Le corail correspond à la glande génitale de la Saint-Jacques. Il est lui-même constitué de deux parties : l'une mâle (de couleur blanchâtre chez l'espèce Pecten maximus) et l'autre femelle (de couleur orangée chez cette même espèce).
Si vous ouvrez des coquilles fraîches, observez bien le corail, car il est composé de deux couleurs. La partie orange correspond à la partie femelle de la Saint-Jacques tandis que le blanc correspond à la partie mâle : le mollusque est hermaphrodite. Dans nos assiettes, le corail est un élément qui divise.
La plupart du temps, on consomme sa partie blanche, qui s'avère être le muscle, communément appelé noix. A côté de celle-ci se trouve une partie rouge-orangée : c'est le corail. Celui-ci est la glande génitale de la Saint-Jacques, qui apparaît plusieurs mois avant sa période de reproduction.
Lors de la reprise de la pêche en octobre, la période de reproduction étant terminée, le corail disparaît, c'est pour cela que les coquilles de Saint-Brieuc sont des coquilles blanches qui font sa renommée dans la cuisine mondiale.
La barde, c'est un ruban de gras pour entourer le rôti. Peut-être les barbes, une fois extraites de la coquille, évoquent-elle l'aspect de bardes…
Pour les noix de Saint-Jacques, les calmars et les filets de poisson blancs (bar, daurade, colin, cabillaud, lotte…), chefs et fabricants conseillent la décongélation dans du lait pour « resserrer les chairs » : Verser du lait dans un plat.
Le corail correspond à la glande génitale de la Saint-Jacques. Il est lui-même constitué de deux parties : l'une mâle (de couleur blanchâtre chez l'espèce Pecten maximus) et l'autre femelle (de couleur orangée chez cette même espèce).
Préparation de la recette
Les Saint-Jacques sont décoquillées et on repère le nerf adhérent. On pince le nerf avec la pointe du couteau à plat sans entamer le muscle tout en décollant le manteau. On pare délicatement le corail. Lorsque noix et corail sont détachés on rince à l'eau fraîche.
Les recouvrir largement de gros sel et bien les frotter entre les mains jusqu'à ce que le sel soit dissout. Laver ensuite les barbes dans plusieurs eaux, en les agitant et en les pressant bien chaque fois afin d'en éliminer tout le sable. Rincer la plaque perforée utilisée et les égoutter sur celle-ci.
Le corail comporte une cavité gastrique qui s'ouvre vers l'extérieur par un pore unique qui a fonction de bouche et d'anus.
Avec le couteau, sectionner le nerf qui fixe la noix à la coquille et détacher celle-ci. Remplir une jatte d'eau bien froide. Passer rapidement chaque noix dans cette eau. Puis, avec un pinceau, la frotter plusieurs fois et de tous côtés pour la débarrasser de tout le sable.
Après avoir décortiquer les coquilles, les rincer et les égoutter rapidement. Placer les unes à une sur un tiroir de congélateur, sans les mettre en contact.
Observez ensuite les coquilles de ces fruits de mer si vous les achetez entiers. Si elle est grande, plate d'un côté et dans les tons bruns ou noirs, vous avez bien affaire à une Saint-Jacques. Si elle est petite, bombée des deux côtés et blanche, il s'agit alors d'un pétoncle.
Elle provient de Normandie, de Bretagne, mais aussi d'Écosse, d'Irlande ou d'Angleterre.
La coquille saint-jacques (Pecten maximus) est la favorite des gourmets. Elle se reconnaît à sa grande taille et à sa forme particulière : la coquille doit mesurer au moins 11 cm de large et sa valve supérieure est plate, contrairement aux pétoncles dont les deux valves sont bombées.
Mieux vaut les choisir encore fermées, sans autre odeur que l'iode de la mer. Si les coquilles sont ouvertes, vérifiez bien qu'elles se referment immédiatement à votre approche, cela vous garantira qu'elles sont bien vivantes.
En France, le 1er octobre marque l'ouverture de la pêche de coquilles Saint-Jacques. L'occasion de [re]découvrir les particularités de ce produit typique des côtes normandes et atlantiques et de savoir comment le cuisiner sans risque.
Pour procéder à une purification par ce moyen, récupérez des coquilles Saint jacques (de préférence fraiches, et non congelées), et placez la pierre à purifier au centre de la coquille orientée vers le nord. Nous vous déconseillons d'utiliser une coquille St-jacques qui a déjà été cuite.
Une coquille avec ou sans corail
Espèce hermaphrodite, la coquille Saint-Jacques ne possède qu'une glande génitale, appelée corail en gastronomie. Celui-ci est constitué de deux parties : l'une mâle, blanche ivoire (à ne pas confondre avec le pied); l'autre femelle, rouge orangée.
Cela dit, pour une bonne qualité, il faut assurément choisir la Pectens Maximus (noix de Saint Jacques pêchée en atlantique) ou la Pectens Jacobeus (pêchée en méditerranée). Entière, vous la reconnaitrez, la coquille de la Saint Jacques est caractéristique : elle présente un côté plat et un côté bombé.
Avec près de 3 000 tonnes de coquilles pêchées en 2020, Saint-Quay-Portrieux mérite bien son titre de Capitale de la Coquille Saint-Jacques. La Saint-Jacques est un produit raffiné sur lequel les pêcheurs veillent jalousement : afin de préserver la ressource, elle se pêche de novembre à avril et de façon très encadrée.
Pour leur bonne conservation, on placera les coquilles Saint-Jacques entières dans le bas du réfrigérateur, enveloppées d'un linge propre et posés du côté de la coquille creuse. On les y gardera au maximum pendant 3 jours.
Pour préserver un maximum les chairs de la noix de Saint-Jacques, la méthode la plus courante consiste à les plonger tout simplement dans du lait. Celui-ci à pour particularité de resserrer les chairs des fruits de mer.
Il vous suffit pour cela de placer les Saint-Jacques dans un récipient contenant 2/3 d'eau et 1/3 de lait. Placez au réfrigérateur pendant 3h au minimum. Si vous le pouvez, laissez les Saint-Jacques décongeler pendant 12h puis égouttez-les pendant 1h.