Le verrier travaille le verre à chaud, soit à la main, soit au chalumeau. Le plus souvent quand on pense au métier de verrier, nous imaginons l'artisan qui réalise des objets d'art ou de décoration. Mais le verrier peut aussi fabriquer de la verrerie scientifique pour des laboratoires.
Le verrier est un métier d'art exercé par un artisan d'art ou un artiste, chargé de fabriquer ou restaurer des objets décoratifs en verre (vitrail, figurines, sculptures) ou utilitaires (arts de la table, verrerie spécifique).
En début de carrière, il gagne généralement le SMIC. S'il a réalisé un apprentissage, il peut voir son salaire se situer au-dessus de la rémunération minimum. Avec les années d'expérience, le verrier peut toucher entre 2000 euros et 2 500 euros bruts par mois (environ 24 000 euros et 30 euros bruts par an).
2 ans pour préparer le CAP souffleur de verre, option verrerie scientifique ou enseigne lumineuse, ou le CAP métiers de l'enseigne et de la signalétique ; 3 ans pour le bac pro artisanat et métiers d'art, option métiers de l'enseigne et de la signalétique ou option verrerie scientifique et technique.
Il travaille à main levée ou utilise un moule. Bien souvent, il souffle la pâte à travers la canne pour la gonfler et la modeler. Pour fabriquer de petits objets en verre filé, le verrier utilise des tubes ou des baguettes en verre qu'il présente à la flamme d'un chalumeau.
Le/la vitrailliste restaure des vitraux anciens ou crée des vitraux modernes. Il/elle en assure également la pose. C'est à la fois un artiste et un technicien du plomb et du verre coloré.
Potier (métier) — Wikipédia.
Le verrier travaille le verre à chaud, soit à la main, soit au chalumeau. Le plus souvent quand on pense au métier de verrier, nous imaginons l'artisan qui réalise des objets d'art ou de décoration. Mais le verrier peut aussi fabriquer de la verrerie scientifique pour des laboratoires.
700 à 800°C : passage du verre dans l'étenderie (fabrication par soufflage en manchon). 1000 à 1100°C : température de recuisson d'un verre de silice. 550 à 600°C : température de recuisson d'un verre borosilicate. 450 à 480°C : température de recuisson d'un verre sodocalcique.
Les formations et les diplômes
2 ans d'études pour préparer le CAP arts du verre et du cristal, 2 ans d'études après un CAP pour préparer le BMA souffleur de verre.
Les formations et les diplômes
2 ans pour préparer le CAP arts et techniques du verre, option vitrailliste, suivi du BMA verrier décorateur (2 ans).
On appelle verre : un matériau dur, fragile (cassant) et transparent, à base de dioxyde de silicium et de fondants. Cette définition est celle du sens commun et c'était aussi celle des scientifiques jusqu'au xix e siècle.
«Prends 60 volumes de sable, 180 volumes de cendre, 5 volumes de craie – et tu obtiens du verre». La fabrication du verre est aussi simple que ça, si on suit la recette provenant de la bibliothèque de tablettes d'argile du roi Assurbanipal autour de 650 avant J.C. La liste des ingrédients est en fait toujours valable.
Au-dessous de 750 °C, au contact de la silice, les cristaux de carbonate de sodium se déforment pour épouser la forme des cristaux de silice. Une réaction entre le sable et le carbonate de sodium (réaction de décarbonatation) est à l'origine de la formation de deux types de silicates de sodium.
Jusqu'à ce qu'elle se fissure et que le verre éclate ! « Des rugosités, des microfissures ou des impuretés peuvent aussi fragiliser le matériau » précise la scientifique. « Un verre fin aura moins tendance à éclater parce que la chaleur se propage partout plus rapidement.
Il s'obtient à une température de fusion de 1500°C. Cette température est abaissée à 1400°C s'agissant du cristal, l'adjonction d'oxyde de plomb agissant comme un fondant.
La technique du verre moulé-pressé consiste à couler le verre en fusion dans un moule métallique en fonte ou en acier, puis à le pressé fortement à l'intérieur de ce dernier afin d'en épouser fidèlement le relief.
Pour un·e débutant·e : le SMIC. Avec de l'expérience, le salaire peut atteindre 1 700 € brut / mois. Si le souffleur·euse de verre évolue au sein de l'entreprise et prenant le poste de Chef de place, le salaire peut aller jusqu'à 2 400 € brut / mois.
Dans les cristalleries, le souffleur de verre travaille au sein d'une équipe où chacun maîtrise une technique permettant d'atteindre l'excellence : souffleur, chef de place, verrier, tailleur, graveur, décorateur interviennent successivement dans la réalisation de l'objet.
Le soufflé (Blowing) consiste à introduire de l'air dans une masse de verre en fusion. Le verrier, à l'aide d'une longue canne creuse métallique, cueille la matière en fusion dans le four à pot ou creuset. Il roule ensuite cette boule rougeoyante sur du marbre afin de parfaitement la centrer.
Certains professionnels sont très recherchés : bûcherons, métiers de la scierie, menuisiers, charpentiers, mais aussi technico-commerciaux connaissant bien le bois pour travailler chez les fabricants de maisons, de charpentes...
Le ferronnier est un professionnel du bâtiment, artisan ou ouvrier, qui réalise des éléments architecturaux en fer forgé, appelés ferronneries : mobilier, grilles, garde-corps, rampes d'escalier, charnières et serrures de portes, etc.
Vous l'aurez deviné, le chaisier est celui qui fabrique des chaises.
Aniche a fêté Saint Laurent, le patron des Verriers.
Un vitrailliste gagne entre 1 350 et 1 500 euros bruts par mois dans un atelier de restauration ou de création. S'il est à son compte, ses revenus sont plus importants, mais dépendent de sa clientèle et de sa notoriété. L'artisan dépend fréquemment des commandes publiques.