S'asseoir droit lorsqu'on mange, et surtout éviter de s'allonger pendant les repas. Manger lentement, ce qui est un moyen très efficace de réduire le risque d'étouffement. Éviter les aliments d'une consistance difficile, comme les soupes avec les morceaux, qui rendent la déglutition plus compliquée et hasardeuse.
Traitement des troubles de la déglutition
La meilleure façon de traiter la dysphagie est d'en traiter la cause spécifique. Pour aider à soulager les symptômes de dysphagie, les médecins conseillent généralement aux personnes de prendre de petites bouchées et de bien mâcher leurs aliments.
Une difficulté à avaler des aliments et des liquides s'appelle la dysphagie. Elle vient d'une faiblesse des muscles de votre gorge et de votre bouche que vous utilisez normalement pour déplacer les bouchées de nourritures et les gorgées de liquides. Elle peut aussi venir d'une perte de la sensibilité dans la bouche.
Il est nécessaire de bien appuyer sur la langue avec la cuillère pour déclencher le réflexe archaïque de déglutition.
La phoniatrie est une surspécialité médicale de l'Oto-Rhino-Laryngologie qui prend en charge les troubles du carrefour aéro-digestif, autrement dit les troubles de la voix, de la parole et de la déglutition.
Dans les cas graves où les changements d'habitudes de vie ne suffisent pas à traiter la dysphagie, une intervention chirurgicale peut être nécessaire. Certaines des interventions chirurgicales utilisées pour traiter le RGO aident également à réduire ou éliminer les symptômes de la dysphagie.
La dysphagie œsophagienne peut entraîner une perte de poids, une malnutrition, une aspiration trachéale du matériel ingéré et, dans les cas graves, une impaction alimentaire. L'impaction alimentaire met les patients à risque de perforation spontanée de l'œsophage, ce qui peut entraîner un sepsis et même la mort.
Manger les aliments doux qui sont faciles à mâcher. Éviter les liquides épais qui coulent plus lentement afin de réduire le risque d'étouffement. S'asseoir droit lorsqu'on mange, et surtout éviter de s'allonger pendant les repas. Manger lentement, ce qui est un moyen très efficace de réduire le risque d'étouffement.
Le IX: le glossopharyngien est un nerf mixte avec un contingent végétatif important. Il est responsable de la déglutition et de la sensibilité du 1/3 postérieur de la langue. Le X: vague ou pneumogastrique est un nerf mixte avec une part neurovégétative excessivement importante.
Corps étrangers dans l'œsophage
Lorsque le médecin suspecte qu'un morceau d'aliment est coincé dans l'œsophage, il peut administrer du glucagon par voie intraveineuse pour relâcher l'œsophage et laisser l'aliment passer spontanément dans le tube digestif.
Ce peut être un rétrécissement (sténose) du conduit œsophagien créant un obstacle mécanique telle une tumeur (principalement des cancers épidermoïdes ou adénocarcinomes), une sténose peptique induite par un reflux gastro-œsophagien (RGO), une inflammation de l'œsophage chronique d'origine allergique et dysimmunitaire ( ...
Puis assis, sans télévision, le faire ainsi avaler (solide ou liquide, pas mélangés) : déposer les aliments au milieu de la langue, puis l'inviter à inspirer, à descendre le menton sur la poitrine (ou tourner la tête du côté paralysé si hémiplégie) puis avaler et se racler la gorge.
Vous pouvez stimuler votre nerf vague en vous massant les pieds, ce qui peut aider à diminuer le rythme cardiaque. Vous pouvez aussi vous masser le long du cou le long des artères carotides pour relâcher les tensions. La joie et le rire sont des boots immunitaires naturels. Rire stimule le nerf vague !
Utiliser des aliments bien hydratés, lubrifiés ; ajouter des graisses, des jus, des sauces ; du jus de citron pour fluidifier les sécrétions ; éviter les aliments secs ou friables : maintenir des apports hydriques suffisants.
La dysphagie se manifeste par un blocage qui empêche la descente de certains aliments, et parfois même de liquides, dans l'œsophage. Elle se distingue de l'odynophagie, qui elle est caractérisée par une douleur empêchant d'avaler. L'aphagie, enfin, désigne l'absence de déglutition.
Entre autre, pour faciliter et aider la personne âgée, n'hésitez pas à lui couper la viande, peler les fruits, enlever l'opercule des pots de yaourts … Pensez aussi à enrichir ses repas. Ceci permettra d'apporter des calories et des protéines en plus tout en ayant le même volume dans l'assiette.
Mâcher un chewing-gum
Mâcher un chewing-gum après les repas permet d'augmenter la production de salive, ce qui permet réduire les niveaux d'acide dans l'œsophage, selon les recherches menées.
Restaurer la muqueuse œsophagienne et gastrique par des actifs calmants et cicatrisants naturels (guimauve, acide hyaluronique, chondroïtine sulfate, curcuma). Moduler Helicobacter Pylori par une plante "anti-protection" de cette bactérie, la Scutellaire de Baikal.
Actuellement, la dilatation est réalisée sous contrôle endoscopique et éventuellement radiologique soit par bougie, soit par ballonnet hydrostatique. L'opacification radiologique préalable n'est pas indispensable mais peut être utile en cas de sténose non franchissable ou complexe.
La plupart du temps, le fait de tousser vous permettra de faire sortir la nourriture ou le liquide de votre trachée et de les faire passer dans l'œsophage, c'est-à-dire le bon "tuyau", sans que vous ne vous en aperceviez (donc ne vous inquiétez pas si vous ne voyez ni ne sentez la nourriture passer.)
Un petit lambeau musculaire (épiglotte) se ferme pour éviter que les aliments et les liquides ne descendent le long de la trachée vers les poumons. La partie postérieure de la voûte de la bouche (palais mou) s'élève pour éviter que les aliments et les liquides ne remontent vers le nez.