: conjonction. On peut le remplacer par que, quand, supposons que. Ex : Si le temps était clair, nous verrions l'île.
Si… que, encadrant un adjectif ou un adverbe, introduit une subordonnée concessive ; quelque… que : Si mal qu'il ait agi, il faut lui pardonner. (Avec un adjectif, on peut employer si… soit-il : Si aimable soit-il.)
On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses. Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait.
Lorsque nous imaginons quelque chose qui n'a pas eu lieu, nous faisons une hypothèse sur le passé : Si + plus-que-parfait, conditionnel passé Exemples : Si je n'étais pas arrivé en retard, j'aurais vu le début du film. Exemples : Ce matin, je ne joue pas au tennis parce qu'il pleut.
Le conditionnel présent se construit à partir du radical du verbe au futur suivi des terminaisons de l'imparfait : j'aimerais, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous aimeriez, ils aimeraient.
- si : conjonction de subordination / adverbe d'intensité / adverbe qui équivaut à « oui ». - s'y : pronom « se » + « y ». - ci : adverbe. « s'y » précède toujours un verbe.
Lorsqu'elle est de forme affirmative (en (1) et (2), « il est humain »), la réponse dépend de la polarité de la question. Si la question est de forme affirmative, on emploie oui (cf. (1Ba)). Si elle est de forme négative, on emploie si (cf.
La conjonction « si » introduit généralement une subordonnée circonstancielle de condition qui est complément de phrase. Elle est invariable et unit seulement des phrases. Emploi : La conjonction « si » exprime une condition, une supposition, une hypothèse probable, éventuelle, ou encore contraire à la réalité.
1. avec l'indicatif présent ou passé, la condition (éventuel) : Si tu viens me voir, tu seras bien reçu. 2. avec l'indicatif imparfait ou plus-que-parfait, la répétition ; toutes les fois que : S'il se trompait, on corrigeait son erreur.
- Introduite par si, advenant que, au cas où, etc. La proposition subordonnée de condition doit TOUJOURS être précédée d'une virgule. J'irai à New York,si mon budget me le permet. Subordonnée d'opposition (opp.)
On utilise SI (et pas OUI) lorsque l'on répond à une question négative de manière affirmative. Par ex. dans le dialogue du podcast, on peut entendre : – Ok, comme toujours, à 5 heures devant la cafétéria ?
Définition de si conjonction et nom masculin invariable devient s' devant il, ils. Introduit soit une condition (à laquelle correspond une conséquence dans la principale), soit une simple supposition ou éventualité.
On doit éviter d'employer de façon interchangeable les locutions bien que et même si. La locution conjonctive bien que introduit une concession qui vise une situation passée ou présente, tandis que même si sert à introduire une hypothèse ou une éventualité.
L'indicatif après si représente l'hypothèse passée qu'il n'est plus possible de réaliser dans le présent. Attention, on peut se dispenser d'employer la conjonction si, on la sous-entend dans ce cas grâce à l'emploi du conditionnel. Exemples : J'aurais su, je ne serais pas venu.
« Si tu pouvais, tu irais la voir » : pour donner une information non confirmée, faire des hypothèses ou exprimer un souhait, on utilise le conditionnel présent. Le conditionnel présent peut servir à : - donner une information incertaine ou non confirmée.
Alors que, répondre « oui » à une question interro-négative confirmerait « la négation » de la question ce qui ne veut rien dire puisque la réponse est positive. Le « si » est donc là pour transformer une question négative en réponse positive.
L'usage veut que la réponse à une question négative soit introduite par si quand la réponse est positive, par non quand la réponse est négative : « L'habit des Académiciens n'est-il pas vert ?
Si la réponse est affirmative, on répond "si". La même question : Tu veux manger ? Oui.
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
Il faut écrire : Si c'était de son ressort, il changerait de stratégie commerciale. Remplaçons « s'était » par « cela était » : « Si cela était de son ressort, il changerait… » La phrase est juste. Ce n'est donc pas « s'était » qu'il faut écrire, mais « c'était ».
Les temps du conditionnel
Au conditionnel, on retrouve le présent et le passé. La particularité de ce mode est d'avoir deux formes pour le passé. La seconde forme est cependant d'un usage plus littéraire et on rencontre principalement la première forme.