L'alphabet arabe est de type abjad (ابجد en arabe), qui note exclusivement les consonnes du système phonologique de la langue arabe.
Le naskh, ou naskhi, est une écriture cursive simple, utilisée dans les correspondances avant que les calligraphes s'en emparent et l'utilisent dans les Corans. elle est à la fois fine et souple, sans accent particulier, et se caractérise par une grande lisibilité.
Accents et voyelles en arabe
Comme en français, on distingue des consonnes et des voyelles qui sont appelées les harakats (حَرَكَات).
Spécificités. L'alphabet arabe comprend vingt-huit lettres (vingt-neuf si l'on inclut la hamza, qui se comporte soit comme une lettre à part entière soit comme un diacritique). Il se lit et s'écrit de droite à gauche, comme beaucoup d'écritures sémitiques utilisant des abjads (syriaque, hébreu, etc.).
Cet alphabet est utilisé en arabe, les différentes variétés d'arabe, le persan et encore de nombreuses langues du Moyen-Orient. Les Turcs l'utilisaient avant la réforme d'Atatürk. De plus, l'arabe est également la langue de l'islam. Des pays Musulmans l'ont utilisé, ou l'utilisent encore.
Allah (Allāh, écrit الله) est le mot arabe qui désigne « Dieu », et signifie littéralement, « le Dieu » avec un article défini, faisant référence à un Dieu considéré par principe comme unique, le « dieu unique » des religions monothéistes.
Nom commun. Dans l'alphabet arabe, signe diacritique "ـْ" représentant l'absence de voyelle après un graphème, c'est-à-dire une lettre scriptée.
Les quatre voyelles arabes sont les suivantes : fat-ha, damma, kasra et soukoun. La voyelle fat-ha donne à l'oral le son « è ». La kasra rend le son oral « i », tandis que la damma se prononce « ou ».
La lettre P n'existe pas en arabe, elle est remplacée par la lettre B (ب) , c'est pour cela qu'il y a certains arabes qui prononcent le P comme un B.
Les langues sémitiques telles que l'arabe et l'hébreu se lisent de droite à gauche : on dit que ces langues ont un sens de lecture sinistroverse. A l'inverse, en Europe, notre sens d'écriture de gauche à droite est dit dextroverse.
Les historiens arabes rapportent une tradition selon laquelle l'écriture arabe aurait été « inventée », à partir de l'écriture syriaque, par des membres de la tribu des Tayyi', aux environs d'al-Anbar, dans le sud de l'Irak ; de là elle serait passée à al-Hira, puis à La Mecque à la fin du 6e siècle.
écriture scripte majuscule (les fameuses lettres bâtons) écriture scripte minuscule. écriture cursive majuscule (avec réglure Séyès) écriture cursive minuscule (avec réglure Séyès)
Le Maroc /maʁɔk/ (en arabe : ٱلْمَغْرِب, al-Maġrib ; en amazighe : ⵍⵎⵖⵔⵉⴱ, Lemeɣrib), ou, en forme longue, le royaume du Maroc, autrefois appelé Empire chérifien, est un État unitaire régionalisé situé en Afrique du Nord.
Le Maroc dispose de deux langues officielles, qui sont l'arabe et l'amazighe, mais le français est aussi parlé et compris par la quasi-totalité des marocains. L'espagnol est répandu dans les régions du Nord et du Sud du Maroc.
Marocain, e adj. et n. = originaire du Maroc, qui concerne le Maroc. La côte marocaine ; les Marocains.
(Linguistique) Signe diacritique arabe, voyelle casuelle marquant un nom ou adjectif indéfini. Le nom نَهْرٌ (nahrũ) (« une rivière ») est composé de نَهْر (nahr_), (« rivière ») et d'un tanwin ـٌ (-ũ), -un.
Définition: Le Tanwine: est l'action d'ajouter une deuxième voyelle à la fin d'un nom, ce redoublement de voyelle nous permet de savoir que le nom est indéfini.
Pour obtenir le bon accent arabe, il ne s'agit pas seulement de l'entendre mais également de comprendre comment les mots se prononcent. Dans les chansons, l'accent est souvent moins distinct que lorsque l'on parle. Cependant, la prononciation des consonnes et des voyelles est bien chantée.
le tien, la tienne
نَخْبَكَ!
Il s'écrit "gh" et se prononce comme le "r" classique (celui de Maroc).
Il suffit de mettre le signe َ sur la lettre. La kasra qui donne le son [i].
Le Coran est le livre sacré de l'islam et des musulmans. Il est composé des révélations faites par Dieu au prophète Mahomet, par l'intermédiaire de l'archange Gabriel, entre 612 et 632. Il est l'acte constitutif de l'islam et sa référence absolue.
Le nom d'Allah vient de al-Ilah, qui signifie le Dieu ; dès avant l'islam, il paraît avoir désigné le dieu suprême à La Mecque. Dans la pensée islamique, Allah est le maître du monde et de la vie, bienfaiteur et miséricordieux mais aussi juge qui rendra au jour du Jugement à chacun selon ses œuvres.
Étymologie. De l'arabe بِسْمِ اللّٰه , Bismillāh (« au nom de Dieu »).