La calotte est une coiffe ronde, portée par les ecclésiastiques dans la liturgie catholique.
La barrette n'est pas, à l'origine, propre aux ecclésiastiques. À la fin du XIII e siècle et au début du XIV e siècle, cette toque est une coiffure portée couramment par tous, notamment les avocats, les juges, les médecins et les maîtres en théologie. On l'appelait également « bonnet carré. »
La mitre est un couvre-chef réservé aux évêques dans certaines confessions chrétiennes.
Le galero, ou galero cardinalice, est un chapeau à glands et larges bords porté par les membres du clergé de l'Église catholique ; à ne pas confondre avec le saturne. Au fil des siècles, le galero devient finalement propre aux cardinaux et symbolise leur titre de prince de l'Église.
Le port de la mitre est réservé aux, évêques et aux abbés. Il est habituellement associé à l'usage de la crosse (voir Insignes pontificaux). Certains prélats, qui ne sont ni évêques ni abbés, ont parfois le privilège de porter une mitre.
La tiare papale.
Il s'agit d'une coiffure avec trois couronnes qui signifiaient la nature du "pouvoir" du pape, "politique, spirituel et mora"l. Benoît XVI au moment de son élection avait fait disparaître la tiare de ses armes au profit d'une simple mitre, ceci pour signifier son appartenance au collège des évêques.
Hors liturgie, le souverain pontife habille son crâne d'une calotte blanche. Le blanc est la couleur officielle des papes depuis Saint-Pie V, pape au XVIe siècle qui l'avait choisie pour signifier son appartenance à l'ordre des dominicains.
La calotte ou zucchetta
Elle souligne la dignité de la consécration de l'évêque et de son appartenance à la hiérarchie.
Signe d'une dignité ecclésiastique, de même couleur que la soutane : les évêques portent une calotte violette, les cardinaux une calotte rouge, le pape une calotte blanche.
Le pape, les archevêques et les évêques détiennent une part importante de l'autorité, tandis que les prêtres et les diacres doivent respecter l'évêque en tant que supérieur hiérarchique.
La symbolique de ces couleurs communément admise est que le rouge est la « couleur liturgique qui évoque le sang ou le feu » et « Le blanc évoque la pureté, mais plus encore la gloire divine et l'éclat de tout ce qui touche à Dieu.
Dans leur fonction administrative, les cardinaux sont à la tête de ce que l'on nomme dicastères du Vatican. Les évêques sont quant à eux garants de l'annonce de la foi et de l'Évangile dans leur diocèse et exercent une forme de gouvernement dans le diocèse qui leur est confié.
cathèdre n.f. Siège liturgique de l'évêque dans sa cathédrale.
Certains évêques ne dédaignaient pas non plus les dentelles, mais la plupart des prêtres portaient un col à rabat blanc (appelé «col gallican»), simple et austère, qui cachait l'échancrure de leur soutane. Le «col romain», à l'origine, se portait seulement chez le clergé de Rome.
Ce signe de légitimation religieuse se retrouve, dans un autre contexte, avec l'adoption d'une tenue particulière pour les moniales, pratique qui, à terme, donnera l'expression "prendre le voile" pour désigner le fait de consacrer sa vie à Dieu. »
Le col blanc, ou «col romain» est un des signes particuliers de la tenue des prêtres chrétiens, catholiques et protestants. Cet accessoire rompt avec la soutane noire pour symboliser la pureté et l'humilité. Il s'est imposé au milieu du XXe siècle pour permettre aux fidèles de reconnaître les membres du clergé.
Elle est le signe d'une dignité ecclésiastique. Au départ, la calotte était portée par tous les ecclésiastiques selon la couleur de leurs soutanes : noire pour les prêtres, violette pour les évêques, rouge pour les cardinaux et blanche pour le pape.
La croix pectorale est portée sur la poitrine par les évêques, les cardinaux, certains prélats et les abbés. À la messe, elle doit être portée sous la chasuble. Cette rubrique est cependant peu respectée. Certains évêques, en France, en Suisse et même en Italie, la placent par-dessus.
Pour les cardinaux, la couleur pourpre est fondamentale, car elle leur permet de s'approcher symboliquement du pape, qui ne porte exclusivement que deux couleurs : le blanc (soutane et calotte) et le rouge (mosette et chaussures).
La calotte est une coiffe ronde, portée par les ecclésiastiques dans la liturgie catholique. Elle est également en usage chez les Anglicans. Chez les catholiques, on la nomme parfois de son italien zucchetto (/dzukˈketto/). Le pape Benoît XVI portant la calotte blanche.
Pour les personnes chauves, il faut choisir une kippa de plus grande taille, plus enveloppante, qui tient alors plus facilement, comme le fait une casquette, surtout dans une synagogue lors des prières, vu qu'il n'y a pas de grand vent et que l'on ne prend pas de positions acrobatiques avec la tête en bas.
La mitre est utilisée au sein de l'église catholique comme élément vestimentaire caractéristique du clergé depuis le V siècle. Dans un premier temps, elle était probablement un accessoire non-liturgique que le Pape portait durant les cortèges solennels.
Il fait appel à un sentiment d'appartenance et de fidélité envers l'Église, pour que ceux qui sont plus spécialement en charge d'annoncer l'Évangile et de faire vivre l'Église, aient une juste rémunération.
Retirer son chapeau ou sa casquette: les origines de cette tradition. Le tout remonte à plusieurs siècles, plus précisément au moyen âge, où enlever son casque ou son heaume était signe d'allégeance à son seigneur. Le chevalier offrait ainsi sa nuque découverte et tête baissée, à l'épée du seigneur.
La chape. Il s'agit d'un manteau ample, sans manches mais avec capuchon, que le prêtre, et d'autres ministres aussi, revêtent lors de certains offices solennels, en dehors de la messe. L'abondant métrage du tissu permit rapidement une décoration somptueuse sur ce type de vêtement.