Dans ce cas précis, il vous suffit d'accepter simplement avec un sourire et de ne pas relancer. Ainsi, vous pouvez tout simplement répondre par « Tant mieux, cela semble résolu alors autant passer à chose » avec un sourire.
«Demandez-lui ce qu'il cherche à dire, par exemple, en surlignant des mots en rouge ou en ajoutant des points de suspension à la fin de ses phrases. Dites-lui comment vous interprétez ces signaux pour l'amener à prendre conscience de ses réflexes d'écriture», suggère Gilles Demers.
Si quelqu'un vous envoie un mail plein de cruautés, rien ne vous oblige à vous en montrer satisfait mais il vous suffit de rester poli. Un simple 'merci pour votre message' remet parfois les choses à leur place. Faites savoir à l'expéditeur que vous appréciez son feedback.
Trouver une bonne accroche quand on ne sait pas quoi dire
L'approche la plus commune est bien évidemment : “Salut, comment vas-tu ?”. Ce type de question est problématique, car elle amène instinctivement à une réponse mécanique. En effet, même une personne qui ne va pas bien ne dira probablement pas la vérité.
Vous pouvez aussi répondre avec humour (selon l'interlocuteur que vous avez en face de vous, bien sûr) : “Qu'es-tu allée faire à Paris hier ?” “Écoute, si l'on te pose la question, tu pourras toujours dire que tu ne sais pas !” ? L'humour est souvent une bonne façon de détourner l'attention sans blesser personne, vous ...
Vous pouvez vous exprimer comme ceci : « je n'ai pas envie d'en parler maintenant », ou dire : « je ne suis pas dans un espace émotionnel permettant de parler de manière constructive. Parlons-en plus tard ».
Essayez d'écrire quelque chose comme : « Je suis désolé(e) que tu te sentes ainsi. Peux-tu m'en dire plus sur ce qui s'est passé ? » Si elle est en colère contre vous et que vous ne savez pas vraiment pourquoi, écrivez : « Peux-tu me dire ce que j'ai dit ou fait pour que tu sois aussi furieux(se) ?
Conseil n°1 : Bannissez les réponses réflexes
Les réponses réflexes comme « rien de spécial et toi ? » ou « comme d'habitude » coupent court à l'échange. Votre interlocuteur vous prend au dépourvu, retournez la question par un « ça me fait plaisir de te retrouver, mais toi d'abord, quoi de neuf ? ».
Dans ce cas précis, il vous suffit d'accepter simplement avec un sourire et de ne pas relancer. Ainsi, vous pouvez tout simplement répondre par « Tant mieux, cela semble résolu alors autant passer à chose » avec un sourire.
Face à une critique non constructive, reformulez le reproche et démontrez qu'il s'agit d'une opinion : « vous pensez que je suis nul(le) en bureautique. C'est cela ? ». Vous atténuez ainsi le choc de la critique et rendez à l'autre la responsabilité de son jugement.
Pour faire face à une attitude agressive, il s'agit, tout d'abord, de ne pas se laisser envahir par l'agressivité de l'autre. C'est avant tout rester soi-même, « rester, ou revenir chez soi », pour mettre l'autre à distance. Au-delà des techniques, il s'agit d'une posture, d'un savoir-être.
Exemple 2 de texte triste
Je me rends compte que je n'ai que bien peu d'amis et suis livré[e] à moi-même en cas de coup dur. J'aimerais avoir la force de me tourner vers les autres, mais c'est difficile. Peut-être qu'un jour, j'aurai les armes pour surmonter ma mélancolie... Je reste plein[e] d'espoir.
« Si tu avais un super-pouvoir, tu choisirais lequel ? » « Si tu pouvais partir n'importe où dans le monde là tout de suite, tu partirais où ? » « Si tu devais choisir une époque historique à laquelle vivre, tu choisirais laquelle ? »
Parlez à la première personne du singulier.
Parler en « je » vous permettra d'assumer vos sentiments : « j'ai été blessée que tu ais oublié mon anniversaire la semaine dernière ». Les formules en « tu », au contraire, amèneront facilement votre interlocuteur à se sentir attaqué : « tu ne t'intéresses pas à moi !
Utiliser un ton de voix sarcastique lorsqu'on prononce une phrase sert à transmettre le message inverse que nos mots. Le sarcasme est parfois un moyen d'autodérision, mais il est utilisé le plus souvent pour marquer un sentiment d'irritation.
Pas de problème. Je vous en prie. Je t'en prie. Avec plaisir.
Vous pouvez lui envoyer un message juste pour vous assurer qu'il va bien. Un texto léger, gentil et court. Partant du principe qu'il a peut-être une bonne raison de ne pas vous répondre. Après un ou deux jours de silence.
Restez loin de la personne.
Si vous vous sentez à l'aise, vous pourriez dire calmement : « Arrête de faire ça » ou « Tu es en train de dépasser les bornes avec ce que tu fais. Je m'en vais. » Si vous ne pouvez pas vous retirer, faites-lui comprendre par vos actions que vous ne voulez pas interagir.
Dites non dès que possible. Le plus rapidement vous indiquez votre refus, le plus il sera facile pour le destinataire de le recevoir avec l'espoir de recevoir des «oui» de ses autres invités. Remerciez la personne de vous avoir invité. Si vous avez un autre engagement, mentionnez-le au début de votre conversation.