Si vous avez un doute, commencez par là ! Si vous n'avez aucune information concernant les pronoms d'une personne, il est préférable d'utiliser des tournures de phrases sans marqueur de genre : « quand tu étais enfant », « tu es sympa », etc.
Masculin : il Féminin : elle Non-binaire : iel, ille, alternance de pronoms, aucun pronom, etc. Exemple : Iel s'en va à l'épicerie.
Mx (habituellement prononcé /mɪks/ MIKS ou /mʌks/ MUKS et parfois /ɛmˈɛks/ em-EKS) est un néologisme de langue anglaise servant à indiquer un titre de civilité sans indiquer de genre. Il a été proposé comme alternative aux titres genrés habituels tels que Mr (Monsieur) ou Mrs (Madame) à la fin des années 1970.
Par exemple, un homme ou une femme peut dire « je suis dans une(des) relation(s) diamorique(s) » si san(ses) partenaire(s) est(sont) non-binaire(s). Vous pouvez appeler votre partenaire non-binaire « diamour ». Exemple : « Man diamour fait des études de biologie ».
L'utilisation du langage épicène, c'est-à-dire non genré : magnifique (et non belle ou beau), un parent (au lieu de père ou mère).
Leurs frères et sœurs qui respectent cette non-binarité ne les appellent pas « mon frère » ni « ma sœur » car ces appellations sont genrées, mais plutôt « mon adelphe », sans faire mention du genre du mot. Au pluriel, le mot adelphe désigne les frères et sœurs d'une personne, les autres membres de sa fratrie.
Le mot adelphe a pour dérivés « adelphique », « adelphité » et « adelphie ». Adelphique s'emploie comme synonyme non genré de fraternel.
Le mot trans, dans le cas de la parentalité, est souvent associé à des transsexualités binaires, à savoir, un homme trans (qui s'identifie en tant qu'homme) s'appelle un père et une femme trans (qui s'identifie en tant que femme) s'appelle une mère.
Le pronom le plus couramment associé aux personnes non binaires est « iel » accordé par le biais de l'écriture inclusive. Certaines personnes utilisent « elle » ou « il », d'autres encore alternent différents pronoms, et il existe d'autres pronoms comme « ol » et « ael ».
Le néo-pronom le plus répandu en français est iel.
Certaines personnes utilisent la déclinaison ellui : « c'est à ellui », « j'étais avec ellui ». D'autres préfèrent utiliser iel quelle que soit la fonction du pronom dans la phrase. Très souvent, cela s'accompagnera d'accords dégenrés, mais pas systématiquement.
Il consiste donc à utiliser les adjectifs épicènes comme par exemple : iel est agréable où agréable remplace souriant ou souriante. Le langage inclusif : comme nous l'avons vu, le point médian, le tiret, ou les parenthèses permettent aux adjectifs de prendre une forme à la fois masculine et féminine.
La formulation neutre privilégie l'utilisation de noms, d'adjectifs et de pronoms qui ne présentent pas d'alternance masculin/féminin tout en ayant un genre grammatical qui leur est propre. Ces mots désignent aussi bien des personnes non binaires que des personnes s'identifiant au genre féminin ou masculin.
(Anthropologie) Lignage, ensemble d'individus relevant d'un même doyen ou d'une même doyenne. (Généalogie) Ensemble composé des enfants (frères et sœurs) d'une même famille, fratrie ou sororie.
Les pronoms démonstratifs « ce », « ça », « ceci » et « cela » sont quasi unanimement considérés comme des formes neutres et dans une moindre mesure comme des formes de genre indifférencié. Il en va de même pour « rien » et « quelque chose ».
Une personne non-binaire rejette la norme établie de binarité homme/femme. Iel – pronom permettant de désigner une personne sans distinction de genre – ne se reconnaît pas uniquement dans un seul de ces deux genres, mais quelque part entre homme et femme.
C - Cisgenre
Cette catégorie comprend les personnes qui avaient indiqué que leur sexe assigné à la naissance était identique à leur genre actuel.
Le néologisme xénogenre vient du grec xeno (l'autre). Les xénogenrés (ou xenogenders en anglais) sont donc des individus qui s'identifient à un « autre » genre : animal, végétal, objet inanimé ou même « humeur », précisent les réalisateurs du documentaire.
"Fluide" (ou "genre fluide") désigne une personne dont l'identité sexuelle est changeante, qui passe du masculin au féminin, voire au genre neutre.
Au début des années 2010, le mot "iel" a été pensé pour pallier un manque dans la langue française. Les pays anglo-saxons, eux, avaient recours au pronom "they" pour évoquer les personnes non-binaires. Pratique, car en anglais they est un mot épicène, c'est-à-dire qui neutralise le genre.
«Chacun a bien compris que valider le pronom 'iel', c'est valider l'écriture inclusive, parce qu'il faudra qu'on nous explique s'il faut dire: 'iel est beau' ou: 'iel est belle'.
« He/she », « il/elle », « iel » : la transidentité bouscule les façons de se présenter. Les personnes trans indiquent dans leur « bio » sur les réseaux sociaux les pronoms par lesquels elles souhaitent être désignées. Par solidarité, des femmes et des hommes non transgenres adoptent cette innovation langagière.
Ael est un pronom neutre, au même titre que iel . Certaines personnes non binaires choisissent d'être désignées par le pronom ael de préférence à iel , car il est plus éloigné de la consonance des pronoms binaires il et elle .
3 - Personne non binaire
Elle comprend les personnes dont le genre déclaré est à la fois masculin et féminin, ni l'un ni l'autre ou l'un ou l'autre en plus d'un autre genre.