Bannissez toute pensée trop sérieuse et concentrez-vous sur le moment présent pour en apprécier le silence et vous serez en bonne voie pour passer une journée plus calme et silencieuse. La méditation peut vous empêcher de vous sentir dépassé par un plus grand contrôle du corps et de l'esprit.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Pour être zen, il est nécessaire de créer autour de soi, un cadre, une atmosphère propices à la méditation et cela passe par la décoration de son environnement qui doit être harmonieuse et épurée pour apporter l'apaisement. Notre environnement quotidien joue sur nos humeurs, notre équilibre, notre sérénité.
Chaque prise de parole doit être l'occasion d'enrichir le débat. À l'inverse, si ce que vous vous apprêtez à dire ne permet pas de faire avancer la conversation, ne le dites pas. Le silence n'est pas dénué d'intérêt, il permet en effet d'observer le comportement des autres.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
La colère est un signal d'alarme qui traduit une insatisfaction. Son utilité première est de nous aider à nous faire respecter. Elle est souvent accompagnée de réactions physiques soudaines : augmentation du rythme cardiaque, tension musculaire. On est prêt à se défendre, à défendre les nôtres et notre territoire.
La logorrhée peut être un symptôme d'une affection psychiatrique : bouffée délirante aiguë, état maniaque d'un trouble bipolaire, schizophrénie, trouble anxieux, ou hyperactivité par exemple. Dans ce cas elle est souvent associée à une tachypsychie, c'est-à-dire une accélération du cours de la pensée.
Réduire ses temps de parole. Parlez lorsque cela est important. Avant de parler, demandez-vous si ce que vous voulez dire est vraiment important. Vous devriez éviter de parler si vous n'allez pas vraiment contribuer à la conversation XSourcederecherche .
Si vous dites quelques phrases, forcez vous psychologiquement à arrêter de parler au bout d'une ou deux minutes. Fixez vous des limites et relancez derrière vos phrases par une question envers l'autre. Ecoutez VRAIMENT ce que dit l'autre en face, ne pensez pas seulement à ce que vous allez pouvoir répondre.
Et pour cause, pratiquer le yoga contribue incontestablement à conserver ou obtenir un esprit zen. Si mes séances ne sont pas aussi régulières que je le voudrais, c'est à chaque fois un véritable plaisir.
Certains troubles hormonaux, une hypocalcémie (taux de calcium dans le sang trop faible), un état dépressif peuvent se traduire par de l'irritabilité. Parlez-en à votre médecin.
Dans une large mesure, cela est dû à une mauvaise maîtrise de soi et à une faible tolérance à la frustration. Cependant, ce ne sont pas les seules causes. Sous la colère se cache aussi très souvent une couche de tristesse que nous ne savons pas affronter, et encore d'autres sentiments ou émotions refoulés.