Le cleptomane vole parce qu'il ne peut contrôler sa pulsion de voler et non à cause d'un manque d'argent ou par un besoin de choses matériels. Il faut savoir que la cleptomanie n'a rien à voir avec la délinquance ou avec un profil de personnalité antisociale.
Il s'agit d'une impulsion pathologique qui pousse certaines personnes à commettre des vols. Le terme kleptomanie (qui s'écrit aussi "cleptomanie") désigne, chez la personne qui en est atteinte, la pulsion irrépressible de s'approprier des objets, ceci en l'absence d'un motif économique ou d'un besoin réel de cet objet.
La personne ressent une tension très forte, une grande excitation avant de passer à l'acte, puis un immense soulagement et même du plaisir après avoir commis le vol. C'est un comportement très difficilement contrôlable et qui n'a rien à voir avec la sociopathie. Il n'y a aucune envie de faire du mal. »
La kleptomanie se caractérise en effet par l'envie irrépressible de voler, régulièrement (« je ne peux m'empêcher de voler »), des objets qui n'ont pas nécessairement de valeur marchande importante (vous volez des babioles) et ne seront parfois même pas utilisés après le vol.
"La cleptomanie peut se définir comme un trouble psychique se manifestant par une tendance à prendre des objets qui ne nous appartiennent pas", explique le docteur Nicolas Neveux.
À titre d'exemple, au cours d'une phase maniaque, la personne ayant des troubles bipolaires pourrait croire qu'elle peut voler ou qu'elle est une célébrité. D'autre part, pendant une phase dépressive, elle pourrait être la proie de sentiments irrationnels d'extrême culpabilité.
En règle générale, une personne kleptomane ne souhaite pas se faire soigner, il faut que sa pulsion de vol la conduise devant la justice pour qu'elle accepte de consulter.
faible estime de soi ; frustrations non exprimées ; antécédents de psycho-traumatismes.
En permettant de débusquer et démanteler les croyances et les pensées qui justifient le comportement du kleptomane, les thérapies comportementales et cognitives (TCC) peuvent également s'avérer efficaces dans la prise en charge de cette problématique.
Historique familial. Comme tous les troubles de conduites, un contexte familial toxique peut développer cette compulsion. Avoir un autre trouble mental. Les personnes qui souffrent de kleptomanie peuvent parfois avoir un autre trouble psychologique associé, comme un trouble bipolaire, ou un trouble de la personnalité,…
La cleptomanie est un trouble qui pousse le malade à enfreindre la loi. Dans de rares cas, cette manie peut avoir une origine génétique. Mais la plupart du temps, elle reflète un comportement répétitif effectué dans le but de faire barrage à un sentiment d'angoisse.
Le syndrome de Diogène serait lié à un traumatisme vécu au cours de la petite enfance. Après un long intervalle de vie, le processus de « diogénisation » peut se déclencher à l'occasion d'un événement difficile (séparation, deuil, changement de situation...).
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
La syllogomanie est un trouble psychique qui se traduit par une accumulation pathologique d'objets. Une personne syllogomane accumule une grande quantité d'objets, même si ces derniers sont inutiles, encombrants, insalubres et/ou dangereux.
En outre, lorsqu'une personne bipolaire sort d'une phase de crise, elle est capable de prendre conscience de son propre état émotionnel. Tandis que, de son côté, le pervers narcissique est froid, surtout quand il manipule l'autre et ne prend pas conscience de la façon dont il se comporte.
Les symptômes des troubles bipolaires sont des cycles où alternent des phases d'excitation, également appelée manie, et de dépression. Ces cycles sont souvent reliés par des périodes où l'humeur est normale. Ils ont une intensité, une durée et une fréquence qui varient d'une personne à une autre.
Dans les phases aiguës de la maladie, l'alcool et les drogues sont les principaux facteurs de risque qui conduisent à des comportements agressifs. L'alcool et les drogues augmentent en fait les épisodes de violence verbale et physique, même s'ils réduisent l'irritabilité et les crises d'agitation psychomotrice.
Comment savoir qu'une personne est bipolaire : les signes
Ceux d'une phase maniaque sont notamment l'euphorie, l'exaltation de l'humeur, l'excitation psychomotrice ( projets multiples, désinhibition, présentation extravagante, flux de paroles (logorrhée), fuite des idées, insomnie sans sentiment de fatigue, etc.).
Les scientifiques ont observé que, chez les personnes atteintes de troubles bipolaires et souffrant d'épisodes maniaques fréquents, le cortex cérébral (il s'agit de la couche la plus superficielle du cerveau) était anormalement fin.
Les troubles bipolaires peuvent être épisodiques et liés au rythme de vie alors que la schizophrénie diagnostiquée est un état récurrent aux multiples facteurs complexes.
C'est une maladie idiopathique c'est-à-dire que les causes sont généralement inconnues. "Mais il existe des facteurs de risques tels que l'arrière du pied varus. Cette malformation du pied se manifeste par l'os du talon qui a tendance à rentrer à l'intérieur et augmenter la pression sur l'os naviculaire.
"Le syndrome de Cotard est une forme de dépression spécifique. Il s'agit d'un épisode dépressif majeur d'intensité sévère associé à des symptômes psychotiques, à savoir des idées délirantes dont la thématique est généralement la négation d'organes", explique le Dr Clara Brichant-Petitjean, psychiatre libérale à Paris.
Le syndrome de Noé, en anglais Animal Hoarding, est un terme qui désigne le fait d'accumuler chez soi plusieurs animaux alors que l'on ne peut les héberger, les nourrir et les soigner correctement.
Choix des stratégies diagnostiques complexes, en particulier dans la DI isolée, sans orientation clinique vers un diagnostic syndromique, et ce d'autant qu'une majorité des cas sont liés à des mutations de novo. Toutes les formes d'hérédité (dominante, récessive, liée au sexe) sont rapportées.
Une étude menée sur 9 millions de personnes durant trente ans confirme que la psychose maniaco-dépressive et la schizophrénie ont des origines génétiques communes.