d'encourager votre enfant à participer à des activités extra-scolaires comme le sport, les arts créatifs ou des réunions entre jeunes qui donnent l'opportunité d'élargir son réseau social. d'organiser des réunions ludiques avec des pairs à l'aise en société, et qui ont les mêmes centres d'intérêt que votre enfant.
Être sociable avec ses pairs
Vers trois ans, il commence à jouer en groupe. Un mode de garde en collectivité ou l'entrée à l'école maternelle facilite sa socialisation. Au parc, ses parents peuvent l'aider à entrer en contact avec les autres.
« Certains enfants ont un déficit d'intelligence sociale, c'est-à-dire qu'ils ont du mal à créer des interactions avec les autres, explique Stéphane Clerget, pédopsychiatre. Cette capacité à interagir avec autrui est souvent transmise par les parents.
Souvent, lorsqu'un enfant n'a pas d'amis, c'est son estime de soi qui est en cause. Déjà faible à l'origine, elle s'amenuise de plus en plus à mesure que l'enfant essuie des rejets. Il s'agit d'un véritable cercle vicieux. C'est pourquoi il peut être très bénéfique de travailler sur l'estime de soi de l'enfant.
1) Aider son enfant à construire sa confiance en soi
Si vous voulez enseigner à vos enfants comment avoir confiance en ce qu'ils sont et en leur réussite, aidez-les à connaître leurs forces, dites-leur que vous croyez en leurs capacités et faites-leur remarquer leurs succès passés et présents.
De manière générale, l'activité physique a un impact positif sur la réussite scolaire, des vertus qui influent directement sur le comportement des élèves en cours. Le sport permet de mettre en lumière des qualités qui l'aideront à mieux réussir et s'épanouir à l'école.
Montrez lui que vous êtes là pour lui, sans le harceler ni le brusquer bien sûr en lui demandant toutes les 3 minutes ce qui ne va pas. Ne soyez pas réactif à ses provocations. Mais n'ignorez pas pour autant, ce qui n'est pas facile ! Valorisez-le au maximum (sans en faire trop non plus, il n'est pas stupide).
Le syndrome de la cabane (aussi appelé le syndrome de l'escargot) est le terme utilisé pour faire référence au sentiment de peur à sortir à nouveau de chez soi. Ce syndrome peut survenir après une période d'isolement relativement longue.
Rester à son écoute et lui proposer de temps en temps une activité où il pourra rencontrer d'autres enfants. Par exemple, lui proposer d'inviter un copain de l'école à la maison ou aller faire une activité avec des enfants d'ami(e)s.
de soutenir les stratégies personnelles de votre enfant pour se faire des amis à l'école, comme observer ses camarades, lancer ou accepter des invitations à jouer, créer des clubs et des groupes, y participer ou s'efforcer d'y inclure d'autres personnes.
Exercez vos compétences sociales. Si vous ne passez pas souvent du temps avec vos amis, vous pourriez être un peu rouillé. Trouvez-vous des occasions de vous entrainer à vous présenter, à faire avancer la conversation ou à mettre à l'aise les gens autour de vous X Source de recherche .
Si votre enfant n'est jamais invité aux anniversaires ou bien tout simplement n'a pas d'amis et qu'il en souffre, Marie Costa préconise dans un premier temps d'écouter et comprendre son ressenti. Elle déconseille toutefois de le faire d'une traite, à la sortie de l'école.
«Il existe plusieurs punitions efficaces pour se faire entendre de l'adolescent : il peut réparer la faute qu'il a commise, effectuer des tâches dans la maison ou être encore privé d'activités inutiles à son développement comme tout ce qui concerne les écrans.
Soyez patient avec votre ado et écoutez-la.
Évitez de parler à sa place ou de l'interrompre quand elle parle. Incitez-la à parler en lui posant des questions banales sur sa journée ou sur le déroulement de l'examen qu'elle a eu au lycée. Prenez note de ses réponses et laissez-la partager ses pensées.
Un ado qui est normalement plutôt bon à l'école et qui a subitement des notes qui chutent “est un indicateur extrêmement fort”, informe la spécialiste. “Attention, il ne s'agit pas d'un jeune qui a toujours eu des difficultés” précise-t-elle.
Il est probable que l'âge et les parcours individuels vous aient éloignés les uns des autres : quand l'un se marie et l'autre fait des enfants, les quotidiens ne sont plus les mêmes et la famille prend souvent le dessus sur l'amitié.
Certaines personnes n'ont pas d'amis parce qu'elles manquent de confiance en elles. Les personnes timides, celles qui ont peur du rejet ou d'être jugées de façon négative ont tendance à éviter les contacts sociaux.
Les deux secrets de la réussite seraient alors : Apprendre à attribuer ses réussites et ses échecs à l'effort et donc redoubler d'effort. Développer une attitude mentale optimiste en relativisant ses échecs et en s'interdisant tout discours pessimiste.
La clé de la réussite n'est que dans la détermination et le courage d'oser.