On peut indifféremment expirer soit par la bouche, soit par la bouche et le nez, mais on doit exclusivement inspirer par la bouche. De plus, l'expiration doit être active, voire légèrement forcée à cause de la résistance de l'eau.
En crawl, concentrez-vous sur le battement de jambes, et sur l'amplitude. Le battement de jambes doit être le plus léger possible, pour conserver l'alignement, l'horizontalité, et ne pas être trop gourmand en énergie. Nager en amplitude, en faisant le moins de mouvements de bras, aide aussi à s'économiser.
Inspirez lentement par le diaphragme.
Commencez à inspirer pendant cinq secondes. Ensuite, ajoutez-y une seconde à chaque inspiration. Cela permet d'étirer vos poumons et d'augmenter votre capacité à retenir votre respiration. Vous n'aurez pas plus d'air en gonflant les joues.
Concentrez-vous sur votre respiration et sur vos ciseaux de brasse. Au moment de plier les genoux, relevez la tête hors de l'eau pour inspirer très rapidement. Expirez ensuite, le plus longuement possible, au moment de fermer les jambes, quand votre tête retourne sous l'eau.
Les particularités de la respiration aquatique
L'expiration est active pour vider la totalité de l'air présent dans les poumons et pouvoir inspirer plus efficacement par la suite.
Évidemment, vous pouvez nager avec la tête constamment hors de l'eau, mais on ne peut pas vous garantir que les sensations seront bien meilleures. Sinon, vous pouvez opter pour des bouchons d'oreilles en silicone, imperméables et malléables ou pour un bandeau protège-oreilles, que vous passez autour de votre tête.
Pour mieux respirer, il est important que l'inspiration se fasse par le nez et l'expiration, par la bouche. Il est également important pour respirer correctement de prendre le temps de bien expirer : pour un temps passé à l'inspiration, comptez le double au moment de l'expiration.
Se placer dans la partie la plus profonde de la piscine, inspirer normalement puis se laisser couler en expirant lentement (si l'expiration est trop rapide ou trop faible, il est impossible de couler ou alors, on coule un peu puis on refait surface de suite).
Le papillon, la nage la plus fatigante mais aussi la plus spectaculaire, renforce principalement les muscles subscapulaires, les biceps et les pectoraux.
Erreur n°2 : Une mauvaise synchronisation des mouvements
En brasse, la principale difficulté réside dans la synchronisation des mouvements. Commencez par le mouvement des bras en appuyant sur l'eau avec vos paumes et vos avant-bras afin de sortir le buste de l'eau et prendre votre respiration.
Vider son air progressivement et entièrement par le nez jusqu'à ne plus en avoir (comme exercice précédent). Faire des petites bulles. Sortir la tête de l'eau pour reprendre de l'air avec la bouche puis remettre la tête sous l'eau pour expirer par le nez.
Faire de l'exercice
Marche, vélo, jardinage... l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
L'eau qu'ils absorbent par la bouche passe en permanence sur ces branchies et au passage, les capillaires qui les irriguent captent les molécules d'oxygène nécessaires à travers une membrane qui filtre.
Donc pour ceux qui courent à 10km/h, cela correspond à nager 1 kilomètre en piscine en moins de 30 minutes. (40 longueurs de 25m ou 20 longueurs de 50m). Et pour ceux qui courent à 7 – 8km/ h, cela correspond à faire ses 40 longueurs en moins de 40 minutes.
L'essoufflement est aussi causé par une mauvaise maîtrise de la technique de nage. Le nageur effectue beaucoup de mouvements qui se révèlent inefficaces et qui font accélérer son rythme cardiaque. Il s'essouffle donc très rapidement et se fatigue musculairement.
La fatigue musculaire, qui affecte le plus souvent les athlètes et ceux qui s'entraînent fréquemment, peut se produire lorsque vous vous reposez mal entre les séances de sport. Elle est souvent causée par un excès d'acide lactique, qui s'accumule dans les muscles et ne peut alors être éliminé naturellement.
Affiner sa silhouette. Complète, la natation est idéale pour la perte de poids. La résistance de l'eau permet de brûler plus de calories et l'effet drainant de l'eau permet de lisser la peau. Les mouvements amples de la natation permettent de se muscler en allongeant le muscle plutôt que par une prise de masse.
Pour aller plus loin et amincir votre ventre avec la natation, alternez crawl, dos crawlé et brasse coulée. Ces trois nages sollicitent les obliques et contribuent au ventre plat. Pour vous attaquer à la graisse profonde, rien de tel que des exercices effectués en fractionné.
En plus d'être ludique et relaxante, nager la brasse vous permettra d'entretenir votre silhouette et de brûler des calories. La brasse permet de dépenser en moyenne plus de 450 calories pour 45 minutes de pratique.
Peut être es-tu trop chargé en air. L'air te fera forcément remonter à la surface comme un ballon. Alors il en faut suffisamment pour rester sous l'eau, mais il faut trouver un juste milieu entre le litrage en air et la motricité qui t'aide à nager en profondeur.
Cette peur peut se mettre en place suite à un traumatisme, vécu directement ou indirectement (la plupart du temps avoir échappé à un noyade ou avoir vu quelqu'un se noyer, ou encore le fait d'avoir été poussé.
Pour y remédier, il est indispensable de bien souffler l'air présent dans vos poumons par le nez et par la bouche. Si vous expirez seulement par la bouche, vous laissez la voie libre pour que l'eau puisse s'infiltrer par le nez. En soufflant aussi par le nez, vous créez une pression qui empêche l'eau de s'infiltrer.
Respirer par la bouche expose à un plus grand nombre d'infections car l'air entrant est froid et encore chargé en bactéries. Une croissance de la face : Une des grandes conséquences néfastes de la respiration buccale est une croissance pathologique des mâchoires et du visage.
Il peut s'agir alors d'une maladie bénigne et ponctuelle comme une bronchite (inflammation des bronches) ou d'une réaction allergique à une substance inhalée. Une maladie respiratoire chronique comme l'asthme est aussi envisageable.