COMMENT MIEUX COMPRENDRE LA PANTOPHOBIE ? La pantophobie, ou « peur de tout » est souvent associée à un état dépressif. Cette phobie, qui touche plutôt les hommes, est liée à un manque de confiance en soi et peut trouver sa source dans un traumatisme soudain et violent (deuil, accident).
L'anthropophobie, aussi appelée phobie de relations interpersonnelles, et une crainte pathologique des gens et de la compagnie des gens.
La phobophobie est la peur d'avoir peur, que la peur soit identifiée –peur du vide par exemple– ou non –on parle souvent d'anxiété générale.
Vous rencontrez ces symptômes de stress bien souvent à l'approche de la prise de parole en public ? Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie. En effet, ce n'est pas si facile de supporter le regard des autres braqué sur vous alors que vous devez exprimer avec aisance vos idées ou un projet.
Phobie d'avoir peur et des manifestations physiques de la peur telles que tremblements, palpitations ou sueurs.
Une peur des bruits du quotidien
Caractérisée comme une intolérance à certains sons et bruits, la phonophobie est d'origine psychologique, et résulte souvent d'un traumatisme sonore.
Définition. La scopophobie est un trouble anxieux caractérisé par une peur morbide d'être vu ou observé par autrui. Il s'agit d'une peur sociale et spécifique, c'est à dire une peur irrationnelle déclenchée spécifiquement en public.
L'anxiété sociale touche environ 7 % de la population. L'anxiété sociale est une peur associée à certaines activités sociales ou à de situations de performance où la personne pourrait se sentir observée, embarrassée, humiliée, rejetée ou préoccupée par le jugement des autres.
Les médicaments que votre psychologue peut vous prescrire en complément ont pour but d'atténuer les symptômes physiques de l'anxiété ainsi que la survenue des pensées négatives. Parmi eux on retrouve : Les antidépresseurs comme : la phénelzine, la paroxétine, l'escitalopram ou encore la sertraline.
Le plus souvent, la phobie débute après une exposition traumatique à une situation. Par exemple, après un voyage turbulent en avion, la morsure d'un chien, une moquerie à l'école, un malaise dans la rue...
troubles physiques : troubles digestifs (colopathie fonctionnelle, nausées, hyperphagie boulimique ou perte d'appétit, incapacité à manger...), douleurs, douleurs musculaires, envie fréquente d'uriner, insomnies, somnolence dans la journée, fatigue, mal de tête, vertige...
Katagélophobie : c'est le petit nom de la peur du ridicule.
Selon une enquête de l'association Anxiety UK, c'est la phobie sociale qui arrive en tête du classement. Également appelé «anxiété sociale», ce trouble se caractérise par une peur intense d'être confronté à des situations d'interactions sociales.
Les principaux signaux d'alerte de l'anxiété sociale sont les suivants : les signes physiologiques propres à l'angoisse lors d'interactions sociales (palpitations, jambes en coton, plexus serré, tremblements…) l'évitement systématique de relations sociales au point de ne plus voir ses amis.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
Traitements possibles de l'anthrophobie
Les approches cognitivo-comportementales peuvent être aidantes, notamment l'hypnose ericksonienne et la PNL. En cas de traumatisme connu, l'EMDR est une bonne réponse pour soigner ce type de phobie.
A la croisée des chemins entre l'anxiété, la timidité et l'introvertisme, l'anxiété sociale est à la fois un trouble à part et un savant mélange des trois. Laurie Hawkes, psychothérapeute, nous guide pour mieux comprendre les subtilités de l'anxiété sociale.
Le stress est un phénomène normal qui se produit lorsque notre corps ou notre esprit est soumis à une pression. Il s'agit d'un ensemble de réactions physiologiques et physiques normal que l'organisme manifeste en réponse aux diverses sollicitations auxquelles il fait face.
Les phobies peuvent se développer en réponse à une pression ou à la suite d'un événement traumatisant. Dans d'autres cas cependant, des peurs irrationnelles peuvent se développer sans aucun événement déclenchant.
Lorsque l'obsession du rougissement est forte, réellement gênante et durable, les médecins parlent d'éreutophobie (peur obsédante de rougir en public), qui est une des variantes de la phobie sociale. L'éreutophobie touche en général des personnes jeunes, entre 15 et 40 ans, et autant les hommes que les femmes.
Peur pathologique des chiens. La cynophobie fait partie des zoophobies, les phobies animales, et touche plus les femmes que les hommes.
La phobie de la foule est aussi dénommée Ochlophobie ("ochlo" signfie "foule" en grec).