La gouverne de direction n'a pas les mêmes fonctions que le gouvernail d'un bateau, elle ne dirige pas l'avion mais sert surtout à contrôler la symétrique du vol en ligne droite ou en virage, ainsi qu'en cas de panne moteur sur un avion multimoteur.
Dans le jargon aéronautique le nez désigne la partie avant du fuselage d'un aéronef.
- le fuselage avant; - le fuselage central (peut comporter une ou plusieurs parties selon la taille de l'appareil); - le fuselage arrière; - la pointe arrière du fuselage arrière; - les ailes; - l'empennage vertical; - l'empennage horizontal; - les moteurs et attaches de moteurs; - les becs (hypersustentateurs), montés ...
Le fuselage est la carcasse en forme de fuseau constituant le corps d'un avion ou d'un planeur et dont la forme facilite la pénétration dans l'air. Il est, avec la voilure, l'empennage et le train d'atterrissage, un constituant de la cellule d'un aérodyne.
Les ailes sont la source de portance de l'avion. Ils sont fixés près du sommet du fuselage sur les avions à voilure haute comme le Cessna 162 et au bas du fuselage sur les avions à voilure basse, comme le Terrafugia Transition. L'avant de l'aile est appelé bord d'attaque et l'arrière de l'aile est appelé bord de fuite.
Un compensateur (ou « trim » en anglais) est un système aérodynamique ou mécanique qui permet de maintenir une gouverne (surface de contrôle) dans une position permettant l'équilibre de l'avion.
En aéronautique, le palonnier est l'une des principales commandes de vol située dans le poste de pilotage d'un avion ou d'un hélicoptère. Il est constitué de deux pédales permettant au pilote d'actionner la gouverne de direction d'un avion, d'un planeur, ou le rotor anticouple d'un hélicoptère.
1. Qui fournit une compensation : Indemnité compensatrice d'un dommage. 2. Se dit d'un pendule conçu pour maintenir la précision du réglage aux variations thermiques.
Les hublots sont ovales ou arrondis par mesure de sécurité Cette forme ovale ou arrondie n'est pas là pour faire joli.
1. Partie habitable d'un avion. 2. Dans la construction navale en bois, forte pièce en bois qui s'étend d'un bout à l'autre du navire et repose sur la face intérieure des couples au-dessus de la quille.
Les soubresauts y sont plus atténués qu'ailleurs. Si votre phobie est très avancée et qu'au moindre trou d'air vous redoutez la catastrophe aérienne, alors les sièges du fond de l'avion sont les plus sûrs. Statistiquement, en cas de crash, vous aurez plus de chance de survivre en queue d'avion qu'au milieu ou en tête.
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
Une passerelle aéroportuaire ou passerelle d'embarquement (en anglais : Passenger Boarding Bridge) ou passerelle passagers est un passage fermé et ajustable reliant un aéronef à une aérogare et permettant ainsi aux passagers de gagner l'aéronef, respectivement le terminal, sans devoir escalader des escaliers depuis le ...
L'air qui se déplace plus lentement pousse plus fort sur l'aile que l'air qui se déplace plus rapidement. L'air sous l'aile pousse donc l'avion vers le haut, c'est pour cela que les avions restent dans le ciel et ne tombent pas.
Étymologie. (1875) Ce mot est au départ un nom propre, créé vers 1875 par son inventeur Clément Ader, à partir du mot latin avis (« oiseau ») et du suffixe -on (brevet déposé en 1890). En effet, si son premier prototype s'appelle l'Éole, Ader baptise son second Avion II, et le suivant Avion III.
La cabine d'un avion de ligne est la portion du fuselage de l'avion dans laquelle les passagers sont installés. Les compagnies aériennes sont libres de décider de l'aménagement des cabines.
On distingue donc trois axes : l'axe de roulis autour duquel s'incline l'avion ; l'axe de tangage autour duquel l'assiette augmente, ou diminue ; l'axe de lacet autour duquel la direction, le cap, augmente, ou diminue.
La surface alaire d'un avion ou d'un planeur est l'aire des ailes projetée sur le plan horizontal (visible dans la vue de dessus), empennage non compris.
Quand l'air frappe les ailes de l'avion, il change de direction : il est dévié vers le bas. L'aile exerce une force et pousse l'air vers le bas. En réaction, l'air exerce une force dans le sens opposé et pousse l'aile vers le haut : ça la fait monter. C'est aussi grâce à ça que l'avion s'élève et peut rester en l'air.
L'avion descend sur une pente finale stabilisée à la vitesse d'atterrissage. Près du sol le pilote « arrondit » c'est-à-dire qu'il cabre l'avion pour réduire la pente de descente afin de venir tangenter le sol. En même temps, il réduit complètement la puissance des moteurs.
Le petit trou situé en bas du hublot permet de rediriger la pression de l'appareil directement vers la vitre extérieure. Une mesure de sécurité indispensable pour pallier à toute destruction de la vitre extérieure.
Dans le détail de votre vol, pour pourrez également trouver l'assignation de votre siège ou numéro de siège. Sachez que la compagnie aérienne garde le droit de modifier l'assignation des sièges à tout moment sans obligation d'en avertir le passager.
La procédure de freinage consiste alors, une fois que l'avion est au sol, à déployer les inverseurs, puis à augmenter le régime du moteur après le toucher des roues pour recréer de la poussée (le moteur étant pratiquement au ralenti lors de la phase d'atterrissage).
Ni acronyme d'Appareil Volant Imitant l'Oiseau Naturel, ni issu du nom de celui ou celle qui aurait inventé un tel engin (à l'instar des frères Montgolfier, par exemple), le terme « avion » aurait été créé par l'ingénieur français Clément Ader (1841-1925), à partir du latin avis qui signifie oiseau.