La mitre est un couvre-chef réservé aux évêques dans certaines dénominations chrétiennes.
La calotte est une coiffe ronde, portée par les ecclésiastiques dans la liturgie catholique. Elle est également en usage chez les Anglicans. Chez les catholiques, on la nomme parfois de son italien zucchetto (/dzukˈketto/).
La barrette, de l'italien berretta lui-même emprunté au latin médiéval biretum, est une coiffe de forme carrée, en étoffe doublée de tissu épais, de carton ou de cuir, autrefois portée au chœur par les clercs qui n'avaient pas l'usage de la mitre et parfois comme coiffure ordinaire en dehors des églises.
D'autres avancent que la kippa se serait développée en opposition au christianisme, qui recommande à l'inverse de se découvrir en entrant dans une église. Il existe une raison plus morale: en portant ce couvre-chef, le croyant arbore un signe d'humilité, montrant la présence de Dieu au-dessus de lui.
C'est une tunique longue, à manches larges, longue jusqu'aux genoux. La couleur change en fonction de l'occasion et du jour. Mitre : couvre-chef réservé aux évêques, dans le passé souvent ornée de pierres précieuses et d'or, de forme vaguement pentagonale, avec deux bandes de tissu qui tombent sur les épaules.
Fascia (ceinture)
Sa couleur dépend de la dignité de celui qui la porte, rouge de soie moirée pour les cardinaux, violette de soie moirée pour les nonces, violette de soie lisse pour les évêques et les prélats ou noire de soie lisse pour les prêtres.
Lors du consistoire du 5 mai 1518 , Henrique obtient à 24 ans le diocèse d'Utique, in partibus infidelium. Le fils du Manikongo devient ainsi le premier évêque noir. N'ayant pas l'âge de trente ans requis pour la fonction, il obtient une dispense spéciale.
Pour faire tenir la kippa, il faut la fixer aux cheveux. Cela se fait en général à l'aide d'une (ou plusieurs) barette(s) semblable à celles qu'utilisent les femmes pour fixer leur coiffure, mais d'une forme spécifique, allongée et triangulaire.
Kippa (hébreu : כִּפָּה ou כִּיפָּה ; pluriel : kippot, כִּפוֹת ou כִּיפּוֹת) est le terme hébraïque désignant la calotte portée traditionnellement par les hommes juifs pratiquants et plus récemment par les femmes du courant libéral lors de la prononciation d'un sacrement.
Mais existe-il des différences entre les kippas ? Certaines sont en velours noir, plus classiques, plus grandes pour recouvrir toute la tête. D'autres sont en soie blanches, destinées davantage aux fêtes comme les mariages et aux Bar Mitsvah.
Les pasteurs sont des hommes comme les autres ; contrairement aux prêtres, leur fonction ne relève pas du sacré. Dans la religion orthodoxe, un homme déjà marié peut être ordonné prêtre. Les popes peuvent également être mariés. Ils ne peuvent ni divorcer, ni se remarier.
Le ciboire (du latin ciborium, lui-même du grec κιβώριον, kibôrion, qui signifie coupe), est un vase sacré, utilisé dans plusieurs liturgies chrétiennes.
Une cornette catholique (sens 1). (Habillement) Coiffure de certaines religieuses.
Les juifs les portent accrochées aux quatre coins de leur vêtement (en générale une petite cape blanche) pour la prière et sont ainsi invités à méditer le nom de Dieu et les commandements.
C'est comme une conscience permanente qu'il y a quelque chose au-dessus de nous, la kippa représente symboliquement cette présence au-dessus de nos têtes. C'est comme si on avait besoin de nous souvenir qu'il existe plus grand que nous, qu'il existe un au-delà de nous.
Le port de la kippa : une vieille habitude
Dans l'Antiquité, la circoncision était la seule pratique qui permettait de distinguer les juifs. C'est au Moyen- ge que le port de la kippa se démocratise sous l'impulsion du rabbin Joseph Karo. La kippa symbolise alors la soumission à Dieu et la protection divine.
En son sens premier, la Torah désigne le Pentateuque, dont la tradition juive attribue la rédaction à Moïse, inspiré par Dieu.
Traditionnellement, les petits garçons portent un talith katan à partir de l'âge de trois ans. Techniquement, le port des tsitsit est une mitsva de jour. Mais, d'après la kabbalah, les tsitsit devraient être portés même pendant le sommeil nocturne.
Mais les Tefiline doivent être mis avant le coucher du soleil. Les lanières, tant du bras que de la tête, doivent toujours être placées le côté noir vers l'extérieur. On ne doit pas s'interrompre par la conversation ou par des gestes pendant que l'on est occupé à mettre les Tefilines.
Lyon: à seulement 48 ans, Loïc Lagadec est devenu le plus jeune évêque de France.
La crosse, aussi appelée crosier ou crozier, est principalement le bâton pastoral d'un évêque. La crosse est l'insigne, par excellence, de la mission de pasteur qu'exercent les évêques auprès de leurs fidèles.
L'archevêque de Reims, Éric de Moulins-Beaufort, a été réélu président de la Conférence des évêques de France (CEF), a annoncé jeudi cette instance, réunie en assemblée plénière jusqu'à vendredi à Lourdes.
Le galero, ou galero cardinalice, est un chapeau à glands et larges bords porté par les membres du clergé de l'Église catholique ; à ne pas confondre avec le saturne.
Prêtre et curé
Prêtre, c'est donc un état. Curé : Prêtre placé à la tête d'une paroisse, et soumis dans l'exercice de ses fonctions à l'évêque du diocèse. Curé, c'est donc une fonction. Tous les curés sont des prêtres mais tous les prêtres ne sont pas forcément curés.
La mosette (ou mozette)
Il s'agit d'un camail, ou courte pélerine, que peuvent porter les hauts dignaitaires de l'Église. Celle du Pape est en velours rouge bordée d'hermine blanche en hiver, ou en soie blanche bordée d'hermine en été.