Le contrôle compulsif est la dérive d'un individu qui l'amène à vouloir tout contrôler, tout diriger ou tout superviser sans forcément en avoir conscience.
Obsédées par le gâchis, la réussite, l'excellence, toujours à tout vérifier, contrôler et avoir raison contre tous… les personnalités obsessionnelles compulsives, encore appelées « POC », sont difficiles à vivre. Au point qu'elles finissent généralement par consulter un psy de force, à la demande de leurs proches.
Les raisons. Le self-control est une réaction de défense qui permet à la personne de lui donner la sensation d'agir sur les choses et non de les subir. Ce comportement, qui peut être excessif, les rassure. Cela peut sembler surprenant, car ceux qui veulent tout contrôler ont tendance à cacher leurs émotions.
Angoissé à l'idée que quelque chose puisse lui échapper, le maniaque du contrôle cherche constamment à éviter les risques. L'idée serait ici de parvenir à calmer ses appréhensions, autrement qu'à travers l'anticipation.
Ne pas accepter la responsabilité de ses erreurs ou blâmer les autres pour celles-ci. Dramatiser la situation et critiquer les autres. Chercher à contrôler les finances d'une personne et les rapports qu'elle entretient avec les autres, ou tenter de l'isoler.
Conseils pour Interagir avec des Personnes Psychorigides
Empathie : Essayez de comprendre leur point de vue, même si vous n'êtes pas d'accord. Éviter les Confrontations Directes : Les confrontations peuvent renforcer leur résistance au changement.
La volonté de contrôle est un symptôme du manque de confiance en soi (voir article sur la confiance en soi) et souvent d'un manque de connaissance de soi.
Anticiper, c'est bien : cela permet d'être paré à toute éventualité, pour que les différents événements de la vie se déroulent le mieux possible. Mais pour certains, persuadés que tout va mal se passer, cela devient un réflexe pesant, voire très handicapant au quotidien.
Lorsque vous cherchez vos clés et que vous vous choquez et devenez impatient, vous êtes dans le contrôle. Lorsque après quelques minutes de recherche, vous vous arrêtez même si vous ne les avez pas trouvées et que vous êtes capable de passer à autre chose pour vous changer les idées, vous êtes capable de lâcher prise.
Pour la psychanalyse, une femme castratrice est celle qui veut le « phallus » (le pouvoir) pour elle seule. Elle veut tout maîtriser, tout contrôler. Cette femme est en guerre avec les hommes qu'elle veut dominer. Autoritaire, elle les fait marcher à la baguette.
Définitions : omniscient - Dictionnaire de français Larousse.
a) Adj. et subst. (Individu) qui est atteint de narcissisme.
« En psychanalyse, nous parlons de personnalités "obsessionnelles" : ce sont des sujets qui ne lâchent rien", qui, quand ils ont une idée, vont absolument vouloir la défendre et avoir raison, même si on leur prouve le contraire et qui ne se remettent pas en question », pointe la psychanalyste Natalie Bourgeois.
Les personnes atteintes de trouble de la personnalité obsessionnelle compulsive sont préoccupées par l'ordre, le perfectionnisme et le contrôle de soi et des situations.
La personnalité obsessionnelle concerne 4% de la population et est plus fréquente chez les hommes. Pour les psychanalystes, la psychorigidité s'explique par le fait que la personne a trop idéalisé ses parents. Devenue adulte, elle aime se conformer aux règles comme elle obéissait à ses orients en étant enfant.
Entraînez-vous à détecter la présence d'émotions négatives, à les accueillir puis à les laisser passer. C'est comme un muscle, il faut s'entraîner pour savoir lâcher-prise à la demande. Une bonne habitude pour calmer le mental et bien gérer ses émotions, c'est par exemple de faire de la méditation tous les jours.
Il s'agit de prendre du recul sur les épreuves de la vie en acceptant la situation et en s'adaptant au changement. Il est possible de lâcher prise en travaillant sur ses pensées négatives, sur ses émotions ou en effectuant des exercices de relaxation, notamment de sophrologie.
Les symptômes sont notamment les suivants : idées délirantes récurrentes, hallucinations, pensée désorganisée, comportement très désorganisé ou agitation extrême.
Les troubles bipolaires débutent le plus souvent à l'adolescence entre 15 et 19 ans soit par un épisode dépressif soit par un épisode maniaque. Dans les deux cas, l'entourage observe un changement brutal de l'état psychique de l'adolescent. Les symptômes présentent quelques particularités.
Douleur et états dépressifs
C'est le trouble psychiatrique le plus fréquemment associé aux plaintes douloureuses chroniques. Sa prévalence varie selon le recrutement des patients étudiés et les instruments d'évaluation, mais elle atteint entre 13 et 85 % selon les études et les échantillons (Bair et al., 2003).