Il n'est pas toujours nécessaire de calculer le discriminant Δ. On peut aussi chercher une racine évidente de l'équation du second degré en factorisant le polynôme. Résoudre x2 – 1 = 0 revient à résoudre x2 = 1 soit x = –1 ou x = 1. Résoudre x2 – 2x = 0 revient à résoudre x(x – 2) = 0 soit x = 0 ou x = 2.
Étape 1 : Calcul du discriminant Δ = b² - 4ac. Si Δ < 0 : Pas de solution à l'équation ; Si Δ = 0 : Une seule solution S = -b/2a ; Si Δ > 0 : Deux solutions à l'équation S = {(-b-racine(Δ))/2a, (-b+racine(Δ))/2a}.
Le discriminant est utilisé dans d'autres domaines que celui de l'étude des polynômes. Son usage permet de mieux comprendre les coniques et les quadriques en général.
Pour déterminer la solution de l'équation, il faut remplacer l'inconnue par chacune des valeurs proposées et voir celle pour laquelle l'égalité est vérifiée. Si la racine est la bonne alors nous obtiendrons la même valeur numérique dans chaque membre de l'équation.
Équation du second degré
Le nombre de solutions de l'équation ax^2+bx+c=0 (avec a\neq 0), dépend du signe du discriminant \Delta : Si \Delta<0, l'équation n'admet aucune solution réelle. Si \Delta=0, l'équation admet une unique solution (dite « double ») : x_0=\dfrac{-b}{2a}.
Pour cela, dans le cas général, il faut d'abord calculer le discriminant Δ (delta), donné par la formule : Δ = b² - 4ac. Avant d'aller plus loin, voyez si vous maîtrisez convenablement ce calcul de discriminant.
b. 2x² + 5x – 3 est un polynôme du second degré de la forme ax2 + bx + c, avec a = 2, b = 5 et c = –3. Son discriminant est ∆ = b² – 4ac = 5² – 4 × 2 × (–3) = 49.
On dit que les équations x² - 5x = 0 et x(x - 5) = 0 sont équivalentes. donc x = 0 ou x - 5 = 0 et il n'y a pas d'autre solution.
Pour une équation du second degré sous la forme ax2 + bx + c, le discriminant est la valeur b2 - 4ac. En calculant le discriminant, détermine le nombre de solutions réelles de l'équation 3x2 + 9. En calculant le discriminant, détermine le nombre de solutions réelles de l'équation 4x2 + 4x + 1.
Pour résoudre une équation du premier degré à une inconnue x, on la ramène à une équation du type ax=b, puis on utilise la dernière propriété ci-dessus. On effectue ensuite une vérification pour pouvoir conclure. Soit un nombre x. On vient de montrer que si x est solution de l'équation de départ, alors x=1320.
Si Δ = 0 alors l' équation admet une solution double x = −b/2a.
La lettre Δ (delta majuscule de l'alphabet grec) correspond à une variation au sens le plus général, c'est-à-dire à une différence entre deux quantités. Par exemple, si on mesure la taille (la hauteur H en cm) d'un enfant à deux âges différents, on pourrait constater qu'il est passé de 120 cm à 140 cm .
Méthode On commence par identifier les coefficients a, b et c de l'équation. On vérifie si l'équation est facile à résoudre : c'est le cas lorsque b = 0 ou c = 0, ou encore lorsqu'on reconnaît une identité remarquable. Si l'équation n'est pas évidente, on calcule le discriminant \Delta=b^{2}-4 a c .
Résoudre l'équation x3 = c (avec ) revient à chercher le nombre x tel que x × x × x = c. Ce nombre est unique, car pour tout nombre réel c, la droite d'équation y = c ne coupe qu'une seule et unique fois la courbe représentative de la fonction x → x3.
Cette désignation est facile à déduire: (90°C + 70°C) / 2 = 80°C. Ces 80°C sont la température moyenne de l'eau. En soustrayant la température ambiante, on obtient: 80°C – 20°C = delta T 60°C.
Résoudre une inéquation consiste à trouver l'ensemble des valeurs par lesquelles on peut remplacer la variable pour obtenir une inégalité vraie. Par exemple : La solution x=1 est une des solutions de l'inégalité 2x+1<5, car en la remplaçant dans cette dernière on obtient 2×1+1<5 qui est une inégalité vraie.
Forme d'ironie et d'humour qui laisse sous-entendre l'inverse de ce que l'on pense vraiment.
Définition : Discriminant d'une équation du second degré Si Δ est strictement positif, alors il y a deux solutions réelles à l'équation du second degré. Si Δ = 0 , alors il y a une solution réelle (répétée). Et si Δ est strictement négatif, alors il n'y a pas de solutions réelles.
Pour factoriser une somme, il faut repérer le facteur commun aux différents termes de la somme. A : le facteur commun est x ; si l'on développe x(x − 5), on retrouve bien x2 − 5x. B : le facteur commun est 2x ; si l'on développe 2x(x − 3 + y), on retrouve bien 2x2− 6x + 2xy.
L'hypothèse de Riemann, un problème irrésolu
Ce problème est considéré par de nombreux mathématiciens comme l'un des plus difficiles de tous les temps. Et en effet, l'hypothèse de Riemann n'a jamais été résolue !
Appellé «le dernier théorème de Fermat», cette équation avait été posé en 1637 par le mathématicien français Pierre Fermat.
Approche graphique de la méthode : On choisit « arbitrairement » une première valeur de B (le zéro par exemple) et on remplace la courbe par sa tangente, on calcule alors facilement (avec l'équation de la droite) une seconde valeur de B. En réitérant la méthode, on s'approche alors de la valeur de B recherchée.
Propriété Soit f ( x ) = a x 2 + b x + c où a ≠ 0 un polynôme du second degré et Δ = b 2 − 4 a c son discriminant. Si : se factorise sous la forme f ( x ) = a ( x − x 1 ) ( x − x 2 ) où et sont les deux racines du polynôme.
Pour cela, on pose b=2b′ b = 2 b ′ . Le discriminant réduit vaut : Δ′=b′2−ac. Δ ′ = b ′ 2 − a c . Les racines sont alors données, dans le cas où le discriminant est positif, par la formule : x1=−b′−√Δ′a, x2=−b′+√Δ′a.
La forme canonique est une forme d'écriture paramétrique de l'équation d'une fonction. On dit que la forme canonique d'une fonction est porteuse de sens puisqu'elle donne de l'information sur l'allure de son graphique. On l'appelle aussi forme transformée.