La musique de la chanson est signée Pascal Obispo et Pierre Jaconelli. Elle figure sur le 41e album de Johnny Hallyday Ce que je sais sorti en 1998.
Christianisme. L'envie est désignée comme vice par la tradition chrétienne et fait partie des Sept péchés capitaux définis par Thomas d'Aquin. Dans ce cadre, elle désigne plus particulièrement la convoitise ou émotion éprouvée par celui qui désire intensément posséder le bien d'autrui.
Jean-Jacques Goldman n'avait pas écrit L'envie pour Johnny Hallyday mais pour… En 1986, Johnny Hallyday faisait un carton avec Gang, un album écrit et composé par Jean-Jacques Goldman. Un disque porté la chanson L'envie, que le chanteur n'avait à l'origine pas réalisée pour le rocker…
Johnny Hallyday y joue un soldat dans une scène de combat urbain. Cerné par des soldats, acculé au milieu des ruines, comprenant que la fin est proche, il écrit une lettre à la femme qu'il aime, nommée Marie.
Cette chanson devenue mythique a fait l'ouverture du concert du chanteur au Stade de France en septembre 1998. Si la musique est signée Pascal Obispo, et Pierre Jaconelli, les paroles sont de Zazie.
FD : En 1972, vous vous êtes séparé de lui. Pourquoi ? JR : Parce que je n'étais pas d'accord avec une émission qu'il se disposait à faire alors qu'il n'était pas prêt. Et je ne pouvais pas supporter de le voir se ridiculiser ainsi.
Avec cent quatorze titres (diffusés), à son actif, Michel Mallory est le parolier qui a écrit le plus grand nombre de chansons pour Johnny Hallyday.
Roulement de tambour… Et votre chanson préférée de Johnny Hallyday est… Je te promets ! Sortie en 1986 sur l'album Gang, cette ballade écrite par Jean-Jacques Goldman recueille plus d'un suffrage sur cinq (21,8%).
4L'ivrognerie, dit Cernay, « est un excès notable dans la qualité ou quantité du boire, par lequel on se prive ordinairement de l'usage de la raison. » Cette définition comprend déjà la principale conséquence peccamineuse de ce péché : la perte de la raison.
fém. A. − [L'obj. exprimé ou non, désigne une chose] Désir de posséder et de jouir d'une chose qui, le plus souvent, appartient à autrui ou est plus ou moins interdite (cf.