Coiffe réservée aux évêques dans la religion chrétienne. Il porte la mitre durant les cérémonies officielles. Il existe trois types différents de mitres.
La barrette, de l'italien berretta lui-même emprunté au latin médiéval biretum, est une coiffe de forme carrée, en étoffe doublée de tissu épais, de carton ou de cuir, autrefois portée au chœur par les clercs qui n'avaient pas l'usage de la mitre et parfois comme coiffure ordinaire en dehors des églises.
Le galero, ou galero cardinalice, est un chapeau à glands et larges bords porté par les membres du clergé de l'Église catholique ; à ne pas confondre avec le saturne. Au fil des siècles, le galero devient finalement propre aux cardinaux et symbolise leur titre de prince de l'Église.
La mitre est portée par les évêques, les archimandrites, et certains prêtres qui en ont le droit, les mitrophores.
Se couvrir la tête avec une kippa (littéralement, le terme hébreu signifie une voûte, ou encore un calot, morceau de tissu rond qu'on pose sur son chef) est une pratique courante chez les Juifs religieux.
Il s'agit d'un camail, ou courte pélerine, que peuvent porter les hauts dignaitaires de l'Église. Celle du Pape est en velours rouge bordée d'hermine blanche en hiver, ou en soie blanche bordée d'hermine en été. Le souverain pontife peut la porter hors des célébrations liturgiques.
Avant cette soutane blanche, les Papes portaient des tuniques rouges en référence au sang du Christ.
Les cardinaux sont des princes de l'Église nommés par le pape. Il choisit généralement les évêques à la tête de dicastères de la curie romaine ou tenant des sièges épiscopaux importants à travers le monde. Ensemble, les cardinaux constituent le collège des cardinaux qui conseille le pape.
La tiare est donc utilisée pour exprimer solennellement le pouvoir spécifique du pape et est distincte de la mitre, insigne liturgique des évêques de l'Église latine, également portée par le pape en tant qu'Évêque de Rome.
Coiffe réservée aux évêques dans la religion chrétienne. Il porte la mitre durant les cérémonies officielles. Il existe trois types différents de mitres.
Pour les cardinaux, la couleur pourpre est fondamentale, car elle leur permet de s'approcher symboliquement du pape, qui ne porte exclusivement que deux couleurs : le blanc (soutane et calotte) et le rouge (mosette et chaussures).
La devise du pape François, "miserando atque eligendo", est inscrite en-dessous du blason. Ces mots, tirés d'une homélie de Saint Bède le Vénérable en hommage à la miséricorde divine, signifient "Choisi parce que pardonné". Cette devise se réfère précisément à la conversion de Saint Matthieu.
La calotte est une coiffe ronde, portée par les ecclésiastiques dans la liturgie catholique. Elle est également en usage chez les Anglicans. Chez les catholiques, on la nomme parfois de son italien zucchetto (/dzukˈketto/).
Les armoiries papales consistent traditionnellement en une tiare papale (une mitre depuis Benoît XVI) placée au sommet de l'écu. Les clefs de Saint Pierre, posées en sautoir, sous la tiare, au-dessus ou derrière l'écu, sont liées ensemble par un cordon de gueules. Celle en bande est d'or et celle en barre d'argent.
Gestionnaire hors pair. Les archevêques chefs de dicastère - l'équivalent des ministres d'un gouvernement - gagnent entre 3 000 et 4 000 euros, et les cardinaux qui occupent les mêmes fonctions 5 000 euros.
Les pasteurs sont des hommes comme les autres ; contrairement aux prêtres, leur fonction ne relève pas du sacré. Dans la religion orthodoxe, un homme déjà marié peut être ordonné prêtre. Les popes peuvent également être mariés. Ils ne peuvent ni divorcer, ni se remarier.
Concrètement, les évêques, archevêques et autres cardinaux (électeurs du pape) reçoivent le même « traitement » qu'un simple curé, environ 1000 â? ¬ net, soit un peu moins que le smic.
Elle est blanche pour le pape et les chanoines réguliers, rouge pour les cardinaux, violette doublée et filetée de cramoisi pour les évêques et les prélats de rang supérieur, et généralement noire pour les prêtres et les autres clercs.
Tous deux ont depuis emprunté leur propre chemin cependant, ils se rejoignent toujours sur une même chose : la raso, qui est restée le costume officiel des prêtres comme des popes (nom des prêtres orthodoxes.) Au-delà de cela, le vêtement noir symbolise également une appartenance au clergé orthodoxe chez les croyants.
Le privilège du blanc (en italien : privilegio del bianco) est une prérogative particulière utilisée par les reines, princesses et duchesses catholiques lors de leurs audiences avec le pape, au cours desquelles elles sont autorisées à porter vêtements et mantilles blancs, habituellement réservés au souverain pontife.
L'aube est une tunique longue allant jusqu'aux pieds et de couleur blanche, à manches étroites, serrée à la taille par un cordon. Elle est portée par tous les clercs, de l'évêque à l'acolyte comme habit liturgique.
La bure est un tissu de laine assez grossier. Cette étoffe sert de base à la confection de vêtements religieux, en particulier les frocs de moine.
La bénédictine porte une robe noire à larges manches, une tunique sous la robe, un scapulaire noir, une guimpe blanche, un bandeau blanc et un voile noir. Au chœur, la religieuse bénédictine porte la coule monastique noire mais sans capuchon.
• Un signe d'humilité
Il existe une raison plus morale: en portant ce couvre-chef, le croyant arbore un signe d'humilité, montrant la présence de Dieu au-dessus de lui. «C'est une façon de signifier que Dieu est au-dessus de nous, le plus discrètement possible.
Le patrimoine de l'Eglise dans le monde est estimé à 2.000 milliards d'euros, en prenant en compte les universités, les écoles, les hôpitaux… Plus qu'un trésor de l'Eglise, il faut parler de plusieurs trésors, qui sont gérés de manière souvent autonome, et il est vrai peu claire.