Ce genre de récits peut se présenter sous plusieurs formes : le monologue intérieur, comme dans les Carnets du sous-sol de Dostoïevski ; le monologue dramatique, comme dans la Chute d'Albert Camus ou explicitement, comme dans les Aventures de Huckleberry Finn de Mark Twain.
Dans la littérature, on retrouve le plus souvent trois types de narrateurs : la narration à la première personne; la narration à la troisième personne alignée sur un seul personnage; et. la narration omnisciente.
Les discours rapportés. Les discours rapportés permettent de citer les propos des personnages ou de rapporter leurs pensées dans un récit. Il existe quatre types de discours : le discours direct, le discours indirect, le discours indirect libre et le discours narrativisé.
Vous pouvez donc raconter votre histoire à la première personne du singulier. C'est naturel, si votre récit est celui d'évènements qui vous sont arrivés. Votre genre est alors celui de l'autobiographie ou du récit « vrai ».
Ce sont des oeuvres dites « éponymes ».
Ces procédés relèvent de la narration (la façon de raconter l'histoire), c'est-à-dire la manière dont les informations sont communiquées au public : choix du point de vue et de la structure, utilisation ou non de l'insert, l'ironie dramatique, la surprise, le mystère, le time lock, les flash-backs… Remarque.
Il existe 5 types de discours (ou textes) : narratif, descriptif, argumentatif, explicatif, injonctif.
Le narrateur personnage principal est parfois appelé narrateur participant. Le narrateur personnage principal est, comme son nom l'indique, le personnage principal de l'histoire. De ce fait, il raconte ses propres aventures en utilisant principalement la 1re personne. Il a uniquement accès à sa propre intériorité.
Le genre narratif regroupe les textes racontant une histoire par l'intermédiaire d'un narrateur. Celle-ci peut être réelle, on parlera alors de genre réaliste, ou fictive, il sera alors question de fiction.
Un récit est un texte qui raconte une histoire (un enchaînement d'événements). Celle-ci peut être fictive (c'est-à-dire imaginée, inventée, comme dans le conte, la nouvelle ou le roman) ou vraie (comme dans l'autobiographie, les mémoires ou le récit historique).
La biographie consiste en un récit qui raconte la vie et l'histoire d'une personne. Elle peut être écrite par la personne elle-même (autobiographie) ou par une autre personne.
L'autobiographie (du grec autos, soi-même ; bios, vie ; graphein, écrire) est donc le récit que fait une personne réelle de sa propre vie, au fil des jours ou à un moment donné de son existence, souvent la vieillesse ; l'auteur est à la fois le narrateur et le personnage principal de ce récit.
On distingue quatre types de textes : narratif, descriptif, explicatif et argumentatif.
On distingue six types de texte (ou formes de discours) : narratif, descriptif, argumentatif, informatif, explicatif, injonctif.
Le narrateur est à la 3e personne et peut adopter différents points de vue : – le point de vue interne : l'histoire est vue à travers un personnage ; – le point de vue externe : le lecteur découvre ce qu'aurait pu filmer une caméra ; – le point de vue omniscient : le lecteur découvre tout.
Les modes narratifs : raconter ou montrer
Définition : dans le premier, la médiation du narrateur n'est pas masquée. Elle est visible. Le narrateur est apparent, il ne dissimule pas sa présence. Le lecteur sait que l'histoire est racontée par un ou plusieurs narrateurs, médiée par une ou plusieurs « consciences ».
Le schéma narratif correspond à l'ensemble des étapes qui structurent une séquence narrative ou un texte narratif. Ainsi, il permet d'analyser un récit ou de l'organiser.
L'ordre du récit
Lorsqu'un narrateur raconte des évènements dans l'ordre où ils ont eu lieu, on dit que le récit est chronologique. Mais le narrateur peut aussi faire des retours en arrière (appelés flashbacks au cinéma), pour évoquer par exemple le passé d'un personnage.
Par convention stylistique, celui qui s'adresse au lecteur pour raconter une histoire (réelle ou imaginaire) est appelé le narrateur. Cette appellation neutre permet d'éviter de confondre l'écrivain et celui qui raconte l'histoire.