Le schtreimel (Yiddish: שטרײַמל, pl. שטרײַמלעך shtreimlech) est un chapeau de fourrure porté par de nombreux Juifs, plus particulièrement — mais pas exclusivement — par des membres de groupes hassidiques, pendant le shabbat, les fêtes religieuses et autres célébrations.
Le tsitsit (tzitzis ou tsitsis selon la prononciation ashkénaze ; hébreu biblique : ציצת ; hébreu mishnaïque : ציצית) sont des "franges" ou "tresses" façonnées au coin des vêtements, souvent retrouvées sur les bords du Talit.
La kippa est un petit morceau de tissu ou d'étoffe qu'on place sur sa tête, qui existe sous plein de formes, plein de tailles et de couleurs.
On les voit pendre des vêtements et on se demande toujours à quoi elles servent et de quelle tradition elles relèvent. Le Tsitsit (c'est le nom qu'on leur donne) symbolise la présence de Dieu parmi les hommes. Le port du Tsitsit est un commandement de la Torah contrairement à la kippa qui n'est qu'une tradition.
L'obligation de se couvrir la tête dans le judaïsme
C'est au Choulhan Aroukh de Yossef Karo (1488-1575), donc au 16e siècle, que l'obligation de la kippa est attribuée.
Les juifs ont deux vêtements spéciaux pourvus de franges : le Talit et le Talit Katane (petit Talit), un vêtement spécial à quatre coins, muni d'une ouverture pour la tête et porté sous les vêtements extérieurs, depuis le lever au matin jusqu'au coucher le soir, ou même aussi pendant le sommeil.
Selon Haïm Korsia, c'est un signe de « soumission à Dieu », et non de « reconnaissance ». Plus généralement, la kippa permet au Juif d'afficher son humilité et son respect à travers sa croyance pour sanctifier le Nom de Dieu (voir yarmulke défini supra).
Selon la loi juive, une femme et une jeune fille, dès l'âge de trois ans, doivent s'habiller correctement, c'est-à-dire couvrir les clavicules, les épaules, les bras jusqu'au coude (inclus), les jambes. Elles porteront des jupes ou robes couvrant les genoux même lorsqu'elles sont assises.
Chaque matin avant la prière, l'homme s'enveloppe d'un Talit Gadol, habit possédant 4 coins auxquels sont attachés des franges. En l'honneur de la Téfila, nos Sages ont instauré de porter cet habit spécialement réservé à ces moments où l'on s'adresse au Maître du monde.
On met les Tefilines chaque jour, sauf Chabbat et les jours de Fêtes, On les met sur le bras gauche et la tête. Les Tefilines doivent être revêtus au début de la prière du matin. Toutefois si, pour une raison quelconque, il n'a pas été possible de le faire le matin, on peut les revêtir plus tard dans la journée.
Pour faire tenir la kippa, il faut la fixer aux cheveux. Cela se fait en général à l'aide d'une (ou plusieurs) barette(s) semblable à celles qu'utilisent les femmes pour fixer leur coiffure, mais d'une forme spécifique, allongée et triangulaire.
Mais existe-il des différences entre les kippas ? Certaines sont en velours noir, plus classiques, plus grandes pour recouvrir toute la tête. D'autres sont en soie blanches, destinées davantage aux fêtes comme les mariages et aux Bar Mitsvah.
Le "Rav" Yossef, chef spirituel du parti ultraorthodoxe sépharade Shass, avait acquis un rôle de faiseur de rois.
Braids : aussi appelées Box Braids, ce sont des tresses alimentées par des mèches de tout type (laine, mèches lisses, ou mèches frisées). Elles se portent courtes, en carré, ou longues et peuvent être agrémentées de bijoux, de perles etc.
Les cornrows (de l'anglais corn rows, littéralement « rangées de maïs ») ou « tresses », également appelées « canerows » dans les Caraïbes, sont un style de coiffure africaine traditionnelle, dans lequel les cheveux sont tressés très près du cuir chevelu, en utilisant un mouvement ascendant pour produire une rangée ...
Le vannier est un artisan qui travaille les tiges naturelles souples et flexibles (l'osier, le rotin, le roseau, le raphia, le bambou, le jonc, la paille, etc.) pour les tresser et en faire des objets de vannerie (paniers, corbeilles pour les boulangeries, plateaux, etc.).
Le pantalon et la veste noirs portés sur une chemise blanche seront la tenue de tous les jours pour d'autres croyants qui couvriront aussi leur tête d'un chapeau toujours noir du style Borsalino.
Couvre-chefs pour les femmes
La séparation ou différenciation de manière générale, comprise comme la pierre angulaire de la sainteté, est particulièrement indiquée pour une femme après le mariage, car elle a un statut de "femme mariée".
bonne santé !; Prompt rétablissement !
Penser à préparer un petit sac avant votre visite. Celui-ci contiendra une serviette, des chaussons et un bonnet pour vos cheveux si vous le souhaitez. Vous emporterez également une brosse à cheveux, du shampooing et de la crème pour après le bain. Idéalement, après un mikvé, il faut porter des vêtements neufs.
La kippa rappelle la modestie inhérente à chaque être humain. » Pour le grand rabbin de France, Haïm Korsia, c'est bien un signe « de soumission à Dieu », et non « de reconnaissance ». Aujourd'hui, la tradition veut que les juifs portent une kippa, ou en tout cas se couvrent la tête, à l'intérieur d'une synagogue.
En son sens premier, la Torah désigne le Pentateuque, dont la tradition juive attribue la rédaction à Moïse, inspiré par Dieu.
Chez les juifs orthodoxes, les papillotes, ces bijoux de la chevelure, s'imposent de soi alors que les femmes, dès le mariage, sont obligées de se raser la tête faisant le deuil de leurs cheveux dont on sait quel attribut séduisant ils représentent.
Étymologiquement, la kabbale est une " tradition " faite de deux mouvements de sens contraire : d'une part, une révélation par laquelle Dieu se penche vers l'homme ; d'autre part, une adhésion de l'homme qui accepte la main tendue par Dieu et s'efforce de monter (ou, comme le disent souvent, non sans profondeur, les ...
Ils notent que les Judéens se rassemblent dans des synagogues, où ils s'occupent de lire la Torah et d'étudier ses règles, alors qu'aucun ne fait mention de la prière en public; la lecture de la Torah l'aurait donc précédée (la prière individuelle est cependant déjà mentionnée dans le Tanakh).