Prenez l'exemple d'un trombone. Pliez-le en plusieurs endroits puis rouvrez-le afin de l'aplatir. Votre fil ne sera jamais correctement tendu, car il sera écroui au niveau des pliures. Si vous faites cette action à de multiples reprises au même endroit, il est même probable que le fil se rompe.
Technique n°2 : les deux plaques en nylon. Pour cette deuxième technique, on va utiliser deux tas en nylon. Cet outil, très simple à manipuler, est composé de deux plaques en nylon. En temps normal, il sert à aplatir et à durcir les fils en métal.
L'étape de trempe de l'acier est obtenue en immergeant la pièce métallique, encore à température élevée, dans un fluide froid qui peut être un gaz, de l'air, des bains de polymères liquides, des huiles ou des bains de sel fondu. La trempe a comme objectif l'augmentation de la dureté des couches superficielles du métal.
L'huile est un des milieux de trempe les plus utilisés. On utilisera les huiles d'origine végétales de préférence aux minérales. Il ne faut absolument pas utiliser l'huile de vidange (risque de toxicité) ! Il existe des huiles spéciales pour la trempe, mais elles sont chères.
Les pièces en aciers à faible % de carbone , peuvent etre cementées artisanalement , en caisse en presence de cement solide dans un four montè à environ 900 °c , cela dure plusieurs heures , puis ensuite elles subissent un traitement de trempe à l'eau à une T° inferieure .
Le chauffage et le refroidissement ici permettent d'éliminer une grande partie des contraintes et d'homogénéiser la structure. Cette méthode a l'avantage de mettre le métal dans un état reproductible. L'acier trempé a l'avantage d'être un métal dur après le chauffage et le refroidissement.
On transforme ainsi l'acier en solution solide de carbone dans le fer γ, l'austénite. L'opération s'appelle l'austénitisation. Le chauffage permet donc de passer de la structure cubique centrée (ferrite α) à une structure cubique à face centrée (austénite γ).
FENSO 90 est préconisée pour les aciers ordinaires et alliés, c'est-à-dire aussi bien les aciers durs que les aciers de trempe calmés (c'est-à-dire, désoxydés) à l'aluminium.
Pour la trempe, il s'agit généralement d'huiles paraffiniques. Mieux adaptées à cet usage que les huiles moteur, plus faciles à nettoyer car additivées et plus propres. Mais bien sûr, une huile moteur permettra aussi d'obtenir une trempe.
Durcissement. Ne durcissez pas le burin directement à la température de forgeage. Chauffez d'abord à basse température, puis augmentez progressivement la température jusqu'à atteindre 800 °C. Un processus de chauffage lent permet un meilleur durcissement du burin.
L'acier peut subir divers traitements thermiques visant à lui conférer certaines propriétés. Pour le durcir, il faut effectuer une trempe. Cette manipulation consiste à chauffer le métal puis à le refroidir de façon contrôlée dans un bain d'eau ou d'huile.
Pour durcir le métal, il existe d'autres méthodes telles que la cémentation, la carbonitruration, nitruration ou encore la nitrocarburation. Certaines opérations complémentaires sont d'ailleurs réalisées à basse température, jusqu'à -150 degrés, avec de l'azote liquide dans des cellules cryogéniques.
Chaque nuance d'acier à une température d'austénisation différente. Par exemple, un acier carbone C130 se trempe à 780/800°C. Alors qu'un inox 12C27Mod se trempe à 1060°C. Le XC75 se trempe, lui, à 790/810°C, soit quasiment comme le C130, mais pas tout à fait.
Le recuit consiste à chauffer un métal à une certaine température à l'aide d'un chalumeau afin de lui redonner toutes ses propriétés mécaniques pour le travailler plus facilement. L'étape du recuit est très importante, elle peut se faire autant de fois que nécessaire durant la conception d'un bijou.
Aucune limite dans l'esprit créatif, le fil de fer peut être adapté à des objets utilitaires ou à des décorations. On peut faire des corbeilles, des coquetiers, des porte-bouteilles, des accroche-torchons ... mais également booster la décoration en imaginant des abats-jours, des encadrements...
Le seul traitement thermique applicable au cuivre est le recuit, il n'y a pas d'autres traitements de durcissement possible si le cuivre est pur. Généralement pour les alliages de cuivre "courants", on apporte au maximum 40% d'un ou d'autres éléments. Voilà voilà.
L'huile de tournesol pour vos cuissons
Nous vous conseillons de choisir une huile de tournesol oléique qui présente une meilleure tenue aux températures élevées. Grâce à sa forte teneur en acides gras monoinsaturés, elle supporte les hautes températures et est donc idéale pour rissoler voire même frire les aliments.
Les huiles neutres comme l'huile de tournesol ou de pépin de raisin sont bonnes à utiliser pour des cuissons à la poêle. Elles ne laissent que peu de goût et ne risquent pas de brûler. Pensez également à l'huile coco, l'huile d'amande ou l'huile d'olive raffinée.
Il suffit de verser l'huile au niveau du renfoncement et de la laisser refroidir et se solidifier. Lorsque l'huile est solide, il ne reste plus qu'à retirer la feuille d'aluminium en prenant soin de bien la refermer et ainsi capturer les résidus gras.
L'huile de protection pour métal naturel ou brunis aussi appelée huile de Jade apporte une protection au métal.
L'huile de coupe convient pour tous les métaux. Le spray peut ainsi être utilisé lors d'opérations de coupe et de forage avec des outils à main, perceuses à colonne, scies à ruban verticales et taraudeuses. Outre les métaux, l'huile est également appropriée pour l'aluminium, le titane et l'acier inoxydable.
La trempe consiste à chauffer le métal à une température ou le carbone se dissout dans la matière (au dessus de A de la figure ci-dessous ), puis, à refroidir rapidement pour garder cette structure a température ambiante.
LA CÉMENTATION - Permet d'augmenter la teneur superficielle en carbone afin d'augmenter la dureté superficielle de la pièce en acier.
L'acier, un alliage fer-carbone
Une fois trempé, l'acier devient encore plus dur que le fer. Il tient l'essentiel de ses propriétés de sa teneur en carbone. Lorsque celle-ci augmente, la dureté de l'alliage s'améliore et son allongement à la rupture diminue.
Le procédé de fabrication de forge à chaud se fait à une température extrême (jusqu'à 1150°C pour l'acier, de 360 à 520°C pour les alliages d'aluminium, de 700 à 800°C pour les alliages de cuivre). Cette température est nécessaire afin d'éviter l'écrouissage du métal lors de la déformation.