Il s'agit de répondre à une moquerie en utilisant une réponse qui n'a rien à voir avec la moquerie et la situation. Si l'interlocuteur dit à votre patient “tu as l'air ridicule avec tes fringues !”, alors votre patient peut répondre : “Oui, justement je me promenais hier sur les quais , j'ai vu les mouettes.
Attitude n°3 : Se tenir droit dans ses bottes
La fermeté est une autre arme puissante pour déstabiliser les moqueurs car le but ultime de ces derniers est de vous faire douter de vous, de vos capacités… En ayant une attitude ferme vous aurez le dessus sur tout ce que votre interlocuteur aura à vous dire.
Blagueur, railleur, goguenard. Qui est moqueur, malicieux ou railleur. Un sourire narquois. Qui manifeste de la moquerie.
Restez calme. Quand ils se moquent de vous, soyez calme. Bien sûr, cela est plus facile à dire qu'à faire, surtout avec toute cette vague de gêne et de souffrance qui vous envahit. Cependant, garder votre sang-froid sur le moment est essentiel pour leur enlever le pouvoir qu'ils ont entre les mains.
Moussa Nabati rappelle que la fonction de l'humour moqueur est avant tout cathartique : « Cela permet de se décharger d'une agressivité que l'on porte en soi, ce qui garantit ensuite des relations plus apaisées en famille. » Rire pour médire sans le dire : c'est toute l'ambiguïté de l'humour… et de l'amour.
La moquerie est amplifiée par l'effet groupe. Elle a encore plus de poids et d'impact. Se moquer est une façon d'expérimenter son agressivité, sa cruauté. C'est aussi tourner en ridicule une qualité de l'autre que l'on convoite ou un élément qui nous inquiète.
Certaines personnes utilisent l'ironie et la moquerie pour se créer un cercle relationnel basé sur la crainte, se donnant une image de force. Souvent cette attitude de « persécuteur » devient pathologique se traduisant par de la manipulation relationnelle.
1/ Les narines qui frémissent. C'est plus ou moins marqué chez les gens mais souvent, quand dit des trucs qu'on ne pense pas, on a les narines qui tremblent légèrement. Autre geste « nasal » : le « je me gratte le côté du nez » pendant que j'te cause (geste que font assez souvent les politiciens, d'ailleurs,…).
Se moquer des autres peut produire un rejet chez l'agresseur, une diminution de l'apprentissage scolaire et une faible estime de soi. Cela augmente aussi l'agression et l'insécurité personnelle. C'est, en effet, la preuve que les règles régissant le comportement social sont ignorées.
Vous pouvez aussi répondre avec humour (selon l'interlocuteur que vous avez en face de vous, bien sûr) : “Qu'es-tu allée faire à Paris hier ?” “Écoute, si l'on te pose la question, tu pourras toujours dire que tu ne sais pas !” ? L'humour est souvent une bonne façon de détourner l'attention sans blesser personne, vous ...
Utiliser un ton de voix sarcastique lorsqu'on prononce une phrase sert à transmettre le message inverse que nos mots. Le sarcasme est parfois un moyen d'autodérision, mais il est utilisé le plus souvent pour marquer un sentiment d'irritation.
Méthode 2 sur 3: Ignorer la provocation. Faites comme si vous n'entendez pas. L'une des stratégies pour faire face aux provocations consiste à faire semblant de ne pas entendre ce que les brutes disent, afin de pouvoir transformer cela en blague.
Selon ce dernier, les moqueries sont souvent source de détente pour certains, qui ne pensent souvent pas aux conséquences de leurs propos. « Une personne peut aussi se moquer des autres afin de camoufler son propre sentiment d'insécurité.
gouaillerie, ironie, lazzi, persiflage, pique, plaisanterie, pointe, quolibet, raillerie, risée, sarcasme. – Familier : chinage.
Tourner quelqu'un, quelque chose en ridicule, s'amuser d'eux : Se moquer d'un ami étourdi. 2. Ne faire nul cas de quelque chose, de quelqu'un, ne pas s'en soucier, y être indifférent : Se moquer du qu'en-dira-t-on. Je me moque de ce qu'il pense.
Action ou habitude de se moquer : Être en butte à la moquerie de ses camarades. 2. Action, parole par lesquelles on raille ; raillerie : Exciter les moqueries de son entourage.
Réflexions sur les réactions plus efficaces
Utiliser l'humour – pratiquer une réplique drôle qui désamorce les moqueries. Éviter l'occasion – tisser un nouveau cercle d'amis qui correspond davantage à sa personnalité. Identifier des personnes ressources – se référer au professeur s'il est victime d'intimidation.
Donnez-vous des limites et défendez-les.
Les personnes “trop gentilles” sont souvent la cible des personnes toxiques, car elles ne savent pas poser de limites aux autres. Il faut donc savoir poser les limites en s'affirmant avec force et fermeté, et de préférence AVANT que la limite soit atteinte.