Pour sa part, le secrétariat d'État chargé de l'Égalité renvoie au Manuel d'écriture inclusive, qui préfère le point médian.
La langue inclusive est l'objet de vives polémiques, mais aussi de travaux scientifiques qui montrent que son usage s'avère efficace pour réduire certains stéréotypes induits par l'usage systématique du masculin neutre.
Comment faire le point milieu sur un clavier ? Sur Mac, il est possible d'obtenir le point milieu en faisant la combinaison de touche ALT + MAJ + F. Sur Windows, il faut utiliser la combinaison de touche ALT + 0183.
Faire un point médian « · » sur Android
Pour y accéder, voici ce qu'il faut faire. Ouvrez n'importe quelle application nécessitant votre clavier. Lorsqu'il s'affiche, cliquez sur l'icône « ? 123 », qui s'affiche dans un rond bleu en bas à gauche de l'écran.
Le point médian, c'est ça : « · ». C'est un signe typographique qui permet de visibiliser à la fois les femmes, les hommes et les personnes non binaires. C'est aussi une abréviation des doublets. Par exemple, on pourra écrire « nos client·es » plutôt que « nos clientes et clients ».
Le point médian ou point milieu (« · ») est un signe typographique semblable au point mais placé au-dessus de la ligne de base.
Le point médian (⸱) est un signe de ponctuation standardisé dans l'écriture « inclusive » (ou rédaction épicène). Il permet d'accorder en genre et en nombre un grand nombre de mots dans la langue française.
Un peu avant notre ère, Aristophane de Byzance, conservateur de l'illustre bibliothèque d'Alexandrie, invente un système à trois points, dont le point médian.
Sur un PC, il faut à chaque fois introduire « Alt+250 » ou « Alt+0183 ».
L'utilisation du point milieu en composant le mot comme suit : racine du mot + suffixe masculin + point milieu + suffixe féminin. On ajoutera un point milieu supplémentaire suivi d'un « s », si l'on veut indiquer le pluriel. Quelques exemples : acteur·rice·s, ingénieur·e·s, ceux·elles, sénior·e·s.
Cela passe notamment par la féminisation de tous les titres, fonctions ou métiers : « la directrice », « la ministre », « l'auteure »… Entamée dès la fin des années 1990, cette évolution reflète celle de la société actuelle, tout en renouant paradoxalement avec des conventions remontant au Moyen Âge.
Comme ce mot est utilisé parfois comme déterminant, d'autres fois comme adjectif ou comme pronom, on lui fait une place spéciale. Masculin : tout, tous Féminin : toute, toutes Inclusif : touste, toustes Exemple : Toustes celleux qui étaient là n'ont pas toustes eu la chance de parler, mais toustes étaient d'accord.
Vous pouvez également substituer un mot épicène à un masculin pluriel pour désigner un groupe, ou dédoubler l'expression pour éviter d'utiliser le masculin comme « neutre » : les membres de … , les personnes …, les étudiantes et les étudiants par exemple. ∇∇ Rang chevalier⋅ère jedi : Vous accédez au rang supérieur.
Il suffit généralement de retirer le titre de civilité (Monsieur, Madame, etc.) des formules de salutation traditionnelles pour les rendre inclusives. Veuillez agréer, Monsieur, mes meilleures salutations.
Le contraire du terme inclusif est le mot exclusif. Cet adjectif qualifie en effet une chose qui exclut tout partage, ou une chose qui exclut tout autre chose jugée incompatible. Un autre contraire d'inclusif est l'adjectif disjonctif signifiant "qui sépare", mais ce dernier est moins couramment utilisé.
La proposition de loi précise, par ailleurs, le champ de l'interdiction dans le domaine de l'enseignement : l'usage de l'écriture inclusive est proscrit dans les documents se rapportant à l'enseignement, aux examens et concours et aux thèses et mémoires.
Pour faire un point il faut utiliser la touche Majuscule car il se trouve sur la même touche que le point-virgule, au-dessus de celui-ci.
Sur un PC, il faut à chaque fois introduire « Alt+250 » ou « Alt+0183 ». En HTML, c'est « · » ou « · » ou encore « · ». Sur un Mac il faut introduire « Maj + Alt + H ».
Écriture inclusive : la définition
La rédaction utilise ainsi une approche plus respectueuse des personnes marginalisées. Ce terme fait directement référence aux femmes face à la masculinisation de la langue française. Cette prédominance du masculin existe depuis des siècles et est soutenue par l'Académie française.
À l'écrit, ils vont plus loin avec les déterminants, en écrivant «la. le» ou «le.la» en fonction du genre du nom qui suit. Exemple: «le.la présenteur. ice» Pour un mot épicène précédé d'un déterminant, ils conseillent d'employer l'ordre alphabétique: «la.
L'écriture inclusive devrait être utilisée par tout le monde. Ce n'est pas vrai que c'est compliqué, c'est simple et ça permet d'inclure le plus grand nombre et de ne pas rejeter des personnes de la langue française. Ça permet d'inclure les femmes, les personnes non binaires, les personnes trans, tout le monde.
Pour ne pas mégenrer une personne : « Iel est premier·ère » en inclusif. « Ael est premier·ère·x » en non-binaire.