarbonate de soude ou du lait de vache coupé à l'eau, 2 fois par semaine.
Une réduction de 30% du recours aux pesticides serait possible sans bouleverser en profondeur les pratiques agricoles et en limitant la baisse des rendements à 6% en moyenne. Elle passe, entre autres, par le désherbage mécanique et le recours aux prédateurs naturels pour lutter contre les organismes nuisibles.
- Le développement d'espèces végétales résistantes : Le désherbage chimique provoque un phénomène de sélection de la flore adventice la plus résistante qui, débarrassée de la concurrence des espèces plus sensibles aux molécules chimiques, se croisent entre elles pour donner naissance à des sujets encore plus résistants ...
Elles permettent de protéger les sols et régénérer leur fertilité biologique, d'optimiser l'efficience et la qualité de l'eau, de réduire l'empreinte carbone et de préserver la biodiversité !
Rapprocher le producteur de ses consommateurs est une autre initiative déjà bien implantée, notamment chez les urbains déconnectés de la nature. Coopératives agricoles et associations fleurissent partout en France. Jusqu'à provoquer de notables changements de paradigmes dans la grande distribution.
Réduire le travail du sol et préserver les adventices pour protéger les habitats naturels. Favoriser les cycles naturels pour renforcer la fertilité des sols. Privilégier la rotation des cultures. Installer des bandes refuges, des bandes fleuries, des jachères et des haies larges.
L'urbanisation croissante (les villes s'étendent de plus en plus) représente la première cause de la diminution des terres cultivables.
L'une des alternatives à l'utilisation de cet herbicide consiste à implanter des espèces gélives qui, comme leur nom l'indique, sont sensibles au gel. On peut par exemple citer le tournesol, la phacélie, le niger, la moutarde, le millet…
Il existe aussi deux autres types de lutte biologique : la lutte biologique contre les maladies des plantes, qui fait intervenir des agents pathogènes antagonistes (appelés biopesticides), et la lutte biologique contre les mauvaises herbes, qui fait appel à des herbivores, des agents pathogènes, et des prédateurs de ...
On peut aussi classer les méthodes physiques selon le mode d'utilisation de l'énergie, soit la lutte mécanique, lutte thermique, lutte électromagnétique et lutte pneumatique.
Pourquoi verser du bicarbonate de soude sur les plantes ? Le bicarbonate de soude est un produit miracle. Il permet en effet de protéger les cultures et les plantes contre les champignons dont les maladies cryptogamiques comme le mildiou ou l'oïdium.
Ce produit est non seulement un très bon insecticide, mais là n'est pas sa seule qualité. En effet, le vinaigre blanc est également un très bon désherbant. Pour chasser les mauvaises herbes, ce produit sera votre meilleur allié ! Mélangez tout simplement du vinaigre blanc et de l'eau.
Polémique autour de l'huile de neem
Il faut savoir que l'huile de neem n'est pas autorisée à la vente en France pour un usage phytosanitaire. En effet, l'azadirachtine a vu son inscription à l'annexe I de la directive 91/414/CEE refusée par la Commission Européenne, en 2008.
Deux autres leviers existent pour réduire son utilisation d'engrais : les couverts en interculture ainsi que la gestion optimisée des prairies.