Comment recéper un arbuste ? À l'aide d'un sécateur ou d'un coupe-branche, rabattez l'ensemble des parties aériennes de l'arbuste à 10- 15 cm du sol, pas plus. Apportez ensuite de l'engrais ou du compost pour aider l'arbuste à repartir de plus belle après cette taille drastique.
Réunir deux troncs
Et une fois fendu en deux, il est difficile de sauver un arbre en taillant une des deux branches. L'une des méthodes pour prévenir cet écartement consiste à lier les deux troncs ensemble par haubanage. Le haubanage peut aussi « recoller » deux branches qui présentent un début de fendillement.
N'hésitez pas à couper un peu des branches, afin de faciliter la reprise. Petit ou plus grand, l'arbre transplanté devra être arrosé régulièrement pour l'aider à reprendre : il faut compter une année complète pour être sûr que la reprise est confirmée.
Utilisez une perceuse et un forêt de 15 mm. Percez le trou en partant de l'extérieur de l'arbre. Glissez ensuite un fin tuyau en plastique flexible dans le trou percé, en le faisant dépasser de quelques centimètres du tronc de l'arbre.
L'arbre ne pouvant ainsi plus fabriquer les tissus vivants de l'écorce, il mourra. L'écorce est un matériau très utile à de nombreuses activités humaines.
Mais il ne prend rien de la sève des arbres, pas plus qu'il ne les étouffe, abîme leur écorce ou concurrence leur absorption de minéraux par les racines. Les racines du lierre sont superficielles, quand celles des arbres poussent en profondeur.
S'il s'agit d'une plante en pot, vérifiez qu'elles ne soit pas trop à l'étroit et rempotez-la si nécessaire. N'oubliez pas d'ajouter un peu d' engrais à l'eau d'arrosage en période de croissance pour la nourrir car les éléments nutritifs sont vite absorbés dans un si petit volume de terre.
L'absence de bourgeons
Un arbre vivant est pourvu de bourgeons, signe que la vie continue et qu'il se prépare, à plus ou moins longue échéance, au débourrement, c'est-à-dire à l'éclosion des bourgeons végétatifs et floraux.
Si l'arbre mort n'est pas à proximité imminente de la terrasse ou de quelque allée, ne vous dépêchez pas de le couper tout de suite. Une idée très artistique est peindre le tronc et les branches en couleurs dépareillées fraîches et ainsi créer une sculpture contemporaine et organique à la fois.
les branches coupées ne repoussent pas. Par contre, il va refaire de nouvelles branches.
Dans la plupart des cas, lorsqu'un arbre meurt au milieu de la forêt, c'est parce qu'il a poussé trop près d'autres arbres: ils se font alors de l'ombre, ou il n'y a pas assez d'eau ou d'éléments nutritifs dans le sol pour tous. Comme chez les humains, on dit qu'ils se font concurrence.
Lorsque l'arbre pousse, les cellules les plus anciennes du liber se décalent vers l'extérieur et deviennent l'écorce. Celle-ci tombe peu à peu et se décompose au sol. L'écorce est ainsi renouvelée en permanence.
La meilleure façon d'aider un arbre à réparer ses blessures consiste à enduire la plaie de mastic. Les tissus laissés à l'air libre n'ont pas de protection et sont vulnérables aux infections. Employez du mastic en pâte, à étaler à la spatule. C'est moins pratique que le mastic en bombe mais plus efficace.
Attendre le printemps pour intervenir. Tailler à 2 m chaque année, et passer un coup de cisaille pour le désépaissir. Pour retirer le lierre, couper à la base, il séchera et se détachera plus facilement. Mais les racines seront encore ancrées dans le sol.
Le Gui est une plante dépourvue de racine qui vit dans les arbres et qui prend, au fil des ans, l'apparence d'une grosse boule. Plante parasite, le gui s'installe dans de nombreux arbres de nos régions comme l'aubépine, le robinier, le saule pleureur, le pommier, le tilleul et surtout le peuplier.
Les principes actifs du lierre grimpant sont essentiellement des saponines (les hédérasaponines, des savons naturels). Ces substances ont montré des propriétés antispasmodiques (bloquant les contractions des muscles des bronches) et expectorantes (facilitant l'évacuation du mucus produit en cas de bronchite).
Délimiter une zone qui englobe la blessure au complet. Couper la délimitation de la zone en forme de rond ou d'ovale idéalement. Plus la forme de la zone est ronde, ovalisée plus l'arbre cicatrisera rapidement . Il ne faut pas non plus couper trop d'écorce pour rien et agrandir exagérément la blessure.
L'écorce, une protection vitale
L'écorce, c'est la peau de protection de l'arbre. Ce manteau, épais de quelques millimètres à plusieurs centimètres selon les espèces, est vital. Il a pour rôle de protéger la sève qui circule juste derrière et le bois tendre, qui est la partie vivante de l'arbre.
On peut voir cet effet lors d'une infestation fongique ou d'insectes, après un coup de froid extrême, suite à une sècheresse profonde ou après une blessure physique. L'écorce qui décolle est généralement morte. C'est généralement un signe que l'arbre ou arbuste est mauvais état ou même mourant.
Vent, pluie, gel, neige, chaleur ou foudre attaquent les arbres et peuvent provoquer de multiples blessures qui deviendront potentiellement des cavités. Ces blessures mécaniques sont propices à l'installation des xylophages, des êtres vivants qui se nourrissent du bois : bactéries, champignons, insectes.
Le meilleur pansement des blessures (même les gros trous dans les troncs) est l'argile. L'argile soigne l'arbre en enlevant toutes les parties pourries et en le cicatrisant. Faire des applications très épaisses qui doivent tenir seules si l'argile est assez compacte.
Vous n'avez qu'à planter trois piquets à une distance d'environ 2 m de l'arbre, en angle, comme vous le feriez pour des piquets pour une tente. Ensuite, vous attachez les fils de fer aux piquets et à l'arbre, en appliquant une tension suffisante pour redresser l'arbre.