Retenir l'eau dans le sol
Il est aussi possible de mettre en place un paillis sur le sol (déchets de tonte, chanvre, plaquettes de bois etc.) sur une épaisseur de 6 cm environ. Le paillis protège des rayons du soleil, réduit l'évaporation, régule la température du sol et permet donc de réduire l'arrosage.
Un sol humide est un sol où l'eau stagne. Le sol humide retient donc l'eau, car les pluies s'écoulent très difficilement. Par exemple, les terres argileuses sont des terres humides qui conservent l'eau après une averse.
Résidus de tonte
Un premier paillis végétal très accessible est produit par votre tondeuse. En effet, les déchets de tonte, légèrement séchés, sont à mettre autour de vos plantes chéries en fine couche de 2 cm maximum d'épaisseur. A renouveler régulièrement à l'occasion de chaque coupe de gazon.
Vous pourrez y installer les plantes précédemment citées plus quelques arbres comme, les saules dont le magnifique saule pleureur, le peuplier qui tolère bien les sols humides, mais aussi le très étrange cyprès chauve, l'aulne, le chêne des marais ou l'eucalyptus qui a pour réputation d'assécher les sols humides.
La fougère de Boston : La fougère de boston est la plante préférée des intérieurs. Elle possède des qualités dépolluantes, et c'est la plante qui absorbe le mieux l'humidité. Elle nécessite un peu de soleil. A l'origine, cette fougère pousse dans les forêts humides et tropicales.
L'aloe vera
En plus de ses multiples vertus thérapeutiques qui rendront cette plante bien utile dans votre jardin, l'aloe vera n'a besoin d'aucun entretien. Cette plante des pays chauds a la particularité de stocker l'eau pendant des semaines. Vous n'aurez presque pas besoin de l'arroser !
VRAI. Une terre sableuse ne retient pas l'eau, car elle est fine, légère, meuble, et contient peu d'argile. Si on apporte trop d'eau, celle-ci file directement dans le sous-sol. Il faut donc arroser plus souvent qu'en terre argileuse, et moins à la fois, puisqu'elle n'a aucune capacité de stockage.
Sol humifère
Avantages: Sol très fertile, qui retient bien l'eau et qui se réchauffe facilement.
Un sol argileux est le plus souvent riche en éléments fertilisants et retient l'eau, mais est lourd, peu drainé, et lent à se réchauffer.
i) Creusement, infiltration et construction des digues: la construction commence par le creusement de l'aire en forme d'un cône renversé, puis d'un canal d'écoulement permettant l'alimentation du bouli. Ensuite, il faut ajouter une digue de protection et une digue de retenue avec la terre excavée.
Rien de plus simple, il suffit de fermer ce qu'on appelle le robinet de purge, c'est à dire la vanne qui alimente l'extérieur en eau. Une fois fermée, ouvrez le ou les robinets extérieurs afin de vider la tuyauterie de l'eau qu'elle contient entre le robinet de purge et le robinet extérieur.
Deux possibilités pour accéder alors à l'eau : aller la chercher directement dans la nappe phréatique (6m à 10m en dessous du sol) ou bien plus en profondeur encore. Pour être sûr qu'une source est bien accessible depuis son terrain, mieux vaut demander l'avis d'un professionnel : sourcier ou puisatier.
Les palmiers poussent dans des zones tropicales plus humides et absorbent l'eau à travers les feuilles. Que vous optiez pour le palmier dame, le palmier arec, le palmier bambou ou le palmier roseau, ils sont tous excellents pour éliminer les polluants de l'air à l'intérieur, le formaldéhyde en particulier.
La gomme arabique a un fort pouvoir de déshumidification. Placez-en dans une coupelle dans les pièces trop humides. Même chose pour le charbon : mettez 2 ou 3 morceaux dans un bocal au couvercle percé. A changer toutes des 3 semaines.
L'érable champêtre, l'érable platane, le frêne à fleurs, le mûrier platane, l'olivier, le savonnier de Chine, le tilleul à petites feuilles, le tilleul à grandes feuilles (moins résistant que celui à petites feuilles)...
Les arbres possèdent deux types de vaisseaux : le xylème et le phloème. Ces vaisseaux sont, telles les veines et les artères, des voies à sens unique. L'eau et les minéraux empruntent les vaisseaux du xylème pour monter dans l'arbre et atteindre chacune des branches et des feuilles.
Par ailleurs, les saules (dont il existe des dizaines d'espèces et de variétés), le muguetier ou cerisier à grappes (Prunus padus) et beaucoup d'autres arbustes (Viorne obier, Physocarpus, spirées, Cornouillers...), sont aussi capables de vivre en zone inondable et de retenir les sols de par leur fort enracinement.
Pailler pour conserver l'humidité du sol
Le paillage épais pour limiter l'évaporation du sol. Vous pouvez ainsi créer un paillis de 10 à 20 cm. En effet, en évitant au sol d'être nu et de recevoir les rayons du soleil, un paillage va limiter l'évaporation et diminue par là même les besoins en arrosage.
L'empierrement est la solution la plus classique pour stabiliser un terrain. Mais, dans des sols argileux ou très humides, il peut s'avérer très compliqué et coûteux. Il existe une solution alternative : le traitement du sol à la chaux et/ou au ciment.
Privilégiez un arrosage automatique ou manuel, moins fréquent, mais abondant, pour que l'eau ait le temps d'atteindre les racines avant de s'évaporer. Si des restrictions d'eau sont mises en place, selon le niveau d'alerte, vous pouvez être amené à ne pas arroser certains jours.