Réagir quand la colère n'est pas dirigée contre soi
Ne mettez pas d'huile sur le feu, ne lui dites pas non plus de but en blanc de se calmer, laissez-le exprimer son ressenti. Etre compréhensive, le dire, parler d'une voix calme aidera à l'apaisement. Laissez votre proche exploser tant que ce n'est pas contre vous.
Écrivez quelque chose comme : « Cette expérience a l'air très dure ! Comment te sens-tu maintenant ? » ou « Je suis désolé(e) que ça te soit arrivé. Je peux faire quelque chose pour toi ? »
Inciter l'autre à parler de ce qu'il ressent.
L'idée, c'est donc d'amener l'autre à nommer ce qu'il ressent, même si ça fait mal. En parlant à quelqu'un de confiance, cela peut lui permettre d'utiliser des mots plutôt que de mettre son point sur la table.
Comme toutes émotions, la colère est naturelle, et constitue un signal d'alarme lorsqu'un de nos besoins n'est pas comblé, ou que nous nous sentons en insécurité. La colère sert donc à mettre des barrières, à dire « stop » à une situation qui ne nous convient pas.
“Quand vous êtes en colère, comptez jusqu'à quatre. Quand vous êtes très en colère, jurez.” “Qui apaise la colère éteint un feu ; qui attise la colère, sera le premier à périr dans les flammes.”
Vous pouvez aussi répondre avec humour (selon l'interlocuteur que vous avez en face de vous, bien sûr) : “Qu'es-tu allée faire à Paris hier ?” “Écoute, si l'on te pose la question, tu pourras toujours dire que tu ne sais pas !” 😉 L'humour est souvent une bonne façon de détourner l'attention sans blesser personne, vous ...
La meilleure manière d'exprimer la colère est de la mettre en mots pour l'extérioriser. Penser l'émotion permet d'en réduire son intensité. La verbaliser aide à en reprendre le contrôle.
Ta présence me rend heureux, ta tendresse me réconforte et tu es si belle, chaque jour, quoi que tu en dises ! Je suis tellement chanceux de t'avoir à mes côtés. Avec toi, je me sens aimé et soutenu. Je t'aime pour tout ce que tu es : gentille, énergique et généreuse.
« Être rouge de colère », « avoir une peur bleue », « pleurer de joie », « trembler comme une feuille », « avoir la gorge serrée », « ne pas en croire ses yeux »…
Concentrez-vous sur ce qui est important : en cas de frustration, vous devez absolument prendre le contrôle de votre esprit. Concentrez-vous sur des choses qui vous aideront à traverser ce problème avec succès, plutôt que d'autres qui vous donnent la sensation d'être piégé(e).
N'insistez pas et passez à autre chose en partant. L'agresser serait une façon de lui faire perdre la face. Au contraire, aidez le à prendre du recul en lâchant prise sur ce qui vient de se passer. Rappelez vous enfin : il n'y a que la personne elle même qui puisse décider de changer son comportement.
Parlez à la première personne du singulier.
Parler en « je » vous permettra d'assumer vos sentiments : « j'ai été blessée que tu ais oublié mon anniversaire la semaine dernière ». Les formules en « tu », au contraire, amèneront facilement votre interlocuteur à se sentir attaqué : « tu ne t'intéresses pas à moi !
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. Le souvenir, c'est la présence invisible.
Par exemple, si vous vous mettez en colère parce que vous avez été critiqué au travail, vous pourriez vous demander si vous avez besoin de reconnaissance ou d'estime de soi. Si vous vous mettez en colère parce que quelqu'un ne vous a pas écouté, vous pourriez avoir besoin de respect et d'attention.
La colère (Nu) est associée au Foie. La joie (Xi) est associée au Coeur. La tristesse (You) est associée au Poumon. Les soucis (Si) sont associés à la Rate/Pancréas.
À chaque fois que la colère prend le dessus, nous ne sommes plus nous-mêmes. Nous nous laissons envahir par une partie de nous qui souffre et qui est là pour nous indiquer une blessure non réglée. Cette blessure vient d'une situation douloureuse vécue étant jeune avec un parent et où le pardon n'a pas été encore fait.
La colère procède de multiples sentiments. Lorsqu'elle porte sur la possession d'un bien, elle est suscitée par l'envie. Avivée par les avantages d'autrui, elle est jalousie. Associée à un sentiment d'honneur bafoué, elle provoque un désir de vengeance.