Gerontophobie - Peur des personnes âgées.
Définition. La blemmophobie n'est pas une simple timidité, mais une peur viscérale du regard d'autrui sur le corps.
1. Carpophobie. La carpophobie est une phobie extrêmement rare, caractérisée par une peur irrationnelle des fruits. La personne qui en souffre refuse catégoriquement de consommer des fruits.
Phobie d'avoir peur et des manifestations physiques de la peur telles que tremblements, palpitations ou sueurs.
La mégalophobie se caractérise par la peur irrationnelle de tout ce qui paraît de grande taille. Les personnes qui en souffrent peuvent être prises de panique à l'idée de se retrouver face à de grands - ou d'anormalement grands - objets.
Causes. Des chercheurs voient dans cette phobie l'héritage possible d'un réflexe de fuite inscrit dans les réflexes nerveux de nos ancêtres devant des regroupements de rond rappelant les dessins de la peau d'animaux dangereux (serpent, pieuvre venimeuse...).
Vous rencontrez ces symptômes de stress bien souvent à l'approche de la prise de parole en public ? Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie. En effet, ce n'est pas si facile de supporter le regard des autres braqué sur vous alors que vous devez exprimer avec aisance vos idées ou un projet.
Une peur des bruits du quotidien
Caractérisée comme une intolérance à certains sons et bruits, la phonophobie est d'origine psychologique, et résulte souvent d'un traumatisme sonore.
hippopotomonstrosesquippedaliophobie est une variante orthographique de "hippopotomonstrosesuipédaliophobie", mais incorrecte. Le terme s'utilise par plaisanterie pour désigner la peur des mots trop longs, qui contiennent trop de syllabes.
Car la phobie du vendredi 13 a un nom, la "paraskevidékatriaphobie", vocable formé à partir des mots en grec ancien paraskevi (le 6e jour de la semaine, donc vendredi), decatreis (treize) et phobos (peur).
La brontophobie, c'est la peur du tonnerre, une phobie qui ne touche pas seulement les enfants.
La nanopabulophobie : la peur des nains de jardin à brouette
Avec cette phobie, qui touche les personnes ne supportant pas la vue des nains de jardin à brouette, on est proche de la korriganophobie, qui elle touche celles qui ont peur des lutins.
L'athazagoraphobie est caractérisé par un manque de confiance en soi et évolue généralement vers une dépendance affective. Ainsi, si vous souffrez de cette phobie de l'oubli, le meilleur moyen de la transformer en quelque chose de positif est en premier lieu de réapprendre à développer une indépendance affective.
La phobie des clowns a pour nom scientifique la coulrophobie. Le préfixe "coulro" vient du grec ancien "kôlobathristes" signifiant "acrobate qui est sur des échasses".
Les sons impliqués dans la misophonie ont le point commun d'être répétitifs, provoquant une réaction aversive immédiate avec une anxiété, une colère et un sentiment de dégoût important, accompagnés d'une envie impulsive de faire cesser ce bruit de manière immédiate afin de soulager ses symptômes.
La prise en charge de la misophonie est psychothérapeutique. Comme pour les phobies, les thérapies cognitivo-comportementales sont recommandées. Une thérapie d'habituation des acouphènes peut également être mise en place. Les médicaments de type antidépresseurs et anxiolytiques ne semblent pas donner de résultats.
"La claustrophobie est une phobie, qui fait partie des troubles anxieux. C'est la peur d'être dans un espace clos, définit le Dr Jean-Christophe Seznec, psychiatre à Paris.
L'anxiété sociale touche environ 7 % de la population. L'anxiété sociale est une peur associée à certaines activités sociales ou à de situations de performance où la personne pourrait se sentir observée, embarrassée, humiliée, rejetée ou préoccupée par le jugement des autres.
Selon une enquête de l'association Anxiety UK, c'est la phobie sociale qui arrive en tête du classement. Également appelé «anxiété sociale», ce trouble se caractérise par une peur intense d'être confronté à des situations d'interactions sociales. L'individu est particulièrement angoissé à l'idée de parler en public.
À l'origine de cette (curieuse) phobie, il y a le plus souvent un traumatisme : " peut-être un mauvais souvenir de la petite enfance concernant les bananes, par exemple une indigestion sévère qui se transforme en une aversion traumatique " avance le spécialiste.
Qu'est-ce que la phobie scolaire ? La principale définition utilisée est celle du Dr Ajuriaguerra, neuropsychiatre, en 1974 : « il s'agit de jeunes qui, pour des raisons irrationnelles, refusent de se rendre à l'école et résistent avec des réactions d'anxiété très vives ou d'angoisse si on les force à y aller ».
Cette phobie, portant le nom de podophobie, est une peur qui provoque de nombreux symptômes particulièrement désagréables à la simple vue d'un pied. Elle peut sembler risible pour vos proches, mais si vous souffrez de cette phobie, sachez qu'elle représente un trouble qui peut entrainer un réel handicap au quotidien.