Les insectes puisent le dioxygène dans l'air à travers leur enveloppe externe grâce à des spiracles, qui se trouvent situés au niveau de leur exosquelette (orifices percés dans les pleurites thoraciques et abdominaux).
Contrairement à la plupart des vertébrés à respiration aérienne, les insectes (animaux invertébrés) ne respirent pas à l'aide de poumons. Les organes respiratoires des insectes sont appelés trachées.
Ils n'ont pas de poumons. La plupart des insectes respirent grâce à des trachées. L'air pénètre par de tout petits trous répartis sur les côtés de leur corps.
Le système respiratoire des insectes. L'air pénètre dans les trachées par les stigmates. Les échanges gazeux se font au niveau des trachéoles, par diffusion dans les deux sens avec les tissus de l'organisme.
A la place, ils ont de chaque côté de leurs corps des petits trous, appelés spiracles, qui sont contrôlés par des muscles et par lesquels s'engouffre l'air qui va oxygéner directement les organes et les cellules.
Comme tous les insectes, les fourmis ont un système respiratoire particulier, formé d'un réseau de tubes, les trachées, qui amènent l'air jusqu'aux organes et aux cellules. Les échanges gazeux se font directement avec les cellules qui en ont besoin, sans passer par le sang ou la lymphe.
Les insectes ne possèdent pas de poumons mais un système de tubulures ramifiées dans tout leur corps, les trachées.
La respiration cutanée dure toute leur vie, mais quand ils sont adultes, la libération de dioxyde de carbone devient importante. Pélobate à couteaux (Pelobates cultripes) Grenouille de Perez (Pelophylax perezi) Kokoï de Colombie (Phyllobates terribilis)
Les araignées sont des animaux terrestres qui respirent les gaz de l'air. Elles peuvent avoir soit des trachées (réseau de tubes qui mènent les gaz directement vers les organes et les tissus), soit des poumons.
Les insectes n' ont pas de nez pour sentir. Ils perçoivent les odeurs grâce à leurs antennes.
La respiration est un processus physiologique permettant d'approvisionner l'organisme en oxygène, et de le libérer du dioxyde de carbonedioxyde de carbone.
Elles ont une forme allongée, sont poilues et munies de 2 crochets autour de la bouche. À ce stade, elles peuvent manger jusqu'à 150 pucerons par jour. Larve de coccinelle mangeant un puceron.
3. La respiration branchiale. Elle se fait par l'intermédiaire de branchies, qui représentent une expansion de l'animal baignant dans le milieu extérieur (l'eau), et qui captent l'oxygène dissout dans l'eau.
Elles ne supportent pas le froid ; elles cherchent alors à s'infiltrer à l'intérieur. Rassurez-vous, car durant l'hiver, elles dorment, ne mangent pas et ne se reproduisent pas. Bien que leur présence ne soit pas « nuisible » à l'être humain, elle est certes agaçante.
La respiration du lion est libératrice et permet d'extérioriser. De ce fait, la concentration se fait sur la pointe du nez (nasaga dristhi) ou entre les sourcils (ajna chakra).
Le comportement de ce dauphin d'Hector (Cephalorhynchus hectori) n'a jamais été observé auparavant : il respire par la bouche. Le mammifère marin a été filmé par l'équipe de Stephen Dawson, chercheur à l'Université d'Otago à Dundin en Nouvelle-Zélande.
Le pharynx commence à la bouche et au nez de la girafe. Il aide à conduire ce que la girafe ingère a l'œsophage et il conduit aussi l'air à et en partent de la trachée pendant qu'il respire. La bronche primaire est un passage pour l'air qui le conduit directement dans les poumons de la girafe.
Des chercheurs annoncent avoir découvert une espèce animale qui présente la particularité de ne pas avoir besoin d'oxygène pour vivre. Il s'agit du parasite Henneguya salminicola, qui fait partie de la même famille que les méduses, indiquent les scientifiques dans une étude publiée ce lundi dans PNAS.
– Les champignons sont essentiellement aérobies ; ils respirent en absorbant de l'oxygène et en rejetant du gaz carbonique.
Oui, les insectes ont bien un cerveau.
Il est bien sûr petit. Celui de l'abeille est un des plus perfectionnés, mais il tient dans un cube d'un millimètre de côté. Il est formé d'une masse de ganglions nerveux et située dans la tête, dorsalement, comme chez nous .
Pour cela, les insectes ont un «coeur» placé dorsalement dans leur abdomen (= troisième partie du corps). Ce coeur est allongé, comme un tuyau, avec de petites ouvertures sur le côté, les ostioles. Il se prolonge vers l'avant en une «aorte», un vaisseau ouvert qui va jusqu'à la tête.
Selon des chercheurs interrogés cette semaine par le New York Times, les insectes connaissent des états émotionnels, comme les êtres humains. C'est à l'université de Bordeaux que le docteur Daniel Cattaert a mené des recherches sur des écrevisses. Il a décelé des signes d'anxiété chez ces animaux.